Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

La guerre : aucune idée mais à votre bon cœur …

Une députée proche de Volodimir Zelenski et responsable de la commission à la défense a affirmé que les hauts gradés militaires « n’avaient aucune idée de comment poursuivre la guerre face à la Russie ». Elle a également demandé leur démission s’ils ne trouvaient pas de solution. Le job de l’acteur Zelenski c’est de vendre la guerre et la courageuse petite Ukraine. Son problème c’est l’image qui attirera armes et financement quitte à transformer le front en charnier en torpillant les négociations. Mais le rapport qualité prix n’y est pas et chacun se renvoie la balle alors que l’OTAN et l’UE feignent d’y croire pour que nous continuions à entretenir l’effort de guerre… tandis que les drapeaux ukrainiens empoussiérés continuent à flotter sur les frontons de nos mairies comme le témoignage d’une propagande qui a pris la place de combats pour la liberté, où on nous a vendu un disciple de Franco comme un républicain espagnol avec pour résultat la balkanisation d’un continent, sa fascisation. (note de Danielle Bleitrach histoireetsociete)

Illustration: le job de l’acteur Zelenski c’est de vendre la guerre et la courageuse petite Ukraine. Son problème c’est l’image qui attirera armes et financement quitte à transformer le front en charnier en torpillant les négociations. Mais le rapport qualité prix n’y est pas et chacun se renvoie la balle alors que l’OTAN et l’UE feignent d’y croire pour que nous continuions à entretenir l’effort de guerre… tandis que les drapeaux ukrainiens empoussiérés continuent à flotter sur les frontons de nos mairies comme le témoignage d’une propagande qui a pris la place de combats pour la liberté, où on nous a vendu un disciple de Franco comme un républicain espagnol …

Le camp de Volodimir Zelenski est-il en train de se déchirer de l’intérieur ? Dans une publication Facebook, Mariana Bezuglaya, la présidente de la commission de la défense, de la sécurité et des renseignements militaires, a affirmé que l’État-major ukrainien « n’a absolument aucun plan stratégique pour mener la guerre en 2024 ». Selon cette députée, les chefs de l’armée ukrainienne veulent recruter au moins 20 000 soldats par mois au sein de la population civile mais « ne savent pas en quoi en faire ».

Pire encore, Valéri Zaloujni, qui est le général à la tête des forces de Kiev, n’aurait aucune idée pour continuer à poursuivre efficacement ce conflit. « Que la guerre prenne une ampleur plus grande ou plus petite, qu’il faille organiser nos troupes de manière classique ou asymétrique, nos dirigeants militaires n’en savent rien », a encore soutenu Mariana Bezuglaya. D’après cette députée, qui tient un rôle important dans le parti de Volodimir Zelenski, la position floue des hauts gradés ukrainiens représente un problème majeur pour les législateurs qui planifient le budget de la nation pour l’année prochaine.

Zelenski pas non plus satisfait de son état-major

La présidente de la commission de la sécurité a aussi déploré le manque d’organisation et le manque de préparation de l’État-major ukrainien, qui coûte de l’argent et des vies précieuses à Kiev. « Pourquoi l’achat de garrots tourniquets n’est-il pas inclus dans le budget de l’année 2024, par exemple ? Comprenez-vous qu’un mort coûte à l’État 15 millions d’hryvnias (environ 375 240 euros) et qu’un garrot tourniquet coûte 10 000 fois moins ? », a-t-elle encore déclaré avant de conclure : « Si les chef militaires n’arrivent pas à trouver de plan pour l’année prochaine et que leur seule idée est de mobiliser plus de soldats sans changer leurs tactiques, alors ils doivent partir ».

Spiridon Kilinkarov, ancien député favorable à la Russie de l’assemblée ukrainienne, avait auparavant estimé que les déclarations de Zaloujni sur l’échec de la contre-offensive mettaient le président Volodimir Zelenski dans une position délicate. Cet homme politique a estimé que si les fantassins ukrainiens appliquaient une stratégie défensive face à la Russie, alors les objectifs de reprise des territoires visés par Kiev ne seraient jamais atteints. Selon lui, cela signerait la fin de l’aide militaire de l’Otan à l’Ukraine.

De son côté, Volodimir Zelenski n’est pas non plus satisfait de son état-major et envisage de limoger trois hauts gradés importants de son armée. Le 19 novembre dernier, le président ukrainien a démis Tetyana Ostashchenko de ses fonctions de commandante des forces médicales militaires.

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2 Commentaires

  • John V. Doe
    John V. Doe

    Au-delà des déchirements à l’intérieur du cabinet de Zelenski (les rats quittent le navire), le patron de l’armée, Zaloujni, est aussi le premier prétendant au poste de Président en cas d’élections présidentielles. Il est donc important de le salir tant et plus. L’on trouvera des accusations semblables mais inversées dans les media sociaux qui le soutiennent. D’où, aussi, les appels répétées du Président en poste visant à ce que les militaires “ne se mêlent pas de politique” quitte à virer ses meilleurs commandants pour assurer sa place branlante.

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    • admin5319
      admin5319

      notre vertu “démocratique” est digne de celle de nos héros :
      Armer l’Ukraine est “Un dernier rempart à notre souveraineté”. Son président, Hugo Brugière, l’affirme, ce vendredi 1er décembre sur BFM Business: Verney-Carron est la dernière entreprise française à savoir fabriquer des armes de petit calibre.Un savoir-faire reconnu puisque c’est l’entreprise stéphanoise que le gouvernement ukrainien vient de choisir pour lui fournir une partie de ses armes. Dans le détail, le contrat cadre de 36 millions d’euros prévoit la livraison de 10.000 fusils d’assaut, 2.000 fusils de précision et 400 lance-grenades.Une commande d’envergure que l’entreprise française entend bien honorer grâce notamment à l’élan donné par son récent repreneur, Cybergun.
      “Depuis le rachat de Verney-Carron par Cybergun, ce sont presque 10 millions d’euros qui ont été investis en usine, sur la chaîne de production mais aussi sur les ressources humaines”, explique Hugo Brugière, également PDG de Cybergun.
      Mais, avant même la signature de ce contrat, la guerre en Ukraine a eu un véritable impact pour l’entreprise et pour le secteur dans son ensemble. “On a déjà recruté une vingtaine de personnes depuis un an”, poursuit-il.

      Comme le gouvernement Ukrainien n’a plus le moindre euro et il achète, en se servant au passage, avec les dollas des américains et les subventions de l’UE… Tout cela bien sur au noom de la dfense de nos libertés et souveainetés alors que l’opération n’a été depuis le début qu’une guerre par procuration des USA prétendant amoindrir l’influence chinoise, mais en fit le rapport qualité prix est catastrophique alors on nous laisse sur les bras le coût de l’opération…

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