Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Peut-on négliger l’inquiétude devant ZEMMOUR et LE PEN? par PAM

Ici dans histoire et societe un débat a été entamé sur le fond et à quelques rarissimes exceptions près dans la cordialité et la camaraderie. Nous sélectionnons volontiers certaines réflexions qui nous paraissent contribuer à un questionnement mais c’est l’ensemble de la discussion qui témoigne de la capacité acquise à aller au fond, c’est un espoir qu’il faut entretenir malgré la censure y compris dans la presse qui fut jadis communiste. Certes cette peur de l’extrême droite raciste provoque de légitimes comportements, du vote utile pour MELENCHON détruisant les organisations qui peuvent protéger de ce fascisme à MACRON qui non seulement n’a pas cherché à l’éradiquer mais selon la tactique mitterrandienne l’a fait monter pour l’utiliser pour rester au pouvoir, c’est donc la politique de GRIBOUILLE que le “vote utile” aller se réfugier dans le lac pour éviter la pluie. J’ajouterai ce que j’ai déjà dit en réponse à DELAUNAY à savoir que la dimension anti-impérialiste est de celles qui permettent de faire la jonction entre le travailleur dans les entreprises et les couches populaires dans les cités souvent d’origine maghrébine ou du Moyen Orient qui ont je peux en témoigner une sympathie spontanée pour la Chine et la Russie face aux menées de l’OTAN et des USA. (note de Danielle Bleitrach pour histoire et societe)

JLM n’a pas un pb de 1,21%, mais bien plus grave, car pour la première fois en France, le total gauche est en dessous du total extrême-droite… c’est ce fait fondamental qui doit interroger les communistes pour répondre à l’inquiétude populaire bien réelle sur le fascisme.


Car si le vote utile a si bien fonctionné dans les quartiers (à Vénissieux, c’était impressionnant aux minguettes ou j’habite, les familles venaient voter en masse et plutôt dans la joie), ce vote était d’abord un vote d’inquiétude devant Zemour Le Pen… Leur dire qu’on s’en fout qu’elle soit élue ou pas serait une catastrophe !

Cela dit, le système continue à piloter cette élection pour arriver au résultat préparé. Elle ne passera pas. Et dans l’état de division militante, il faut être attentif à ne pas générer plus de tensions avec les plus remontés contre Macron… Il est normal que le candidat s’exprime clairement pour voter contre Le Pen, les communistes n’ont pas besoin d’en faire des tonnes sur le sujet, et doivent par contre tenter de montrer à ces électeurs populaires de Mélenchon la limite d’un bulletin de vote présidentiel…


S’ils sont maintenant dans ce piège de voter Macron contre Le Pen ou de ne pas voter au risque de Le Pen, c’est la traduction d’un rapport de forces dans le réel. Et les gens le savent bien. Ce sont les riches qui décident, les propriétaires et cet instinct de classe peut être réveillé à cette occasion. Fais au mieux le 24 avril, mais ne t’arrête pas comme en 2017. C’est après que ça se joue, dans l’action pour le droit au logement, à l’emploi, à un salaire digne.

Et on retrouve alors la question du parti, et la difficulté.. il faut plus de radicalité, avoir un positionnement plus clairement de classe, orienter tout le parti vers le monde du travail, mais sans tomber dans un gauchisme déclaratif. LO malgré la ténacité et les efforts impressionnants de ces militants nous montre aussi cette impasse…

Et donc, il faudra du temps, et il faut un réveil militant dans la jeunesse sans lequel, il est difficile d’espérer… Malheureusement, les anciennes directions du parti ont pourri beaucoup de choses dans la JC, perdu beaucoup de militants de valeur. Mais il en reste, et il faut les aider en priorité.

rien n’est jamais acquis à l’homme, ni sa force, ni sa faiblesse..

