Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Un institut scientifique du marxisme chinois officiellement créé en Russie

De nos amis hongrois du cercle de paix, qui comme nous grâce à deepl, lisent les productions de notre site tandis que nous bénéficions des leurs avec toutes les ambiguïtés de la traduction. Voici les publications chinoises en Hongrie par lesquelles ils commentent nos récentes prises de position de Ziouganov. Cette discussion entre Ziouganov et Poutine intervenue il y a un an le 7 juillet, comme la rencontre entre Xi et Poutine il y a peu, la désignation par les Chinois de la Russie comme “voisin amical et partenaire stratégique de l’ère nouvelle” désormais débouchent sur une réalisation concrète en matière d’analyse marxiste. Un institut de coopération qui ne dépend ps de la coopération du parti chinois avec le parti communiste russe mais dépend de l’Académie des Sciences de Russie à son niveau le plus prestigieux. Nul doute que les Cubains soient entrés au niveau de leurs réflexions dans un tel processus alors que les Etats-Unis ne voient que ce qu’ils peuvent concevoir, une base militaire accordée par un pays aux abois par leur étranglement du blocus. Ici encore dans cette collaboration théorique, nous avons intérêt à penser dans d’autres catégories, non pas parce que nous voudrions nous illusionner et nous inventer des victoires mais parce que le processus est bien offensif. Nous devons insister sur les potentialités, tout en étant très prudents pour empêcher l’impérialisme d’imposer sa destruction. En France, nous en sommes encore à tenter de comprendre les traumatismes, blocages, divisions, qui nous interdisent d’accéder à une telle réflexion, la Chine a consacré énormément de moyens et d’effort à l’étude des raisons de la chute de l’URSS et désormais le dialogue s’est créé avec la Russie sur cette question des raisons et il permet d’offrir une perspective à partir des problèmes et défis actuels. (note de Danielle Bleitrach avec la traduction deepl)

Il y a presque exactement un an 2022 Le 7 juillet, lors de l’audition des représentants de la Douma d’État, Gennady Zjuganov, le chef du Parti communiste de la Fédération de Russie, a présenté des propositions pour Vladimir Poutine pour l’introduction de mesures socialistes professionnelles et politiques qui, selon lui, peuvent contribuer à la Russie indépendance économique, stabilité sociale et renforcement de ses capacités de défense.

– Le président russe a alors qualifié la proposition de Zyuganov de quelque chose à considérer et a assuré que les possibilités de cette proposition seraient étudiées.

– « Quant à l’idée socialiste », le président russe a entamé sa discussion sur le sujet en disant – il n’y a rien de mal à ça. Nous devons diffuser ces concepts à l’avenir, en particulier dans les sphères économiques. Comme nous pouvons le voir, certains pays donnent un vrai sens au socialisme, par exemple les formes de régulation du marché, la planification économique, etc. Ces concepts fonctionnent avec une efficacité au-delà du débat. Nous devons aussi étudier la question.

“– « Quant à la participation de l’État », a ajouté Poutine – « Le niveau et les formes de participation portent sur le niveau de participation.

Il faut examiner comment et dans quels domaines l’État réglemente les activités économiques. Nous allons certainement aborder ce problème de plus en plus dans nos discussions et débats. Je suppose que nous trouverons les bonnes solutions parce que nous sommes conscients que les intérêts du peuple et du pays sont en jeu. “- a enfin résumé le président russe.

Seulement un an plus tard, est annoncé le premier centre de recherche idéologique Xi Jinping en dehors de la Chine en Russie.

L’institut scientifique sera établi à Moscou par l’Académie russe des sciences de l’Institut d’études d’Extrême-Orient, l’Institut de Chine et d’Asie (ICCA RAS).

La tâche du nouveau centre de recherche sera d’étudier les bases théoriques du « socialisme distinctif chinois » et nos pratiques de politique professionnelle de l’« économie de marché socialiste » de l’idéologie officielle de l’État de la République populaire de Chine.

– « Nous supposons que les thèses de Xi Jin-ping dans un certain nombre de domaines déterminent presque tous les contextes pertinents des politiques actuelles et futures de la Chine, y compris les domaines des affaires intérieures, des affaires étrangères, de l’économie, ainsi que de la politique culturelle et de la recherche scientifique Nous avons également réalisé qu’il s’agit d’une politique qui ne sera pas valide avant un ou deux ans, mais qui aura un impact historique à long terme. “- a commenté Kirill Babaev, directeur de l’ICCA RAS, sur les objectifs de la création du laboratoire.

L’institut de recherche attend non seulement du personnel direct de l’ICCA RAS, mais aussi de nombreux autres experts russes et internationaux qui sont des experts de l’« économie de marché socialiste » sur l’idéologie de la Chine moderne. Des chercheurs éminents ont exprimé leur intention de participer à l’Institut national de recherche pour les relations économiques mondiales et internationales et à l’Institut Primakov pour les relations économiques et internationales, qui facilite la recherche de fond sur la politique étrangère russe.

