Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Les anti-vaccins s’enhardissent…

Il y a ces Français prêts à payer des centaines d’euros pour que les soignants jettent des vaccins à l’œuvre à Toulouse, là même où ils commencent à détruire… Mais à Marseille, il y a de plus en plus d’individus agressifs qui sont sans masque dans les transports en commun et comme il n’y a aucun contrôle, ils jugent avoir tous les droits et menacent… Face à ces phénomènes, le gouvernement est étonnement absent. Quant aux crétins qui défilent tous les samedis parfois sous le prétexte du passe ils sont en train de renforcer ces comportements fascisants et de même nature que les activistes anti-avortement. Ceux qui parmi eux se revendiquent syndicalistes portent une lourde responsabilité qui n’a plus rien à voir avec le syndicalisme. Non contents de déshonorer soignants et marins pompiers en soutenant la minorité qui refuse les vaccins, jour après jour ils font monter l’obscurantisme et la haine, la légitiment et ils peuvent affirmer que c’est simplement le passe, l’ingérence, etc… mais non seulement ils rendent service à Macron mais font sauter la digue de l’intégrisme, le fascisme, la liberté d’opprimer, nos talibans à nous… (note de Danielle Bleitrach pourhistoireetsociete)

VACCINATION 

S’ils ne veulent pas se faire vacciner, ils espèrent pourtant réussir à corrompre les soignants avec des centaines d’euros.

Écrit par Xavier MartinagePublié le 18/08/2021 à 23h37  Mis à jour le 19/08/2021 à 8h09

Alors que le mouvement d’opposition au pass sanitaire ne faiblit pas de week-end en week-end, les actes de discordance avec la vaccination se multiplient sur le territoire. Dernier en date, rapportent nos confrères d’Actu.fr Occitanie, ceux d’antivax prêts à tout pour convaincre des soignants de détruire des doses de vaccins. C’est le cas au vaccinodrome de Toulouse, qui représente à lui seul un tiers des injections en Haute-Garonne et même 0,6% sur le plan national. Depuis le début de la campagne de vaccination, plus de 500.000 doses ont été injectées.

Selon nos confrères, les infirmiers, pompiers, médecins, etc. sont confrontés à un phénomène “discret”, à savoir que les antivax leur demandent contre rémunération, de jeter des doses de vaccins et de remplir de faux certificats pour dire que le vaccin a bien été injecté. Cette tentative de corruption se passerait dans les box, à l’abri des regards. Un soignant qui administre quotidiennement le vaccin témoigne : “Ces gens remplissent le questionnaire d’accueil et passent normalement les différentes étapes. Une fois dans le box, ils sortent les billets pour convaincre le soignant de jeter le vaccin à la poubelle et de faire comme s’il était vacciné sur le certificat”. Il déclare que certains sont prêts à mettre sur la table 200, 300 voire 600 euros, et que le phénomène n’est pas “isolé” puisqu’ils y sont confrontés chaque jour.

>> A lire aussi – Toulouse : après des menaces, un vaccinodrome placé sous protection renforcée

Fausses attestations pour n’avoir qu’une injection

Mais au vaccinodrome de Toulouse, les plus réfractaires ne s’arrêtent pas là, détaille Actu.fr Occitanie. Afin de n’avoir qu’une injection, beaucoup se présentent avec un faux test PCR ou antigénique indiquant qu’il est positif. Comme une personne infectée ne doit recevoir qu’une dose, ils évitent donc… la seconde. A Toulouse, aucun soignant n’aurait cédé aux avances de ces personnes indélicates, selon les informations de nos confrères, au contraire d’autres centres comme à Bordeaux où deux soignantes ont déjà été placées en garde à vue pour avoir délivré de faux tests de vaccination. Les deux jeunes femmes voulaient “rendre service” mais se faisaient payer quand même entre 80 et 300 euros.

Le 10 août dernier, un autre vaccinodrome de Toulouse avait été pris pour cible moins de 48 heures après les manifestations contre le pass sanitaire, provoquant la colère du maire de la ville. Des soignants avaient retrouvé un petit mot écrit à la main à la sortie du centre de vaccination où il était inscrit : “Un jour, ça sautera”. Il avait ensuite été placé sous protection renforcée. Toujours dans la région (à Saint-Orens-de-Gameville), dans la nuit du 16 au 17 août, un centre de vaccination a été vandalisé et près de 500 doses ont été détruites. Des tables et des chaises avaient aussi été cassées ainsi que deux écrans d’ordinateurs. Avec 51,8% d’habitants complètement, vaccinés, la Haute-Garonne est en-dessous de la moyenne nationale, qui est de 59,4% selon Covid Tracker.

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3 Commentaires

  • Xuan

    Au sud de Valence les médecins qui vaccinaient depuis mars au centre du Clévos ont été traités de « nazis ». Ils ont mis fin à ce bénévolat.

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    • etoilerouge
      etoilerouge

      Les nazis inoculaient les virus pas les vaccins. L’arn m est utilisée contre cefrtains cancers, faut il traiter de nazis ceux qui cherchent à vous sauver ? Hélas les nazes manipulés pat le rn et valeurs actuelles journal antivax St nombreux.

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      • Daniel Arias
        Daniel Arias

        Avec l’aide des suprémacistes made in USA, dont la bande du nouveau goebbels n’avait pas caché son souhait de financer l’extrême droite en Europe.
        Les indifférents devraient ouvrir les livres d’histoire et se souvenir ce qu’était le STO réservé à ceux qui n’ont jamais résisté et se sont cachés en espérant eviter le pire.

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