J’approuve globalement cette déclaration dans la Marseillaise de Jérémy Bacchi sénateur dirigeant fédéral du PCF sur le léninisme :

je dirai que, comme son intervention en Chine, sa déclaration est globalement positive. D’abord par rapport à ce qu’on peut attendre de la défense de la mémoire du parti, mais ce que cette mémoire a d’actif dans l’urgence de la lutte pour la paix et le dévelppement du monde des exploités, le nôtre qui n’est pas celui de Lénine avec le cas marseillais et celui des Bouches du Rhône, à la veille des Européennes. Même si l’image du funambule me parait illustrer le comportement regressif de la Marseillaise, qui n’a pas su soutenir l’initiative en faveur de Cuba que par entrefilet. Une attitude hélas bien digne de ceux qui hier au nom de la liberté et dela démocratie soutenaient robert Ménard contre Fidel Castro dans le journal l’Humanité, une forfaiture face au peuple cubain mais surtout français, à son parti communistes.

Il y a beaucoup de faiblesse, mais certains sont incorrigibles. On ne doit pas se leurrer sur leur adhésion à l’lIE, l’ OTAN, la manière dont ils distribuent au sein du parti dans des publications, des colloques inutiles le fric des fondations européennes, y compris la mal nommée prétendué Rosa Luxembourg, ce qui présente toujours la même attraction sur certains secteurs spécialisés du parti, le tout géré par Roubaud Qashie. L’Europe est actuellement une monstruosité sans aucun pouvoir démocratique des élus mais une énorme pompe à fric dont dépend la vie des partis de plus en plus coupés de la population, de plus en plus bureaucratisés dans une vassalisation atlantiste financière et militaire. Ceux qui acceptent pleinement ce jeu là, ne se contentent pas de ruser sont toujours là et je ne les oublie pas… Il est clair que mon intervention a été aisément courcircuité parce que je n’ai été qu’un franc tireur, incapable de travailler dans le parti, mais j’ai peut-être été une “aventurière” mais jamais une mercenaire petainiste. J’ai toujours pourtant été convaincue que ce que m’avait dit Pierre juquin un jour alors que j’allais à Jussieu porter la parole des communistes à la premiière réunion des communistes luttant contre l’homophobie.ça ne se bousculait pas au portillon pour ce genre de représentation, J’avais manifesté une indignation totale à l’idée qu’on enquiquinait des gens pour quelque chose qui leur était aussi nécessaire que mon propre amour des hommes, dont je me demandais bien pourquoi je les aimais un tantinet macho, tout ça était stupide… Juquin m’a dit une chose très “ce que Danielle Bleitrach pense de l’homosexualité la france entière s’en fout mais ce que le PCF en pense à de l’importance, alors tu ne diras pas un mot de plus de ce qu’on te dit de dire… j’ai trouvé ça parfaitement juste et je reste d’accord c’est pourquoi a contrario j’accorde une telle importance à l’intervention de Jeremy Bacchi, à la manière dont ça s’articule avec la petite expérience faite ce samedi 20 Janvier autour de Cuba, la présence de militants en situation de s’en emparer.

il est si important que les orgnisations s’engagent sur un mode “léniniste” comme l’a fait Jérémy, la déclaratio manque encore de mise en oeuvre et pourtant des choses apparaissent sur le terrain, il faut encourager, voir l’essentiel tout un travail collectif pour lequel je ne suis pas la plus douée, c’est une litote… (note de danielle Bleitrach position personnelle qui n’implique pas histoireetsociete) .