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9 Commentaires

  • Dechamps
    Dechamps

    Pour moi c’est aussi simple qu’en 1969 avec la formule de Jacques Duclos _Macron-Le Pen, c’est Bonnet Blanc et Blanc Bonnet. Bien sûr on peut trouver des différences mais au final ce sera une politique anti sociale dont les seuls bénéficiaires sera la grande bougoiesie. L’important c’est de continuer la reconstruction d’ un vrai Parti Communiste. Il n’y a pas d’autre moyen et cela ne peut ce faire que dans la lutte de tous les jours et sur tous les frond

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    • marsal
      marsal

      Je ne pense pas qu’on puisse dire que c’est blanc bonnet et bonnet blanc, car ce résultat engagera des dynamiques institutionnelles et politiques très différentes et porte un contenu social et sociologique très différent.

      Le souci, c’est que pour beaucoup de gens, on ne va pas se situer dans une analyse politique fine mais plutôt dans le choix de “qui est le plus “repoussoir” ?” entre Macron et Le Pen. Et ce que j’entends, c’est un fort clivage (donc une division qui est en elle-même un problème très grave) entre ceux qui sont prêts à tout pour se débarasser de Macron, et ceux qui sont prêt à tout pour éviter Le Pen. Donc, on peut légitimement s’interroger sur la position exacte à prendre, il ne faut pas se faire d’illusion: notre capacité à peser sur la situation d’ici au 24 est faible, voire inexistante.

      Il me semble que la seule manière de sortir du piège, c’est de considérer que l’enjeu majeur désormais réside dans les législatives. Si la “gauche” parvient à s’unifier rapidement, c’est à dire à constituer un programme et un accord convaincant pour engager la bataille des législatives avec l’objectif de gagner et de former le gouvernement, alors, le vote Macron prend sens (“on bat Le Pen d’abord, on bat Macron ensuite).

      Si tel n’est pas le cas, ou que Le Pen l’emporte, la pression sera énorme pour constituer pour les législatives un nouveau front républicain, une “grande coalition” fourre tout, qui certes aura de grandes chances de gagner les législatives, mais dans laquelle les classes populaires risquent à nouveau d’être perdantes et découragées.

      Les échanges de sms (dont les médias se sont fait l’écho sans nous dire ce qu’ils contenaient) entre Macron et Mélenchon ainsi que le discours soudain plus à gauche de Macron me font penser (mais je peux me tromper) qu’il (Macron) se place peut-être déjà dans cette hypothèse. C’est une opération qui me semble avoir peu de chances de succès pour les présidentielles, mais davantage pour les législatives.

      Autres éléments à prendre en considération:
      1) Au vu des résultats, sans avoir pu consulter une projection détaillée, il me semble que la possibilité (exceptionnelle sous la 5ème république) d’une assemblée nationale sans majorité claire, avec 3 blocs : gauche, centre et ext. droite, devient très envisageable aujourd’hui
      2) si le président a peu de pouvoir en situation de cohabitation, il garde l’option majeure de la dissolution. Il garde donc une possibilité de revanche rapide et de retournement dans une situation économique et sociale qui sera de toutes façons très difficile du fait de la guerre, de l’inflation et des possibles pénuries.

      Les communistes doivent porter le regard vers l’avenir et nous devons renforcer (y compris en participant à un éventuel rassemblement de la gauche) le caractère socialiste de notre programme économique, en formulant clairement des étapes vers une économie socialiste de marché : un programme de rassemblement de gauche sera nécessairement très keynésien et très certainement, cela ne pourra être qu’une toute première étape vers la solution des problèmes actuels.Très vite, la dynamique des événements en montrera les limites et la situation pourrait même très probablement s’aggraver rapidement malgré ces premières mesures. Il faudra que nous ayons, à la fois, soutenu ce qui va dans le bon sens, mais également posé des jalons très clairs pour la suite.

