Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

L’armée française nous dévoile le paquetage “grand froid” des soldats envoyés sur le flanc Est

Autre petit cadeau de Noël pour nos braves pioupious : pour affronter l’hiver dans l’Est de l’Europe (sic), les soldats français sont dotés d’un paquetage “grand froid” conçu et distribués par le Commissariat aux Armées. Ils vont pour affronter “le général hiver” avec la tactique de l’oignon, je me pèle, tu te pèles et à la fin tout le monde pleure. A quel point la situation est, en général, tendue, nous a été révélé par la grotesque unanimité qui a salué à l’Assemblée nationale l’ordre de mobilisation générale derrière l’OTAN voté la semaine dernière à l’unanimité mais aussi le report au 10 janvier de la discussion sur les retraites. Mais en parlant de retraites au flambeau cette fois, nos armées passent, repassent en Estonie, Lituanie, Roumanie pour faire admirer leurs tenues et pour tenter de donner quelques crédits aux propos un tantinet incohérents de notre président sur les négociations. Cela a un coût et rien ne dit que nos finances seront en état de supporter cet excès de gloire, mais ce soutien à l’empire sera peut-être apprécié des bailleurs de fond. En tous les cas, ce grotesque ne fait rire personne, le dossier d’aujourd’hui en effet montre à quel point les dangers montent tandis que l’on nous amuse avec la ligne Maginot des paquetages et cette acceptation de l’étrange défaite par nos élus irresponsables et minables. La caricature est une manière d’appel au secours… (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

En France, les températures chutent, mais dans l’Est de l’Europe, elles s’effondrent comme le constatent plus d’un millier de soldats français. Ils sont une centaine en Lituanie, 300 en Estonie et environ 750 en Roumanie. Dans ces régions, la température peut descendre à -30 ou -40° en ressenti, selon les vents et l’humidité des pluies et de la neige. Ils attendent là, l’arme au pied mais si l’on en croit Macron qui a du mal à distinguer entre le stade climatisé au Qatar et les routes menant à Moscou, nos pioupious sont prêts à livrer bataille contre l’Argentine, non je veux dire la Russie..

Pour les protéger de ces climatiseurs, non je veux dire de ces climats un équipement technique a été mis au point par le Commissariat des Armées, le service chargé entre autres de vêtir et nourrir les militaires français où qu’ils soient dans le monde. Ce paquetage “grand froid” a été élaboré en partenariat avec les armées de Terre, de l’Air et de l’Espace et la Marine. “Le paquetage commun assure déjà une protection jusqu’à -6 degrés. Nos soldats qui partent dans les pays baltes dans le cadre de la mission Lynx disposent d’un paquetage complémentaire pour les protéger jusqu’à -21 degrés”, explique le lieutenant-colonel Pierre-Antoine de l’état-major de l’armée de Terre. Il faut en effet prévoir on sait jamais si les troupes dans le cadre des effondrements si fréquents de l’armée russe – du moins à ce qu’en disent les experts de LCI – se retrouvaient par hasard du côté de Vladivostok, il faut prévoir… Les pessimistes craignent plutôt la Berezina et ses glaces se brisant sous le poids…

Macron ne se sent plus , il crie, il encourage en bras de chemise les bleus sur l’herbe verte… On les aura tous à Moscou et pourquoi pas Pékin !!! (c’est bon pour faire passer les retraites à 75 ans et gonfler d’autant les “réservistes”).

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Et ils répondent à l’appel du chef : qu’est-ce qu’on voit comme soldats français notent les Roumains, les Estoniens, les Lituaniens ! Et ils doivent penser que ce sont des hommes d’une espèce particulière, créés par la nature pour aller sans fin partout : qui descendent d’un plateau pour aller sur un autre, se déshabillant au pas dans les creux pour se rhabiller dans les bosses sans lâcher le fusil, qui ne passent sur un pont dans un ensemble intempérie azur que pour franchir un autre pont avec une parka. Le temps n’étant pas encore tout à fait mûr pour les grandes entreprises guerrières alors en bons français ils défilent sur le podium des vanités présidentielles, ce sont les vertueux enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé, l’art de se montrer constant sur les photos aux côtés de l’Ukrainien. Et les soldats ne font que passer, passer, passer en exhibant leur paquetage et en jouant du clairon pour que notre président puisse se croire important.