LA MARSEILLAISE DU 20 01 2024 LENINE « Il reste d’une actualité déconcertante »Dans son bureau, décrit-il, il y a ces deux bustes de Lénine. Quand on est sénateur communiste, responsable de l’une des plus importantes fédérations du PCF, celle des Bouches-du-Rhône, la référence est évidente. Peu importe ce que l’on pourrait en dire. « C’est quelque chose que j’assume, sourit Jérémy Bacchi, parce que je pense que c’est quelqu’un qui a beaucoup apporté pour le mouvement ouvrier dans son ensemble, et à l’échelle internationale. »Cent ans après sa disparition, Vladimir Ilitch reste une figure incontournable pour les militants communistes. Quelle que soit la génération, souligne le secrétaire départemental du PCF 13. « Il y a ce lien affectif, parce que Lénine est reconnu, au-delà des rangs du parti, comme étant quelqu’un qui a su faire honneur à la classe ouvrière, explique Jérémy Bacchi. Mais il fait aussi partie des grands penseurs du communisme, des grands penseurs qui ont modifié la face du monde. Et ça, c’est quelque chose qui ne laisse pas insensible. »Un théoricien, un révolutionnaire, un homme de parti, « il a réussi à matérialiser et à faire des ajouts à la pensée de Marx », esquisse le sénateur. Il évoque l’espoir donné à des millions d’ouvrières et d’ouvriers russes, qui vivaient sous le joug autocratique du tsarisme, jusqu’à en briser les chaînes jusqu’alors immuables, une nuit de novembre 1917. « Lénine a réussi à créer les conditions pour faire rimer communisme avec aspiration à la liberté. Nos adversaires ont coutume de dire que le communisme, c’est l’absence de liberté. C’est tout l’inverse ! Et Lénine l’a formidablement matérialisé. » C’est la création des soviets, les conseils ouvriers. C’est la Révolution d’octobre. Le mouvement communiste international qui se structure. « Il a permis, explique celui qui l’a découvert encore adolescent, de prendre conscience que le peuple, lorsqu’il était uni, lorsqu’il avait des perspectives politiques qui le portaient, pouvait briser toutes les chaînes. »C’était il y a un siècle, à quelques milliers de kilomètres de la Provence. Peu importe. « Je considère toujours qu’il reste d’une actualité déconcertante », répond le sénateur marseillais. La société évidemment n’est pas la même, ses formes ont évolué au fil des décennies. « Mais je crois que les grandes lignes de force, les rapports de classe, d’exploitation, de production, restent les mêmes et que cette actualité du communisme est toujours aussi grande. »Au milieu des guerres et de la concurrence internationale exacerbée, au moment où la majorité présidentielle vote l’inscription dans la loi de la préférence nationale, il retient aussi l’image du fondateur de la IIIe Internationale. « C’est un homme qui considère que les travailleurs ont vocation à s’unir, et ne pas être en concurrence. » Cet espoir de la coopération des peuples, « elle reste avant-gardiste, même plus de 100 ans après ».Mais au-delà de l’idéologie, c’est l’espoir et la volonté portés par l’image du dirigeant révolutionnaire qui restent bien ancrés comme un horizon, au-delà de la grisaille de l’actualité et des perspectives politiques de court terme. « Avec la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui, où nous avons la peur – légitime – des poussées de l’extrême droite, mais aussi parfois avec le sentiment de résignation à gauche, ce qu’a fait Lénine montre que tout devient possible lorsqu’une idée s’empare des masses. »Être un funambuleL’héritage politique, parfois, prend des chemins détournés. La pensée du révolutionnaire russe se mêle aux figures familières. « Lorsque j’ai adhéré à 15 ans, mon grand-père me disait qu’être communiste, c’est comme être funambule. Toute la difficulté est de rester sur le fil d’une ligne révolutionnaire, sans tomber dans une dérive gauchiste ou réformiste. » Les mêmes théories, la même exigence, réinterprétées. « Mais on n’est pas dans une pensée de dogme », insiste Jérémy Bacchi. Sur cet héritage, le débat, la réflexion toujours restent vivants. Avec, peut-être, un regret. « Qu’on n’ait aujourd’hui pas plus de penseurs communistes. Parce que la bataille des idées se mène dans un lien très étroit des intellectuels et de la classe ouvrière. »

Yves SoubenJérémy BacchiSecrétaire départemental du PCF dans les Bouches-du-Rhône et sénateur

Post criptum de notre initiative en faveur de Cuba

Dans un contexte où non seulement la Marseillaise avait refusé d’être présente mais la fédération du ¨PCF ” et les troupes censément pléthoriques de l’ANC – sur des bases assez bizarres puique la compagnie jolie mome qui veut le fric de la journée pour faire un voyage à Cuba, et s’y faire reconnaitre en tant que troupe “révolutionnaire, n’avait pas daigné envoyer aucun représentant tout en réclamant la collecte alors que nous devrions comme d’habitude payer de notre poche les frais invstis… je suis résolument contre, Cuba a besoin de beaucoup de choses et les financements en ce sens sont prioriaires comme tous ceux qui aident à populariser l’injustice du blocus.

C’était incontestablement une réussite dans l’audience, même imitée . Il n’empêche au repas, ils étaient cinquante participants sans les gonflements habiituels et des gens profondement engagés bien décidés à s”unir et être siplement là, pas pour la photo et le tourisme à Cuba mais parce qu’ils sont anti-impérialistes ou n’aiment pas l’injustice, un combat en écho à celui contre la population civile à Gaza… Tout aussi empreint d’émotion mais permettant des avancées dans la comprhension politique plus au fond sur la nature de l’impérialisme.

