Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Hier la jeunesse communiste d’Espagne, et aujourd’hui l’incapacité française désormais à se situer dans le mouvement historique, par Danielle Bleitrach

Peut être une image de 10 personnes, personnes assises et personnes debout

Hier les camarades espagnols de Juventud Comunista – CJC et Juventud Comunista – UJCE ont organisé un événement public au Centre Social Occupé “La Ferroviaria” à Madrid pour la Semaine Internationale de Solidarité avec les Frères Kononovich.

Pour les Français qui ignoreraient de qui il s’agit ce sont deux frères, membres du Komsomol du parti communiste d’Ukraine, arrêtés, torturés et dont jamais en France la fine fleur de la collaboration atlantiste ne parlerait ni hier, ni aujourd’hui, ni demain. Dans ces conditions, on ne voit pas par quel miracle les dits Français sauraient de qui il s’agit puisque dans le Donbass comme sur le reste de la planète, il n’y a plus aucune solidarité active entre les communistes français et leurs homologues réprimés dans le monde, les seuls qui suscitent de l’intérêt sont les “démocrates” bénéficiant déjà de la sollicitude de la CIA. Comment le sauraient-ils quand l’Humanité donne la parole dans un dialogue complètement bidon à Bernard Guetta et au duettiste bien connu de l’euroenthousiasme Francis Wurtz pour nous faire connaitre ce qui se passe dans le Donbass en poursuivant la désinformation qui déshonore depuis tant d’années le PCF.


En revanche, on se réjouit de savoir que des dizaines de jeunes étudiants et travailleurs espagnols sont venus manifester leur solidarité avec #FreeKononovich.

Qu’on le veuille ou non il faut partir de cette désinformation sur tout ce qui a trait au communisme qui depuis trente ans caractérise la situation européenne et française en particulier, se souvenir du fait que l’Europe déjà sous Clinton reçoit en partage le soutien aux “dissidents” et victimes supposés des droits de l’homme que leur désigne l’empire. Qu’est-ce qui change ? Rien et beaucoup de choses avec le fait que les Etats-Unis sont en train de les utiliser comme boucliers de leur propre déclin à la manière dont ils ont jusqu’ici utilisé l’Amérique latine et le tiers monde : la perte de souveraineté mais aussi la manière dont cela créé des conditions d’austérité et d’insécurité grandissante chez les “alliés”. D’où l’ultime tentative de renvoyer dos à dos pour préserver le statu quo, que ceux qui veulent à n’importe quel prix imaginer qu’il y a les gentils et les méchants aux Etats-Unis soient sincères ou vendus peu importe. Cela crée un rideau de fumée sur les causes et les conséquences et l’origine devient obscure; il y a les méchants, le reste n’est pas élucidé.

L’OUBLI DE L’HISTOIRE

Je voudrais rappeler à tous ceux qui se succèdent y compris dans les commentaires ici même ce que Pierre Vilar, un très grand historien français, qui sans jamais avoir été membre du parti communiste, revendiquait hautement son métier d’historien et menait en 1973 un débat fraternel avec Althusser sur les dangers du “dogmatisme“, qui à partir d’abstractions superflues prétendait réduire l’histoire, cet historien spécialiste de la guerre d’Espagne disait deux choses essentielles:

  1. La première était sa revendication à ne pas avoir n’importe quelle position politique, il n’était pas franquiste.

Dans notre blog histoireetsociete, Marianne – et moi qui tiens de plus en plus à l’Histoire, à cette mémoire mais j’y reviendrai- nous avons revendiqué un positionnement y compris par rapport aux événements qui se déroulaient en Ukraine, un coup d’Etat dans lequel la France avait sa part au profit des USA. Nous avons désigné les RESPONSABLES, comme Pierre Vilar face à l’horreur de la guerre civile espagnole désignait les franquistes comme responsables de l’avoir déclenchée. Comprendre, expliquer l’histoire, le mouvement qui transforme l’ordre des choses existant signifie justement cela. Ce ne sera pas un détour inutile que de un jour revenir sur la différence entre le positivisme, une conception illusoire du fait social par rapport à la connaissance scientifique et l’histoire. En quoi l’histoire est essentielle pour un communiste.