Au centre de la recherche, Hszi Jin-ping est sa compréhension approfondie de ses idées exprimées dans les domaines de l’économie, de la politique étrangère et intérieure, de la politique sociale, de la culture, des arts et de l’écologie, et l’étude de son adaptabilité entre les conditions russes.

– « La tâche du laboratoire est notamment d’établir des contacts avec les centres scientifiques chinois et d’organiser des conférences et des tables rondes communes. Les résultats des travaux seront publiés sous forme de monographie scientifique à grande échelle en 2025. Nous présentons aux lecteurs russes, aux représentants des autorités russes et aux fonctionnaires de l’État aux pensées de Hsi Jin-ping et à leur importance dans le développement de la Chine moderne. En dehors de tout cela, la promotion générale des relations russo-chine reste un objectif important. “-a déclaré Kirill Babaev, le directeur de l’institut hébergeant l’institut de recherche.Moins d’un an s’est écoulée entre les paroles du président et la création de l’Institut de recherche, montre que la Russie est clairement déterminée à apprendre de la Chine, qui avait auparavant été autrefois l’influence soviétique, et à prendre en compte les possibilités d’application moderne de la planification économique socialiste et de méthodes pour relever les défis de l’ère actuel .

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3 Commentaires

  • Franck Marsal
    Franck Marsal

    C’est un travail considérable que nous avons à faire car nous sommes pénétrès, sans le plus souvent en avoir même conscience, par l’idéologie bourgeoise;

    Je voudrais donner un exemple qui m’a frappé récemment. Macron en visite à Marseille a fait sa provocation habituelle expliquant qu’en faisant le tour du Vieux Port, il trouverait dix emplois à pourvoir.

    Cette phrase a été critiquée sur un aspect essentiellement moral. On a parlé de l’arrogance de Macron, de sa méconnaissance de la vie des jeunes …

    Personne n’a – à ma connaissance – fait remarquer à Macron que, s’il pouvait trouver dix emplois à pourvoir en faisant le tour du Vieux Port, on pouvait aussi certainement trouver dix personnes en recherche d’emploi en faisant le même circuit.

    Et que donc, les patrons, qui disent manquer de main d’oeuvre n’avait qu’à traverser la rue pour en trouver. Même nous, partons de l’implicite capitaliste que c’est à l’ouvrier de trouver du travail, que l’emploi est en quelque sorte un avantage que le capitaliste concède gentiment à l’ouvrier. Ce qu’a fait Macron, c’est rappeler, avec sa force de conviction habituelle que dans la société capitaliste, l’effort de traverser la rue pour permettre l’adéquation de l’offre à la demande incombe au travailleur et non au capitaliste. Et sans s’en rendre compte, tout le monde a acquiescé.

    Or, en réalité, c’est bien l’ouvrier qui fait apport d’un temps de sa vie en la consacrant à la production de plus-value pour le compte du capitaliste. Présenter l’ouvrier comme un demandeur, qui doit faire les efforts pour trouver du travail et le capitaliste comme l’offreur à qui l’on doit se conformer est typique de l’inversion de la réalité par l’idéologie bourgeoise.

    Cette inversion n’est pas qu’idéologique. Le fait que le capitaliste soit placé en position de force face au travailleur est une condition nécessaire de l’existence du capitalisme. C’est pourquoi le capitalisme a besoin d’un volant incompressible de chômeurs que Marx appelait l’armée de réserve industrielle. Et ce n’est pas un hasard si Macron insiste et revient périodiquement sur le sujet. C’est qu’aujourd’hui la reconstitution de l’armée de réserve industrielle est une urgence pour les capitalistes, qui estiment (non sans raison), dans un certain nombre de branches, ne plus avoir le rapport de forces suffisant pour adapter (à la baisse) les salaires et (à la hausse) la productivité afin de maintenir le taux de profit.