Nous ne sommes plus assez riches pour payer le prix d’une telle gloire… notre centralisation est convulsive, nous épuisons les territoires mais il en reste bien assez pour la grande armée à l’assaut du despote russe… le paradoxe est bien connu le mauvais état de nos finances nous force à la guerre qui dispose bien à notre égard les argentiers… Déjà nous étalons les paquetages, demain ce seront les croix dans les cimetières… Une vieille tradition que ces guerres européennes. Biden dispose ses soldats de plomb. Les armées de terre s’affaiblissent de plus en plus en s’étirant sur la terre russe, les colonnes s’amincissent, mais Saint Pétersbourg et Odessa sont à la merci de la marine et dans ce domaine depuis toujours les troupes de la marine, des experts en sabotage britanniques sont les mieux placées, elles sont d’ailleurs déjà là…

En France, où la Bourgeoisie d’affaire celle qui prête dans le monde entier, elle-même dirige la réaction dans son propre intérêt et la forme républicaine se perd dans un hoquet de 49.3, le petit peuple grogne, mais à l’Assemblée nationale, elle s’est assurée du patriotisme conséquent des élus du peuple qui ont dit à l’unanimité leur assentiment à la guerre. La loi sur l’instruction et sur toutes les administrations continue à vendre les bijoux de famille et à serrer la vis pour s’assurer les crédits pour la guerre.

Le principe de l’oignon

Je me pèle, tu te pèles et à la fin tout le monde pleure…

Ce paquetage s’appuie sur le principe de l’oignon avec des couches multiples qui entre elles laissent passer de l’air pour évacuer la transpiration et réchauffer le corps. Chaque militaire choisit de l’adapter selon la zone d’engagement, l’activité (statique ou dynamique), mais aussi de sa propre résistance au froid. “Le froid est une vue de l’esprit, comme on le dit dans l’armée. Le ressenti au froid diffère d’une personne à un autre, c’est pour cela que la méthode du multicouche est importante pour s’adapter à chacun”, ajoute le lieutenant-colonel Pierre-Antoine. La redoutable Russie n’a rien de redoutable et le général hiver est un mythe face aux tissus thermolactyl made in China.

On y trouve des sous-vêtements régulateurs et techniques, une veste tactique de combat, une autre thermique, un ensemble intempérie composé d’une veste et d’un sur-pantalon puis enfin une parka. S’y ajoutent un bonnet, des chaussettes à fils d’argent, des gants de haute montagne, des lunettes à neige de classe 4 pour se protéger de la réverbération, un blouson “softshell”, des chaussures de montagne avec des sur-bottes et même un duvet efficace jusqu’à -35 degrés. “Ces effets offrent une capacité et une modularité qui permet de s’adapter en fonction des conditions climatiques et à nos missions. Nos normes sont bien plus sévères que celles du civil. Ils doivent être solides, pratiques, légers et ergonomiques”, explique le Major Fabrice, commissariat des Armées et membre de troupes de montagne.

En effet, les soldats doivent en plus pouvoir utiliser leurs armes rapidement, s’équiper des protections balistiques (casque, gilet pare-balle modulaire) et porter un sac de combat. Pour créer des vêtement adaptés, l’équipement passe par une longue phase de test sur le terrain et le chemin pour une validation finale et une commande peut prendre plusieurs années selon sa complexité. “Mais c’est pour cela que nous préparons en permanence des équipements qui arriveront sur le terrain dans les prochaines années et sont prévus sur quatre ans”, explique le commandant Stéphane de la section technique de l’armée de Terre et officier de cavalerie de la légion étrangère.