Déjà il s’agit de mettre à jour les RESPONSABILITES. Pierre Vilar désignait en parlant des franquistes certains milieux militaires, encouragés par toutes les classes conservatrices. Et il ajoutait “ce qui me parait choquant c’est la tendance à feindre l’objectivité quand il s’agit de faire oublier les attitudes passées.” Pourtant ces attitudes passées n’ont pas disparu, loin de là.

Depuis 2015, nous désignons les “responsables” et quand nous avons organisé une tournée des mères d’Odessa dont les enfants avaient été brûlés par des néo-nazis et qui devaient se taire, le même jour le journal ELLE mettait à sa UNE la photo d’une de ces néo-nazies devenue l’héroïne du politiquement correct français. Et cela ne pouvait avoir lieu qu’avec la complicité de la presse dite communiste. La Marseillaise n’a même pas daigné venir lorsque nous avons organisé un débat de ces mères et du représentant du parti communiste d’Ukraine dans les locaux de la CGT Marseille. Il a été impossible et Alain Girard s’en rappelle peut-être un débat quelconque dans le Val de Marne vu l’orientation de la fédération du PCF… Alors “l’objectivité” de Francis Wurtz feignant de représenter le politiquement correct du moment fondé sur l’oubli des “origines“, cela m’écoeure parce qu’ils n’ont pas changé et le débat reste organisé entre gens qui surtout masquent les origines.

2) Là il ne s’agit plus seulement du passé mais d’hypothèses sur l’avenir qui se dessine sous nos yeux, l’histoire que nous le voulions ou non devrait simplement nous aider à vivre mieux. A ce propos, je voudrais également souligner ce que disait Pierre Vilar en 1973, dans ce temps disparu où des marxistes, proches ou adhérents du PCF disaient encore du positionnement politique en Histoire, et il parlait encore de la guerre d’Espagne.

Il n’est pas besoin d’invoquer Marx pour savoir qu’il y a toujours “deux nations en une“. C’est tout le problème historique- sans doute le problème fondamental- de la relation entre luttes des classes et luttes entre groupes dits “nationaux“. En fait, il s’agit souvent d’Etats” où des classes dirigeantes s’efforcent de persuader l’ensemble des classes qu’elles forment un tout solidaire, malgré les conflits internes d’intérêts. Elles y réussissent dans certaines conditions historiques, mais non dans toutes. Les phénomènes de division et de relais entre classes sociales, et au sein même de ces classes, devant les menaces extérieures, les défaites militaires et les occupations étrangères sont en histoire des phénomènes essentiels- qu’on songe à la France de 1870-71 et de 1935 à 1945.”

Il commentait alors la complexité de la situation espagnole avec deux régions (la Catalogne et le pays basque, plus à un degré moindre la Galice) qui revendiquent des nations. Et il montrait que la République autant que les franquistes avait fini par parler au nom de la nation espagnole pour le camp populaire et progressiste défait par la violence fasciste.

L’histoire est la science des faits qui ne se répètent pas mais il y a aussi des lignes de force avec leur évolution, nous fêtons la Révolution bolchevique, il serait tout aussi erroné de nier tout ce qu’elle a engendré et continue à engendrer qu’imaginer qu’il suffit de la reproduire et pourtant nous sommes soit dans cette illusion, soit dans le contexte dominant de la négation de l’histoire réelle au profit d’une politisation réactionnaire étrangère à la manière dont la société française s’est toujours fondée en raison dans l’histoire.