Vu les luttes claniques et clientélistes marseillaises, cette journée a été une réussite inespérée, une mobilisation militante et ouverte à des gens communistes et non communistes mais curieux et ne comprenant pas le pourquoi d’un tel blocus, des gens simplement ayant envie de voir ce chef d’oeuvre qu’est “soy Cuba”. Au plan culturel, dans la débâcle de la situation marseilllaise et dans l’incroyable politique gouvernementale que chacun découvre avec celle de l’éducation, découvrir la démarche nouvelle de jay nomblis ce peintre venu des Etat-Unis et qui est lié à des gens sincérement anti-impérialistes comme Rockhill, sans haine antisémite mais en croyant qu’un autre monde ‘est là … Tout cela posait des jalons, peut_être le commencenment d’un rassemblement en faveur de Cuba que propose jérémy Bacchi, dans laquelle on en finirait avec les clans, les clientèles… c’est un premier pas du dire au faire…

Enfin c’est le sens de l’activité de enfants de Cuba, tout faire sans exclusive pour en finir avec cet abominable blocus des Etats-Unis auquel s’oppose dans une quasi-unanimmité l’assemblée générale de l’ONU mais qui par peur des représailles continue à être appliqué même si de plus en plus de pays n’obéissent pas au diktat made in uSA, grace au nouveau monde en train de naître…

Nous voici dans une économie de guerre, qu’est-ce que cela veut dire? Quelle conséquences?

Vilma la présidente des enfants de Cuba était dans son île, le secours populaire pour lapremière fois était absent, moi aussi j’étais absente pour cause de bronchite avec une épidémie qui sévit dans un désert d’un des plus grand CHU de France avec toutes les campagnes obscurantistes que l’on connait, j’ai une fois de plus échappé au Covid mais comme je suis vaccinée cinq ou six fois, idem pour la grippe (malheureusement la btonchite c’est l’an prochain, je n’ai pâs de fièvre siplement l’épuisement de la toux), bref là c’est la santé publique et dans le quartier comme nous en parlons il y a eu le gigantesque bide de la salle de shoot qui doit être confronté au vieillisssment, à l’appauvrissement, et moi je suis in situ … Couper la populationla plus pauvre de son service public au lieu de le défendre, faire douter de tous, pour mieux isoler…c’est assez facho…

Ceux qui ont organisé ce rassemblement en fin janvier ont témoigné de ler habituelle tenacité et un fois de plus, ils ont réussi en allant toujours croissant, ils étaient en fait en parfaite concordance avec le message de Jéremy Bacchi, quel dommage qu’il ne soit pas venu se féliciter de l’accueil de ses propos, il en aurait été heureux… Mais je l’avais rencontré en décembre sur cette question de Cuba, de l’internationalisme, du monde nouveau tel qu’il le perçoit et je m’étais déjà dit qu’il avait besoin de mise en oeuvre concrète. Notre action allait dans ce sens et elle permettait d’en voir d’autres. Un travail de fourmi pas toujours ajusté… L’arrivée de Jean François Gast et Nicole qui savent réaliser joue un rôle même si leur savoir faire a été acquis dans un système qui s’effondre et qui a tout à voir avec les limites du printemps marseillais, il est concret, rassembleur, efficace…

Choisir la vie et le bonheur , une perspective politique c’est tout le sens de ce qu’a accompli ce petit groupe de Marseillais qui va continuer..merci Béatrice qui a été délguée CGT dans le travail social, toi qui n’ aucun intérêt pour la politique mais ne supporte pas qu’on s’attaque aux enfants, qui aime l’art parce que c’est beau comme la nature en randonnée, merci à toi Béatrice qui a assuré toute la matérielle… merci vous les jeunes qui n’avez plus de modèle mais ce bsoin de vérité et d’action des communist’es de ma génération, vous avez tous agi pour qu’il en soit ainsi et vous m’avez offert lé seule chance qui compte: un combat juste” et désintéressé, avec mes camarades des enfants de Cuba, katia me manque mais je la comprend, elle ne trahira jamais, soy Cuba parle aussi d’elle , avoir confiance c’est important… mais la confiance cela ne sert qu’une fois..il faur manger une tonne de sel pour savoir qui ”est qui ? Bref on en reparlera.. (note de daniellle Bleitrach sur reportage des camarades qui ont réussi cette journée…

danielle Bleitrach : alain et jean Fronçois Gast présentent l’initiative