Le marché est-il juteux ? La prospérité qu’engendre la guerre pour certains fait déjà flotter sur les plateaux de télévision un optimisme béat sur notre victoire sans coup férir. Et en les écoutant on se demande jusqu’à quand cette ivresse durera et quel nouveau assaut se brisant sur le mur des défenses russe provoquera des cris d’extases des commentateurs. C’est sûr on gagnera peut-être dès la fin du printemps, en juillet et en août mais en attendant l’armée prépare déjà sa collection automne hiver, pour notre arrivée en Sibérie…

Des vêtements intelligents à défaut du reste…

Le commandant Stéphane nous a dévoilé quelques éléments en cours de test comme un blouson ultra léger protégeant du froid et de la pluie. Il a été conçu pour remplacer une polaire lourde et encombrante que les soldats ne mettaient plus.

“Nos besoins évoluent en fonction des théâtres d’engagement et du retour d’expérience de nos soldats. Pour le froid, nous nous servons aussi de l’expertise des troupes de montagne et de l’évolution technologique de l’industrie textile”, poursuit le commandant Stéphane. On ne sait jamais si nous arrivions si rapidement que nous pourrions quelque part franchir les sommets de l’Himalaya pour attaquer la Chine par surprise.

Pour les équipements du futur, le Commissariat des Armées travaille avec l’Agence innovation défense (AID) pour mettre au point des tenues technologiques. Les équipes travaillent par exemple sur les vestes connectées capables de se réguler en fonction des conditions météorologiques et même de tenir informé le quartier général sur l’état physique du combattant.

De la science-fiction? Pas vraiment, un prototype de vêtements intelligents a été dévoilé lors du Forum innovation défense qui s’est tenu à Paris l’an dernier. Pour créer ce soldat “augmenté”, l’AID a lancé avec Thales et Safran le programme Centurion. Les études ont démarré dès 2019 mettre au point des démonstrateurs en 2030. En matière de vêtements intelligents, l’armée française a une longue tradition. Les soldats français commencent la Première Guerre mondiale avec les mêmes uniformes que lors de la guerre franco-prussienne. Si ces uniformes convenaient à la guerre de mouvement, pour des batailles rangées ponctuelles, ils se révèlent rapidement bien trop visibles, notamment le pantalon garance de 1864 ce qui fait des soldats français des cibles faciles. En plus de cela, la capote bleue de 1877 est inadaptée à la vie dans les tranchées, elle ne protège pas du froid l’hiver et se révèle beaucoup trop chaude l’été. L’uniforme est complété par un képi bleu et rouge modèle 1884 qui sert de cible aux tireurs ennemis et ne protège pas des éclats d’obus. De nombreux soldats mourront à cause de cet uniforme inadapté dans les premiers mois du conflit. Cela pousse l’État major à changer les uniformes des hommes de troupe en 1915. 

Avoir donc des vêtements intelligents est peut-être la seule solution pour être en phase avec la connerie qu’est la guerre…

Je me souviens d’un temps où Maurice Thorez disait : “Jamais le peuple français ne fera la guerre au peuple russe et cet homme de raison ajoutait : parce qu’il a le souvenir de la retraite de Russie, de la Berezina et de Stalingrad où ce même peuple nous a libéré. En ce temps-là les dirigeants communistes s’honoraient de connaitre l’Histoire et d’en tirer des leçons qui donnaient de l’ampleur à leur vision du monde. Comme le souligne l’historien Marc Bloch, un peuple qui pense immédiatement dans la longue durée historique marque son génie… Mais où est passé le génie, dans quelle bouteille l’a-t-on emprisonné?