Si j’opère ce détour c’est pour expliquer à quel point, il y a aujourd’hui une faiblesse historique dans notre vision désormais dominante en France qui est de plus déconnectée de l’histoire et chez qui chaque “événement” relève désormais de l’anecdote, du fait divers. L’objectivité revendiquée par le journaliste en particulier celui de l’Humanité consistant à renvoyer dos à dos les belligérants en feignant avec ce positionnement d’être “pacifiste” est une dérive liée à la profonde transformation qui a été infligée à une société française chez qui la référence historique fondant la “République” et un certain art oratoire (Méelenchon est un des derniers tribuns d’ailleurs) faisait partie du bagage historique. Le parti communiste français n’est plus celui de Maurice Thorez, entouré de grands intellectuels, qui revendiquait quelque chose de l’ordre de “deux nations en une” ou plutôt deux États et la seule manière de retrouver la solidarité interne face à l’ennemi était … la dictature du prolétariat. Ce parti-là ne dénie pas la nécessité d’une nation solidaire étroitement lié à un internationalisme…

3) Une timide renaissance de l’internationalisme avec la souveraineté nationale

Mais ce n’est pas totalement de la faute des dirigeants du PCF vu l’état de l’internationalisme… Là encore, quelque chose est en train de renaître et on peut déplorer le verre à moitié vide ou se réjouir du fait qu’il est en train de se remplir goutte à goutte, que parfois cela relève plus du dépôt, de fonds stagnants que du verre se remplissant, mais le fait est que quelque chose remue et que sans doute la guerre, les défis mondialisés, n’y sont pas pour rien. Une course de vitesse est engagée.

Je dois dire que je me suis demandée si c’était un canular quand j’ai vu sur les réseaux sociaux Fabienne Lefebvre dont je connais le courage par ailleurs se féliciter que son parti ait signé la déclaration des partis communistes de la Havane alors même que ni l’Humanité, ni aucune instance officielle ne daignait accorder la moindre publicité à cette “signature”. Il est vrai qu’il n’y a pas si longtemps le secteur international refusait de signer ces textes. Là on les signe mais on cache soigneusement la prise de position et en matière de paix nous avons droit à un débat Guetta-Wurtz…

Peut être une capture d’écran de Twitter de 1 personne et texte qui dit ’Pascual Serrano @pascual_serrano Es curiosa esta organización militar en la que EEUU tiene bases militares por toda Europa con cien mil soldados y ningún país europeo tiene bases en EEUU.’
étonnant cette organisation militaire qui fait que les Etats-Unis ont des bases militaires pour toute l’Europe avec des centaines de mille de soldats et alors qu’aucun pays européen n’a de bases aux Etats-Unis.

Permettez-moi de vous dire que cette petite évolution qui s’opère en trainant les pieds et avec la fiction de l’eurocommunisme maintenue y compris en référence mensongère à la Chine témoigne du fait que ce qui réveille l’histoire, se joue non seulement en Ukraine et en Russie mais dans le monde entier au stade anti-impérialiste dans lequel nous sommes. Nous le percevons vaguement mais par procuration parce qu’il s’agit aussi d’un processus mondial de décolonisation, de nouvelles relations sud-sud. Et la France a toujours eu du mal à décoloniser.

Ce sens-là nous l’avons dans le sillage de Fidel Castro annoncé depuis 2003, il est celui de la plupart des articles que j’inscris ici et au vu des lecteurs, commentateurs, et déjà ce que nous annoncions est devenu différent en se réalisant, nous manquons même des mots, des concepts pour le décrire. Il faut à la fois rassembler dans des buts précis le plus largement possible et se montrer exigeants dans l’expression autonome des deux “États” qui sont à l’oeuvre dans la nation et dans l’internationalisme, la dimension de classe est seule susceptible de fonder l’unité dans la coopération la plus large. Il va y avoir un congrès dans lequel le débat doit aller au fond et pas se contenter d’une unanimité de façade.

Face à cela, je passe par des phases diverses : parfois je me dis que vu le traitement auquel les Français sont soumis depuis plus de trente ans il est miraculeux qu’il y ait encore ce besoin de comprendre. Parfois quand je sais à quel point les lectures sont superficielles et à quel point la force d’inertie à soulever pour la moindre action est considérable, à quel point l’anecdote, le ragot, chaque événement faisant varier à 180 ° les têtes folles, tout cela me fait me demander “à quoi cela sert-il ?” Trop long, trop compliqué pour des gens incapables de lire le moindre compte-rendu d’une activité à laquelle ils ont participé quand cela s’accompagne d’une analyse politique et qui peuvent perdre des heures à ressasser des anecdotes sans intérêt, des ragots qui ne créent que des divisions.

