Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Le bonheur pour nous tous avec la liberté et la lutte qui en fait le prix

PHOTO Alexander Deyneka. Baignade de femmes. 1952… ou “le réalisme socialiste”… N’oubliez pas qu’en célébrant la NOUVELLE ANNEE vous célébrez la victoire de la Révolution cubaine et la liberté dans son île…

que chacun ait ce qu’il désire le plus… Et qui ne soit qu’épanouissement… pour lui et pour les autres.. Il n’est pas de bonheur qui ne soit don des autres… __

JE VEUX ME BAIGNER UNE DERNIÈRE FOIS DANS LES EAUX TURQUOISES DE CUBA… Là où un jour de l’an mémorable ils ont accompli ce pas de géant de l’humanité, repris le contrôle de leur vie comme de celle de leur île si belle et porté partout le droit à la vie, à l’éducation…

https://youtu.be/M7HK2TxS_mM

mais je cède la parole à CECILIA ZAMUDiO hâtivement traduite :

Les « bons vœux abstraits » ne rimeront à rien si nous ne luttons pas contre la racine du problème. Nous ne pouvons pas continuer à pratiquer des rituels de conformisme téléguidés alors que sur les trottoirs du capitalisme, des millions de personnes dorment sous les intempéries, tandis que des millions d’enfants sont broyées par la précarité, la faim et le pillage sans fin des corps humains, alors que des milliers de personnes meurent de solitude, vieillardes et vieillards, dans les résidences de l’oubli, tandis que des millions d’êtres humains sont poussés sur les chemins de l’exode par l’appauvrissement causé par le capitalisme transnational, et s’ils survivent à des frontières d’horreur, ils seront pressés dans les pires exploitations dans les métropoles capitalistes, servis liés à des entrepreneurs esclavagistes par des lois infâmes sur l’immigration.

Les rituels annuels, transformés en légitimation des heures mortes, ne nous suffisent pas tant qu’une Colombie massacrée, une Palestine occupée et un Congo transformé en enfer nous pèsent à chaque battement de cœur, tandis que des millions de filles dans le monde entier font face à la violence patriarcale qui leur tranche l’espoir dans la gorge, tandis que les guerres impérialistes ravagent des villages entiers, tandis que les mers, les montagnes et les rivières sont dévastées pour accumuler les fortunes qu’une poignée de vautours chérissent sur des banques helvétiques.

Pour que cessent tant de barbarie, pour que cesse la dégradation de l’humanité et la destruction de la planète, il est urgent d’abolir le capitalisme, un système dans lequel une poignée accumule des fortunes sur l’exploitation des travailleurs et sur le saccage de la nature. Il faut lutter pour la justice sociale, contre ce système basé sur l’exploitation, lutter pour un monde dans lequel le système socio-économique est pour le bien-être collectif et non pour qu’une élite de milliardaires accumule des fortunes au détriment des majorités. Il faut abolir ce système de classes dans lequel les moyens de production sont entre les mains de la classe bourgeoise et dans lequel la classe ouvrière – l’immense majorité de la population – est amenée à être exploitée.

Abolir le capitalisme, abolir le patriarcat et le néocolonialisme sont nécessaires pour un monde libre de toute forme d’exploitation._____Texte C. Zamudio traduit par Danielle BLEITRACH ____

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