    Ce changement de situation économique tient à plusieurs facteurs.
    1. la baisse de la natalité qui a commencé après l’an 2000, qui se traduit par des classes d’âge arrivant sur le marché du travail en nombre nettement inférieur aux départs en retraite (ce pourquoi il était si important de repousser l’âge de la retraite – et ce pourquoi il était inconcevable pour le patronat que la réforme Macron ne soit pas votée)
    2. Les limites atteintes par le processus de délocalisation : ces limites sont de plusieurs ordres. d’abord, on ne peut pas tout délocaliser. Ensuite, la Chine n’est plus en situation d’absorber les délocalisations massives de l’industrie de main d’oeuvre des pays développés car elle est elle-même développée et va se concentrer de plus en plus sur l’industrie de pointe. Enfin, la crise russo-ukrainienne a montré les limites géopolitiques de l’exercice.
    3. Le problème de l’armée de réserve industrielle moderne, c’est qu’elle s’use vite. Les exigences de ce que les capitalistes appellent “l’employabilité” sont de plus en plus élevées; Le travail est devenu plus technique, Il faut manipuler avec soin des outils de travail puissants et coûteux. Il faut aussi arriver à comprendre et à se situer dans les organisations du travail parfois ubuesques (et en perpétuel changement) produites par les techniques “mondernes” de management. C’est installé dans les pays développés un chômage de longue durée et une dégradation du niveau d’étude des jeunes qui fait que nombre de chômeurs de longue durée sont considérés par les entreprises comme inemployables, c’est à dire insuffisamment productif pour être embauchés. Il faut dire que les entreprises ne veulent à la fois pas payer des impôts pour un système social et éducatif performant, mais ne veulent pas non plus avoir à former elle-même leurs nouveaux salariés au delà de quelques jours (et encore).

    Il résulte de tout cela, et c’est ce qu’il faudrait opposer à Macron que l’organisation capitaliste de la société est profondemment inefficace, que cette inefficacité s’accroit désormais de plus en plus vite, que la désorganisation qu’elle produit nous mène au bord de l’effondrement économique et social et que sa politique n’apporte que des pansements sur des jambes de bois. L’existence même de cette armée de réserve industrielle, de ces millions de chômeurs et de personnes sorties du monde du travail est une terrible tragédie et une bêtise monumentale induite par le capitalisme.

    Il faudrait donc expliquer, à Macron et à tous, qu’une autre organisation sociale est possible et même indispensable. Qu’une planification globale de la production, qui peut tout à fait être, à la chinoise, une planification appuyée sur le marché, est nécessaire pour garantir le développement économique, la stabilisation économique, la souveraineté nationale, la protection du climat et de l’environnement et le progrès social.

    Il ne s’agit pas de planifier la quantité à produire pour chaque objet, en tous cas, pas au niveau central. Mais de planifier le développement conjoint et harmonieux de la population, de l’investissement, des savoirs, et de tous les mécanismes monétaires et financiers qui assurent la circulation d’ensemble de la valeur. Cette planification doit être socialiste. Elle doit être basée sur le développement de la principale la classe productive, dont le développement qualitatif est la première condition d’un avenir maîtrisé. Elle ne peut que s’appuyer sur le fait de transmettre à cette classe sociale productive le pouvoir de décision économique, social et politique, car elle seule saura en faire un usage dans le sens de l’intérêt collectif.

    Faute de cela, en se contentant à chaque fois, pour rétablir les taux de profits, de détruire les conditions d’équilibre de la société, d’abaisser les conditions de vie et de reproduction de la classe ouvrière, de consommer le patrimoine public constitué patiemment par des générations et de détruire la nature et l’équilibre climatique, on ne peut aller que dans le mur. Et tout indique que celui-ci approche.

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    • Daniel Arias
      Daniel Arias

      Le NAIRU est un indicateur économique un taux de chômage en dessous duquel l’inflation augment, pas bon pour les profits (Non Accelerating Inflation Ratio of Unemployement) .

      Concernant l’employabilité dans mon secteur l’informatique où les technologies changent (souvent inutilement) tous les 6 mois et leur assemblage est complexe, des dizaines de langages informatiques, des dizaines de logiciels de test et d’intégration et tout autant de méthodes et architectures. L’environnement informatique c’est formidablement complexifié et échappant souvent à une standardisation.

      Le résultat est que si vous êtes un programmeur vous ne valez plus rien si vous perdez votre emploi passé l’âge de 35 ans. Les employeurs préfèrent embaucher un jeune qui à acquis les langages à la mode à l’école ou à l’université. S’il échappe aux fonctions techniques de production du logiciel c’est à dire qu’il devient chef de projet ou analyste il aura peut être de la chance de pourvoir avoir une carrière un peu plus longue.

      S’il travaille en société de service il sera baladé de projet en projet et tant pis pour sa vie de famille, les amis, les collègues et sa santé mentale.

      Les offres d’emplois dans l’informatique sont souvent nombreuses et pour cause: un client a un besoin pour un projet et en fait la demande au sois traitant maître d’œuvre qui va soit recruter directement sois faire à son tour un appel d’offre aux sociétés de service de dernier niveau qui toutes vont poster une offre pour chaque poste, ce qui parfois multiplie par 5 ou plus le nombre réel de poste. La plupart des offres sont bidon.

      Mais ce n’est pas tout, comme ces entreprises travaillent toutes en mode projet il faut être “réactif” et pour être réactif il faut avoir une base de donnée de CV un cvthèque qu’ils constituent en présentant sans arrêt des offres d’emplois qui n’existent pas encore et en cas de besoin ils appelleront les candidats retenus.

