Le “tour to Africa first” du Ministre chinois des Affaires étrangères montre une amitié proche durable. Moins de deux semaines après sa nomination, le nouveau #ministredesEtrangers#Chine#QinGang s’est rendu en #Afrique lors de son premier voyage officiel à l’étranger avec cinq pays et deux organisations régionales sur son programme de huit jours lourdement chargé. Qin a suivi les traces de ses prédécesseurs. Au cours des 32 dernières années, tous les ministres chinois des affaires étrangères ont commencé leurs tournées à l’étranger du Nouvel An en Afrique, même pendant la pandémie de COVID-19, ce qui témoigne de l’#amitié durable entre la Chine et l’Afrique. Il y a dans cette relation privilégiée de la Chine avec l’Afrique non seulement en matière de commerce mais désormais de réflexions communes sur le développement et la modernité autre une voie nouvelle dont nous parlons aujourd’hui dans différents sujets. (note de Danielle Bleitrach pour histoire et société)
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La Chine et l’Union africaine approfondissent leurs échanges dans de multiples domaines
L’Union Africaine (UA) est la première organisation régionale à signer un accord de coopération et à établir un mécanisme de coordination avec la Chine dans le cadre de l’initiative « la Ceinture et la Route ». La Chine et l’Union africaine ont organisé conjointement le premier Forum de coopération sino-africaine sur le système de navigation par satellite BeiDou (BDS) et publié les « Dix scénarios d’application du système de navigation par satellite BeiDou en Afrique ».
Les réalisations en matière de coopération technologique et aérospatiale ont largement profité aux peuples chinois et africain. Sous l’impulsion des deux parties, un Comité de coopération agricole Chine-UA a été créé, avec plus de 200 entreprises d’investissement agricole chinoises en Afrique et pas moins de 350 variétés de produits agricoles et alimentaires africains disponibles pour le commerce avec la Chine, ce qui a fortement renforcé la capacité technologique agricole des pays africains.
De plus, la Chine, l’UA et 53 pays africains ont conjointement publié une déclaration sur la coopération sino-africaine en matière de lutte contre le changement climatique encourageant la production, le transport et la livraison de matériaux et d’équipements pour l’aide climatique. Ils ont réalisé la construction de zones de démonstration à faible émission de carbone et de gaz à effet de serre, renforçant ainsi le rôle de premier plan de la coopération Sud-Sud en matière de changement climatique.
C’est en fait une ligne politique persistante que la position privilégiée accordée à l’Afrique et ce n’est pas un hasard si chaque tournée du premier ministre chinois débute par l’Afrique.
Le gouvernement chinois conduit ses actions en étant convaincu que le développement durable en Afrique sera le moyen à long terme de construire une communauté de destin commun. À cette fin, cette conférence se concentrera sur trois piliers : la coopération vaccinale, la relance économique et un développement durable et inclusif. Pour la Chine, ces promesses signifient non seulement des perspectives communes, mais aussi des responsabilités qu’elle se doit d’assumer.
En décembre 2015, à l’occasion du Sommet de Johannesburg et la 6ème Conférence ministérielle du Forum sur la Coopération Sino-Africaine, le Président chinois Xi Jinping a initié « Dix Programmes Majeurs de Coopération » dans les domaines de l’industrialisation, la modernisation agricole, les infrastructures, le service financier, le développement vert, la facilitation du commerce et des investissements, la réduction de la pauvreté et l’amélioration du bien-être de la population, la santé publique, les échanges entre les peuples, la paix et la sécurité.
Le Président chinois Xi Jinping a annoncé, lors du Sommet de Beijing et la 7ème Conférence ministérielle du Forum sur la Coopération Sino-Africaine en septembre 2018, la mise en œuvre des « Huit Initiatives Majeures » : l’initiative pour la promotion industrielle, l’initiative pour l’interconnexion des infrastructures, l’initiative pour la facilitation du commerce, l’initiative pour le développement vert, l’initiative pour le renforcement des capacités, l’initiative pour la santé, l’initiative pour les échanges humains et culturels, et l’initiative pour la paix et la sécurité.
Le programme des “envoyés verts” vise à former pour l’Afrique des professionnels qualifiés dans les domaines tels que la gestion de la protection de l’environnement, la lutte contre la pollution et pour l’économie verte, afin de renforcer les capacités des pays africains et contribuer à leur développement vert.
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