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      • Rouge Trégor
        Rouge Trégor

        La tâche la plus importante est de reconstruire un PCF de lutte de classes en partant de la base (quartiers et entreprises) ayant la visée d’un “socialisme aux couleurs de la France”, renouant des liens avec TOUS les PC du monde (russe et chinois compris).
        Mélenchon, lui, ne poursuit qu’un but : achever le PCF.
        ci-après la contribution de Nicolas Maury.
        https://www.editoweb.eu/nicolas_maury/Sur-les-taches-et-les-perspectives-du-PCF-apres-le-premier-tour-des-elections-presidentielles_a16004.html

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      • Daniel Arias
        Daniel Arias

        Une économie socialiste de marché en France ne sera pas une économie socialiste de marché à la Chinoise.
        En Chine le PCC est dominant avec ses contradiction internes mais c’est lui qui a le pouvoir.
        En France une économie socialiste de marché a de fortes chances de ressembler à une économie du type de celle menée par Charles de Gaulle.
        Ici c’est la bourgeoisie qui domine aussi bien la droite que la gauche social démocrate.
        Il n’y aura pas dans l’état des choses de dictature du prolétariat.
        Cette économie socialiste de marché sera dirigée dans le meilleur des cas par la petite bourgeoisie et les classes moyennes des profs, des avocats, des professionnels de la politiques, des “intellectuels” et non par une assemblée représentée par des ouvriers ou employés.
        La composition de classe d’un tel gouvernement a son importance et ce problème ne sera pas résolut d’ici aux législatives.

        Maintenant il ne faut pas sous estimer la droitisation de la société française tant qu’elle ne va pas rencontrer violemment les contradictions matérielles que la guerre va inévitablement nous apporter. Nous sommes encore entrain de vivre sur nos réserves et l’impact sera limité d’ici les législatives.

        Je ne vois pas comment par miracle ceux qui à 65% ont voté droite dure vont voter à gauche.
        Nous verrons bien.

        Nous sommes quoiqu’il arrive toujours confronté à l’absence de conscience de classe massive et enraciné dans le peuple. Une grande partie de ces 65% sont des salariés qui votent pour les intérêts de leurs exploiteurs.

        L’économie socialiste de marché renforce la confusion dans l’esprit des gens en donnant un rôle aux capitalistes petits ou grands, en les rendant fréquentables.
        Pourtant le capitalisme ne change pas de nature et obeis aux mêmes lois de l’accumulation du capital et de l’intérêt égoïste, même chez le boulanger du coin où parfois les conditions de travail y sont pires que dans les grandes entreprises.

        Maintenant la dictature du prolétariat en France nous en sommes très loin.

        Peut être que seul un keynésianisme peut être accepté, mais je ne vois pas comment une telle politique peut venir à bout des contradictions antagoniques entre les capitalistes et les prolétaires. Une telle politique aura pour effet d’endormir les plus révolutionnaires après des “victoires” éphémères sous forme de réformes du capitalisme. La réaction prendra son temps pour saper les acquis. C’est ce qui c’est produit à la suite des réformes portées par le CNR.
        Aujourd’hui la réaction est devenue hégémonique et va s’attaquer avec violence aux derniers acquis et au coût du travail.

        Sur une assemblé à 3 blocs avec un bloc centre, je ne vois pas ce qui est au centre, LaREM ? Je vois plutôt un bloc à gauche écrasé par les LFI si Le Pen est président, un bloc droite dure LaREM/ débris de LR, extrême droite RN/Z/débris de LR.

        On est mal !

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        • Xuan

          S’il n’y a pas de dictature du prolétariat il n’y aura ni socialisme ni socialisme de marché. Si nous voulons simplement des “jours heureux” des mesures contraignantes doivent être imposées aux capitalistes, pour empêcher la fuite des capitaux, nationaliser les banques, prendre les mesures nécessaires sur l’émission de monnaie, sur les investissements, sur les denrées indispensables, les loyers, etc. pour ne citer que quelques exemples, et sans entrer dans le détail des relations internationales.
          Autant de décisions considérées comme une insupportable dictature par la classe bourgeoise. Après on peut appeler ça comme on veut mais le résultat est le même, c’est la dictature du prolétariat et l’ennemi de classe ne s’y trompera absolument pas.