A propos de la retraite de Russie voici quelques descriptions prises sur le vif:

« Ceux qui n’avaient ni couteau, ni sabre, ni hache et dont les mains étaient gelées ne pouvaient manger (…) J’ai vu des soldats à genoux près des charognes mordre dans cette chair comme des loups affamés »

— Journal du Capitaine FrançoisCharles-François François

« On nous faisait toujours marcher autant que possible derrière la cavalerie (…) afin que nous puissions nous nourrir avec les chevaux qu’ils laissaient en partant »

— Mémoires du Sergent BourgogneAdrien Bourgogne

Des cas de cannibalisme

Poussés par le manque de nourriture et le grand froid, des soldats furent amenés à manger la chair d’autres soldats. Roman Sołtyk raconte qu’il a payé six francs une soupe à base de chair et foies de trainards sortis des rangs. Philippe-Paul de Ségur raconte que des soldats, ayant trouvé la mort dans des maisons incendiées, furent mangés par des soldats affamés qui « osèrent porter à leur bouche cette révoltante nourriture ».

Des cas d’autophagie sont rapportés par le chef d’escadron Eugène Labaume : « Les uns avaient perdu l’ouïe, d’autres la parole et beaucoup par excès de froid, étaient réduits à un état de stupidité frénétique qui leur faisait rôtir des cadavres pour les dévorer ou qui les poussait à se ronger les mains et les bras »

Le harcèlement russe

S’ajoute à cela la peur des attaques russes ; elles font peser une menace sur les retardataires, les hommes de la Grande Armée égarés étant pris pour cibles et faits prisonniers. À Elnia, le général Augereau est capturé avec sa brigade. Vers Slavkovo, l’arrière-garde commandée par Davout subit de lourdes pertes, comme aussi les troupes de Ney, près de Krasnoïe, ce qui incite Napoléon à prendre un raccourci. Les Cosaques harcèlent l’armée de Napoléon, tentant de lui barrer le passage tout en se rassemblant pour le combat majeur que va connaître la retraite de Russie.


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3 Commentaires

  • LEMOINE Michel

    Quand j’ai fait mon service militaire dans les années 70 nous faisions déjà la guerre à “une nation rouge venue de l’est”. Nous étions aussi équipés pour les grands froids. Je me souviens d’avoir passé deux semaines en janvier sur la frontière tchèque. Nous dormions à même le sol dans des trous que nous avions essayé de creuser (la terre était trop gelée en réalité) recouverts de feuilles et l’arme sur la poitrine, un flacon de gnôle dans la poche . Les officiers nous réveillaient toutes les heures car s’endormir trop profondément c’était selon eux risquer la mort.
    Quand l’attaque a eu lieu nous sommes sortis comme un seul homme en tirant (heureusement à blanc) à tort et à travers. Il y a eu pourtant des blessés suffisamment graves pour qu’il faille appeler un hélicoptère pour les évacuer.
    Le problème c’est qu’après quelques semaines de ce régime, quand nous sommes rentrés à la caserne je tenais à peine debout. Il y avait un couloir qui menait à la chambrée. Je l’ai vu long comme un tunnel dont j’ai cru ne jamais pouvoir atteindre le bout.
    Le problème avec la guerre, c’est qu’elle ne dure pas deux semaines mais plusieurs années. Équipé ou pas il est impossible de tenir. Je ne crois pas que l’armée française même avec son équipement grand froid et ses rations adaptées puisse tenir longtemps. C’est bien qu’il y ait quelques soldats qui expérimentent un peu la chose. Ils pourront expliquer à leurs camarades que s’ils tiennent un peu à la vie, le mieux est de s’abstenir, de faire la paix avec des gens dont les affaires ne sont pas les nôtres et qui ne demandent qu’à vivre tranquilles chez eux dans leur pays froid aux hivers glacés.

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  • Daniel Arias
    Daniel Arias

    “Le froid est un état d’esprit”.

    Dans une certaine mesure je confirme.

    J’ai servi, fin des années 80, et fait mes classes en février dans les Vosges, région au climat assez inhospitalier en hiver.

    La tenue quotidienne de l’apprenti soldat était composée d’un maillot de corps, la chemise F1 avec son col montant, la veste de treillis et la lourde parka, sur la tête une casquette et un cache col, aux mains des gants permettant de tirer, aux jambes collants longs si grand froid et pantalon de treillis, chaussettes et brodequins.