      Parfois aussi publier des offres d’emplois sert tout simplement à rassurer les financiers et les clients en faisant de la com: on recrute on est important !

      Pour que ce marché sois réactif en mode projet il faut de nombreux personnels “High Tech” disponibles et donc au chômage.

      Concernant la formation dans les années 2000 mon employeur avait début le Off Shore en Inde où il était possible de recruter de bons ingénieurs pour un SMIC et surtout de les envoyer en formation 1 mois par an, chez nous en France c’était plus rare, seulement en cas de besoin sur un projet spécifique. Si vous étiez un expert une fois le niveau atteint plus de formation et impossible de changer de technologie puisque vous êtes experts dans votre partie.

      Démotivation, démission, pression, chantage au déplacements lointains c’est ainsi que les SSII changent leur personnel et si ça ne suffit pas on licencie.

      Une fois dehors au chômage les formations sont disponibles et là vous rencontrez la concurrence pour trouver un stage obligatoire pour valider la formation, même en stage gratuit il est parfois difficile d’en trouver.

      Nouveauté depuis quelques temps le jeunisme fait que les employeurs en sont à ce poser la question si un développeur senior peut s’intégrer dans une équipe de “Jeunes”, on croit rêver.

      Dans ces métiers les jeunes femmes une fois maman sont poussées vers la porte le mode projet est très efficace pour atteindre le but.

      Et comme il y a rarement un collectif de travail: les salariés sont dispersés et changent de projet; la conscience de lutte est tout simplement inexistante.

      Voilà le monde du travail merveilleux pour de nombreux informaticiens sous traitants ce qui est la majorité des emplois.

      Quel gâchis pour un métier qui peut être passionnant à la rencontre d’autres professionnels on apprend leur métier, on découvre les cultures propres à chaque domaine d’entreprise, on a le plaisir de résoudre des problèmes complexes, d’aider les utilisateurs,… Malheureusement trop souvent avec comme objectif la recherche des profits et non le progrès de la société.

      J’ai développé des applications complexes d’affectation des tournées poids lourds pour optimiser les trajets, des applications pour optimiser l’allocation des crédits, le passage aux 24 heures chrono pour un grand vendeur par correspondance, écriture d’un système de passage de commandes pour des milliers de magasins d’une grande enseigne de la grande distribution, j’ai participé à l’intégration européenne de services commerciaux, à la concentration bancaire par l’unification de leur service informatique, et une seule fois pour le ministère de l’éducation pour une réécriture d’un système d’indicateurs qui est passé à la poubelle 6 mois après,…

      Dans chaque projet il y avait de quoi améliorer la qualité au travail ou permettre une meilleure efficacité économique mais dans le mode capitaliste le seul motif reste le profit, profit duquel son exclus la plupart des producteurs de ces richesses.

      Pourtant il existe chez beaucoup de ces travailleurs une volonté de bien faire, d’être utiles et reconnus pour cette utilité.

      Combien de fois sont ils fêtés ou mis en avant?

      Nos Premiers Mai sont à pleurer de misère; en URSS il y avait des défilés parfois avec ce qui sortait de leurs entreprises et les ouvriers étaient les héros de productions culturelles.

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    • Martine Garcin
      Martine Garcin

      « … nous sommes pénétrés, sans le plus souvent en avoir même conscience, par l’idéologie bourgeoise » : c’est exactement la réflexion que je me suis faite en lisant la phrase de FM il y a quelques jours : « Que font-ils alors [les USA] ? C’est très clair : ils sont en train de rassembler leur camp traditionnel en un vaste empire intégré capable d’affronter la Chine et les pays résistants ».
      Nous laissons enfermer dans les schémas mentaux des adversaires, dans leurs raisonnements, et cela devient de fait notre réalité.
      Et si nous adoptions un autre point de vue que celui de nos adversaires ? Par exemple adopter celui des Résistants, ou des artistes, de ceux qui ont su ou savent créer une autre réalité que celle qu’on veut nous imposer ? Par exemple il est certain que nous n’avons pas encore intégré la réalité du nouveau monde. Est-ce une utopie ? Un Résistant communiste, incarcéré à la prison de la Santé en 1943-1944, me disait souvent son refus absolu de cette idée « d’utopie ». Pour eux, la victoire était certaine. Cet ami avait été chargé par un dirigeant du Parti communiste, incarcéré également, de maintenir au plus haut le moral des quelques dizaines d’intellectuels communistes emprisonnés à la Santé. Cette certitude de la victoire, leur réalité, leur a permis non seulement de tenir, mais aussi de continuer à l’intérieur de la prison les actions de résistance, de faire œuvre artistique, littéraire, etc. C’est à cet esprit de Résistance que nous devons notamment « les Jours heureux », les conquis du CNR.

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