          Parmi ces mesures, et dans le cadre d’un large mouvement de masse qui la soutiendrait : l’abolition du monopole bourgeois dans les médias, et une part largement dominante pour les médias révolutionnaires et communistes. De fait les médias hostiles à la transformation de la société ne devraient plus s’exprimer.

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      • pam
        pam

        Je crois que tous les discours sur la possibilité d’une “cohabitation” de la gauche avec Macron (voire avec Le Pen aurait écrit un insoumis quelque part, un comble!) reposent sur une lecture totalement fausse du rapport de forces issus du 1er tour. La FI veut faire croire qu’elle est en situation de gagner, mais ce n’est pas du tout le cas. Pour faire court
        1/ l’abstention progresse de 24 à 26% pour la 4eme présidentielle de suite
        2/ l’extrême-droite progresse de 20 à 24% des inscrits pour la 4eme présidentielle de suite. Elle est pour la première fois devant le cumul de toute la gauche
        3/ Macron progresse de 2 points, un comble dans le contexte de colère populaire contre lui, et une belle réussite quand Sarkozy avait perdu 6 points après son mandat!
        4/ Et la gauche non communiste, tout ce qui est issu du parti socialiste de Mitterrand (comprenant les insoumis) est en baisse de 3 points…

        Comment pouvez-vous vous laisser berner par le discours de Mélenchon premier ministre !!!
        La vérité est que Mélenchon n’a pas réussi a mobiliser 12 Millions d’abstentionnistes. Et les dernières semaines, il a arrêté de dire que c’était l’abstention qui pouvait l’empêcher de gagner et s’est entièrement consacré à la chasse aux électeurs communistes pour interdire toute reconstruction du parti.

        Le résultat est un rapport de forces aussi favorable à la droite que 65 ou 69…

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  • Mikaty
    Mikaty

    Pour l’action, les trotskystes de LO et du NPA nous montrent la voie. Ils ne croient pas dans les élections mais seulement dans l’action. Les Insoumis, eux, ont joué à fond les élections, mais aussi le soutien aux mouvements sociaux des 5 dernières années… gilets jaunes, femmes, écologie, étudiants, précaires, etc etc.. Ils en ont récolté les fruits de manière impressionnante (le vote des banlieues).
    Ces mouvements se sont heurtés bien souvent au mépris, si ce n’est au rejet, des partis institutionnels, semblant défendre plus les places que leur classe… Les rencontres entre le PS, le PCF et ELVV pour se répartir des circonscriptions, en a choqué plus d’un. Tout le monde n’a pas la protection d’un syndicat, d’une convention collective, d’un poste d’élus pendant les 5 ans à venir. L’urgence est là, et parfois il faut sortir et prendre le risque de tout perdre.

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    • Daniel Arias
      Daniel Arias

      J’ai grandi en banlieue et parmi mes amis d’enfance du quartier seuls trois étaient “français”, tout le reste se partageait entre marocains, algériens et turcs arrivés plus tard.
      Les quelques amis marocains qui se sont engagés en politique n’avaient pas beaucoup de convictions mais le maire était PS, ça peut aider, certains me le disaient clairement, pour avoir une place à la Mairie. Pas de mauvais gars mais il faut bien manger et ce sont de bonnes places un boulot sûr. Les algériens étaient plus politisés la fracture de la guerre d’Algérie était là, surtout chez les harkis. Les Turcs eux semblaient assez nationalistes.
      Les portugais étaient peu politisés et focalisés pour devenir ouvriers et trouver rapidement un travail.

      Chez les maghrébins une bonne partie ont fait des études supérieures, l’un d’eux est même professeur d’université à Nice, d’autres enseignants, informaticiens, financiers, professeurs, éducateurs et pour ceux qui ont fait le moins d’études une part non négligeable est entrée dans l’armée et sont sous officiers, d’autres ouvriers, leurs sœurs certaines ont fait des études, d’autres travaillent dans les soins à l’hôpital, dans les EPHAD,chez des particuliers dans le commerce,…
      Bref tout ces gens produisent ou servent la France.