    Les 15 premiers jours les 200 formant notre classe avons passé nos journées à tousser ; pour nous acclimater aux Vosges longues promenades ou attente à l’air libre par tout temps, vent ou pluie, ou beau temps glacial ; le matin toilette et douches à l’eau froide avec les salles de bains gelées, les sous officiers avaient aéré toute la nuit.

    Passé ce traitement de choc, nous voilà à se sentir presque bien dehors, la désensibilisation au froid avait fonctionné.

    En fin de formation il y avait le stage : combat de nuit, enfin un peu d’action, en défense il fallait protéger les marguerites (remblais de terre entourant les avions dans les bases aériennes). Là les consignes étaient très claire, surtout ne pas dormir, pour la mission mais surtout pour ne pas tomber en hypothermie ; longue attente de minuit à trois heures du matin, allongé sur le sol glacé à attendre l’assaut, même sur le gel avec les tenues de l’époque on tenait, mais le froid fatigue et la lutte contre le sommeil est le plus dur à combattre après 4 semaines de classes ; et là l’équipe qui jouaient l’assaut a mené une charge rapide et violente à 3 heures du matin ; c’est l’heure où les organismes sont les plus fatigués ; nous avions juste le temps de réagir engourdis et tenter quelques tirs. 3 heures d’attente pour à peine 15 minutes de combat.

    Une autre nuit s’était à notre tour d’attaquer, et là tenue légère, juste le treillis et l’arme, pas de casque lourd ça sert à rien, juste un bonnet, il faut être agile et le moins visible possible. L’approche a aussi été très longue, les mêmes 3 heures,franchissement des grillages et progression en rampant dans les fossés ventre à terre dans la glace et la neige ; c’est surprenant mais on a chaud.

    Les nuits on dormait sous des tentes chauffées avec un poêle, température sous la tente chauffée :0 degrés, le matin les lacets des imprudents étaient gelés dans la terre.

    Ceci a duré une dizaine de jours, en Ukraine c’est tout un hiver qu’il faut endurer et attendre les relèves.

    Fin du service militaire et retour au civil pendant plusieurs années je ne supportais plus les chaleurs d’été et petit à petit perdait ma désensibilisation au froid.

    Préparer un organisme à ces conditions de combat est long et de ce côté nos voisin de l’Est on un avantage ; surtout quand en France une partie de l’armée a été acclimatée au désert et à l’Afrique, notre arrière court.

    Sur une longue durée il faut non seulement l’équipement du soldat mais une logistique qui suive, ors les Russes ont les moyens de détruire les ravitaillement.

    Les rations de combat de l’Armée Française d’aujourd’hui sont excellentes et adaptées à l’effort ; mais les rations haute énergie, rations commandos à presque 4000 calories sont dégueulasses et extrêmement sucrée, c’est bon pour mener le coup de poing mais pas dur la durée.

    Je ne pense pas que la France engage un jour le combat direct contre la Russie qui bénéficie d’un certain prestige y compris parmi nos soldats, dont une part non négligeable sont descendants de pays colonisés, chez le soldat le milieu social est celui des fils d’ouvriers et employés bien souvent.

    L’Armée Française est taillée pour faire la police en Afrique pas la guerre à la Russie.
    D’ailleurs aucune armée n’est taillée pour combattre la Russie, la Révolution nucléaire a rendu caduque une victoire contre eux.

    Par contre la menace et l’épouvantail Russe vont certainement remplir les carnets de commande et les poches des amis de nos députés et ministres.

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    • Bosteph
      Bosteph

      Mon service était beaucoup plus cool que les vôtres, Messieurs, à la fin des années 80 . Dans l’ armée de l’ air, il est vrai.

      Pour ce qui est de nos armées, Pierre DE VILLIERS vient encore de le dire, tout récemment (Le Parisien/Aujourd’ hui en France) qu’ elles ne sont pas prêtes pour un conflit de haute intensité . Il vaut mieux croire lui, que le macroniste Trinquand !

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