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Cuba: rendez-vous en PACA, pour participer à un monde qui change… contre la guerre, les blocus et pour les coopérations

Peut être une image de 2 personnes, plein air et texte qui dit ’FranCe VauCluse Projection Débat Cuba en 2023" INVITATION Samedi 18 février 2023 14h30 Mairie de Velleron (84740) Place du château, rue Neuve BLQUE0 f France-Cuba-Vaucluse VIVA FIDEL Conferencia Internacional POR EQUILIBRIO MUNDO Con todosy para bien todos Diálogo Civilizaciones al28deenerode2 2023 L”HaCu’

Le Mexique et Cuba proposent un sommet présidentiel progressiste

Politiquecubaine 15/02/2023 Cuba a besoin de notre solidarité à tous, mais Cuba c’est aussi un monde qui change et qui construit partout de nouvelles relations pacifiques et de coopération entre les peuples. La dernière grande initiative se situe en Amérique latine grâce au peuple frère du Mexique qui propose de mettre en œuvre ces nouvelles relations comme d’envisager un plan de paix pour le monde. Nous vous proposons nous cercle de solidarité marseillais, lié à France Cuba, à Cuba coopération et à tous ceux qui veulent ensemble œuvrer avec Cuba trois réunions : 1) ce samedi 18 février 2023 comme indiqué ci-dessus, rendez vous dans le Vaucluse avec France Cuba. 2) le dimanche 26 février, place du général de Gaulle comme tous les derniers dimanche de chaque mois à Marseille de 14h à 17H, non au blocus et enfin le 2 mars de 17 heures à 20 heures à la maison des associations du 93 la Canebière, Marseille, réunion autour de la paix et des coopérations progressistes avec Cuba, ouverte à tous.

Le plan consiste à coordonner les politiques économiques, alimentaires et sanitaires entre l’Argentine, le Brésil, la Colombie, Cuba, le Venezuela, la Bolivie, le Chili et le Honduras.


Page 12 – Photo: Efe / Tiré de Page 12.- Le secrétaire aux Affaires étrangères du Mexique, Marcelo Ebrard Casaubón, a confirmé que le président Andrés Manuel López Obrador avait convenu avec son homologue cubain, Miguel Diaz-Canel, de convoquer un sommet des pays progressistes d’Amérique latine.

Lors d’une interview à la fin de la réunion bilatérale Mexique-Cuba le week-end dernier dans la ville mexicaine de Campeche, le ministre des Affaires étrangères a déclaré qu’il s’agirait d’un forum régional avec des pays tels que l’Argentine, le Brésil, la Colombie, Cuba, le Venezuela, la Bolivie, le Chili et le Honduras afin de parvenir à des accords sur l’alimentation, l’inflation, les réglementations sanitaires, l’achat de médicaments et d’autres questions.

Dans des déclarations à la presse, le ministre mexicain des Affaires étrangères a déclaré que « le président López Obrador a suggéré que la communication soit établie et que des travaux soient menés autour d’un scénario pour pouvoir rencontrer les présidents des États progressistes d’Amérique latine, discuter des questions de sécurité alimentaire, de bien-être et d’autres questions importantes pour la communauté de nos pays. Nous devons en discuter avec d’autres ministres des Affaires étrangères et aller de l’avant dans les mois à venir, les prochaines semaines. C’est une image globale de ce que nous avons conclu ».

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Le ministre des Affaires étrangères a souligné que depuis de nombreuses années, il n’y a pas eu de confluence idéologique de pays tels que le Mexique, l’Argentine et le Brésil, qui sont les plus grandes économies d’Amérique latine: « Ajoutez à cela les pays que j’ai déjà mentionnés, alors pourquoi ne faisons-nous pas un agenda commun de choses spécifiques, nous ne voulons pas d’une déclaration politique, Eh bien, si vous voulez, c’est bien, mais de choses spécifiques. »

En outre, il a souligné que le Mexique demanderait à toutes les instances de lever le blocus commercial contre Cuba et de l’éliminer de la liste des pays qui stimuleraient le terrorisme, tant au G-20 qu’à la Communauté des États américains et caribéens (CELAC) et à l’Union européenne.

Interrogé sur le lieu de la future réunion des présidents de gauche, le ministre des Affaires étrangères Ebrard a répondu qu’« il serait encore très prématuré de le dire ».

Le prix à Miguel Diaz-Canel

Le majestueux autel de la Grande Acropole, l’une des plus grandes expressions de la civilisation maya, a été le site choisi pour décorer le président de Cuba, Miguel Diaz-Canel, samedi dernier. Andrés Manuel López Obrador y a déclaré que le modèle de relations imposé à la région a été épuisé et est anachronique : « il est temps d’exprimer et d’explorer une autre option, celle du dialogue avec les dirigeants de tous les pays, en particulier avec les dirigeants américains, pour les convaincre qu’une nouvelle relation est possible ».

Plus tard, lors de la réunion publique bilatérale sur la santé, López Obrador a proposé à Diaz-Canel que le Mexique mène un mouvement plus actif pour unir toutes les nations et défendre l’indépendance et la souveraineté cubaines. « Rien ne permet de les traiter comme un pays terroriste ou les mettre sur liste noire comme terroristes présumés. C’est un peuple et un gouvernement profondément humains. »

Lors de la cérémonie de décoration, Diaz-Canel n’a pas caché la satisfaction de recevoir l’Ordre de l’Aigle aztèque au degré de collier, le plus haut niveau, consolidant les relations bilatérales. Dans son discours, après avoir été récompensé, le président cubain a exprimé sa profonde gratitude au peuple mexicain et son admiration et son intérêt pour la « vaste proposition transformatrice qu’il défend ».

Signe des liens actuels entre le Mexique et Cuba, une étreinte prolongée entre les deux présidents a scellé la nouvelle ère des relations bilatérales, conformément à ce qui s’est passé en mai dernier: à La Havane, Lopez Obrador a reçu le prix José Martí au Palais de la Révolution.

Le ministre des Affaires étrangères Ebrard a souligné qu’à la suite de la réunion, la présence de médecins cubains au Mexique, principalement des spécialistes, sera élargie. Il a également mentionné que les deux présidents ont parlé de la mise en œuvre du programme social mexicain Semer la vie sur l’île: 5.000 Cubains avec une moyenne de 10 hectares arables, recevront pendant huit mois une subvention de 150 dollars par mois pour stimuler la production agricole.

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