      J’ai vécu avec eux quand nous étions jeunes adultes avec l’envie de sortir s’amuser comme tout jeune, les discriminations dans les bars de centre ville où le serveur tardait parfois presque une heure pour venir prendre la commande, pas grave il fait beau on reste assis; ou bien encore où quand avec un amis caporal de l’armée de l’air les sorties en discothèques se terminaient toujours par “désolé c’est soirée privée !” annoncé le comble par un videur black parfois.
      On finissait systématiquement dans les deux boîtes de nuit où le patron était humain l’une où on se retrouvait avec toute la communauté martiniquaise de la ville, l’autre dans une boîte ouverte à tous où les “arabes” n’étaient pas rejetés tenue par un patron homosexuel qui accueillait les LGB de la région, un petit espace de tolérance.
      Géographiquement isolés, les bus fini a 19 heure histoire qu’on aille pas déranger le blanc du centre ville; pas de bol on gagnait des sous et on avait des voitures une fois adultes.
      Un amis ouvrier algérien qui avait économisé pendant 10 ans pour s’acheter une BMW d’occasion nous invite à arroser ça en ville, à 4 dans la BM j’étais le seul qui puisse ressembler à un français, derrière nous une voiture de police, je leur dis “tu paris qu’ils nous arrêtent”, bingo contrôle des papiers messieurs, des arabes en BM c’est louche, tout était en règle et ces faux culs de flics devenant sympa “ah c’est une belle voiture !”, pauvre con c’était le modèle de base d’occasion avec 10 ans d’économies.

      Le mépris, le racisme gentillet, ordinaire des français moyens ce qui se permettent de dire “salle bougnoules”, “il y a trop d’arabes”. Mes amis ont tous encaissé sans rien dire, continuant à produire pour la France.

      Maintenant ton vote Mélenchon dans les banlieues quand tu subis le racisme ordinaire au quotidien t’as pas envie de Le Pen et que les chiens soient lâchés.
      Les étrangers on sais d’où l’on vient, d’où viennent nos parents et ce qu’ils ont enduré, et ce que l’on endure aussi.
      Dans le quartier où j’ai grandi et où vit encore mon père je l’ai accompagné au bureau de vote et j’ai vu la forte mobilisation des enfants d’immigrés, des “arabes” qui sont aussi français que les autres (peut être même plus!), je penses qu’ils savent où peut mener la barbarie en Europe ils l’on vu dans les cours d’histoire.

      Croire que c’est une adhésion à Mélenchon ? Oui probablement pour certains, mais je penses surtout que c’est une mesure de protection contre les racistes.

      Un racisme ordinaire à la bonne franquette qui peut devenir un monstre à tout moment, ce racisme ordinaire que j’ai souvent observé aussi à gôche chez les PS, des enseignants de gôche, des syndicalistes de la CFDT mais aussi et bien plus grave chez certains à la CGT et même bien plus rare au PCF.

      Ce poison se cache aussi à gauche.
      N’est ce pas Sith Rouge ?

      =======

      Pour ce Sith Rouge je ne pense pas que le problème des travailleurs soit une histoire de “cul”, les jeunes que je connais eux ont des problèmes de logement, de fins de mois, trouver un stage ou un emploi qui parfois perturbe leurs couples quand ils réussissent à en former un. Le plus souvent ils sont bien plus romantiques que ne veulent nous le faire croire les Bobos éthérés; ils cherchent encore le grand amour “trouver le gars ou la fille bien” ; ces bobos pour qui le problème est de trouver la fumette ou se mettre de la merde dans le pif ou de sauter tout ce qu’il voit. Il ne faut pas généraliser la pourriture d’une classe sociale moyenne chancelante qui imagine que ses mœurs sont la majorité.

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      • garlaban
        garlaban

        formidable réponse Daniel !!!!!!!

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