le Kazakhstan n’accorde pas le statut de réfugié aux Kazakhs provenant du Xinjiang se plaint free radio, la radio US, et comme personne n’en veut c’est comme pour certains Tchétchènes ou certains Géorgiens on nous refile les sectes et les trafiquants d’armes… et après notre extrême-droite complice dénoncera “l’immigration” que ce type de charmant individu provoque avec l’aide de nos armées… Le tout au nom des valeurs de l’occident dans une nouvelle “guerre froide” en attendant qu’elle se réchauffe…
Trois citoyens chinois d’origine kazakhe n’ont pas été naturalisés au Kazakhstan après avoir fui la Chine. Le Kazakhstan a pourtant pour politique de favoriser le retour des Kazakhs vivant à l’étranger, mais peu de pays d’Asie centrale souhaitent recueillir chez eux des agents des États-Unis qui sont reconnus comme appartenant à des groupes terroristes.
Le 23 mai, le Kazakhstan a refusé la naturalisation de trois Kazakhs d’origine chinoise. Les trois hommes prétendaient avoir fui les persécutions dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang, située dans l’ouest de la Chine, selon radio Azattyq, le service kazakh de Radio Free Europe.Radio Free Europe est on le sait la radio de la CIA pour l’Europe. Et ils font grand bruit autour de ce refus comme celui de Sayragul Sauytbay. Elle prétendait avoir été enfermée dans un camp d’internement au Xinjiang, elle a fui la Chine pour le Kazakhstan. Les autorités du Kazakhstan l’ont inculpée en juillet 2018 pour entrée illégale et ont rejeté sa demande d’asile. En juin 2019, elle a obtenu l’asile en Suède et depuis elle a multiplié les interviews où elle raconte comment elle aurait été internée pendant quatre mois dans un “centre de formation professionnelle”, selon l’État chinois.
La radio porte voix de l’Amérique prétend faire également grand bruit autour du cas de Qaısha Aqan, Murager Álimuly et Qaster Musahanuly qui ont reçu une lettre officielle du ministère de l’Intérieur leur indiquant qu’ils ne se voient pas reconnaître la citoyenneté kazakhe.
Le refus de naturalisation des trois hommes Aqan, Álimuly et Musahanuly qui avaient demandé l’asile en octobre 2020 après avoir quitté la Chine. Avant de demander leur naturalisation, ils s’étaient vu accorder le statut de réfugiés. Dans sa lettre, le ministère condamne l’entrée illégale des trois hommes, qui viole la loi kazakhe. La citoyenneté est interdite par la loi aux étrangers qui ont commis des délits ailleurs qu’au Kazakhstan.
Il est à noter que non seulement les pays d’Asie centrale ne veulent pas entendre parler des réfugiés du Xinjiang mais la plupart des pays musulmans n’en veulent pas plus que des affiliés de Daech. C’est l’UE qui en hérite et ces gens sont utilisés pour mettre en cause la Chine sans que personne ne paraisse s’intéresser à ce qui conduit les pays d’Asie, du Moyen Orient à refuser de les accueillir.
SOUVENIRS 1954 : facteur livrant la presse soviétique en Asie centrale
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