Il suffit d’une défaite, de ce qui peut être un repositionnement tactique, je pense à ce qui se passe à Kherson ou le drame du blocus qui étreint Cuba, pour que l’humeur change, pour que se glisse un changement dans l’analyse, comme si la preuve de la justesse d’une position politique résidait dans la victoire. Et même pas une victoire qui change réellement les données de la situation, non l’anecdote, le fait divers qui supplée à toute analyse. Voici trop longtemps que cela dure… et ne vous faites pas d’illusion personne n’est épargné désormais par cet oubli total de l’histoire et cette vision que la vertu est liée aux triomphes et aux défaites qui sont largement des “inventions” médiatiques.

Aujourd’hui débute Vénissieux, Marianne y est déjà… Moi si tout se passe bien j’y serai avec quelques marseillais demain samedi… donc pas de blog demain et probablement dimanche, mais vous avez sûrement du retard à rattraper…

Danielle Bleitrach

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2 Commentaires

  • Alain Girard
    Alain Girard

    En effet triste souvenir que ce débat plus qu’avorté, interdit en Val de Marne;

    Je me souviens de chacun de ces mots d’un cadre du parti de Valenton, marchaisien convaincu sans que je sache encore aujourd’hui ce que recouvre cette notion…

    Il s’agissait de fait et c’est là typiquement une vision de communiste en France de choisir et de déterminer ce qu’est un bon communiste, un bon parti communiste.

    Assez ahurissant dès lors que les scores du PCF flirtaient avec le 1%, de là à considérer que le PCF n’était pas un bon parti communiste ne les effleurait pas, étrange mutisme.

    Donc la réflexion a fusé d’un trait “des drôles de communistes”, ces ukrainiens, a bon, drôles en vue déjà d la situation cela ne devait pas être la teneur de la saillie, donc “drôles” dans le sens, mouais, lis sont pas comme nous, , ils n’ont pas un Wurtz, ils sont staliniens… Étonnant cet éternel rapport à Staline, au culte de la personnalité de la part de militants pour qui quand le chef a parlé, cela fait autorité.
    C’est pratique ça évite de penser, le souci demeure quand il y a plusieurs chefs de plusieurs orientations, alors le grand écart devient permanent.
    Un jour pour, le lendemain contre et en final, “euh, ben on annule hein”…

    La paralysie mais attention tout pour la Palestine, et Mumia, c’est porteur dans une ville où la moitié de la population est issue de l’immigration, seulement voilà, ils en bavent, ils veulent bien la solidarité mais en actes concrets, dans leurs vies quotidiennes et les délégations en Palestine ça ne remplit pas le frigo. Alors reste le cercle militants, des initiés.

    Je me souviens d’un camarade haitien intervenant à une conférence de section, élevé à Cuba, venu en France, en famille, il témoignait de son amour pour Fidel et les siens qui étaient devenus son autre famille. Cela aurait pu donner lieu à un article dans le journal municipal, bof…

    Quand Danielle Bleitrach viendra débattre de Cuba à Valenton, pas de maire, pas d’adjoints, mais un cadre du PS, au moins cela. Il paraît que la présence de D. Bleitrach posait souci, eux qui se plaignaient de souffrir de la “répression” de la part de mutants mutés de la fédé, appliquaient la même recette indigeste et stérile.

    L’évolution fit que la venue de Le Hyaric sur la ville fut le signe de la reconnaissance, de l’adoubement, enfin connus et reconnus.

    Lors du débat intervenant en tant que secrétaire de section, soutenu par la majorité de la salle, intervention pour la sortie de l’U.E, visages figés à la tribune, murmures de soutien dans la salle et un Le Hyaric qui botte en touche…
    J’en ris encore… Depuis la ville est tombée, je ne ris plus, ce n’était pas une fatalité avec un habitant sur 25 qui est membre du parti, bébés compris, on ne peut perdre une ville qu’à une condition, avoir rompu le fil avec les militants et de fait, avec la population.

    Le PCF et nombre de ses cadres sont traversés par cet opportunisme qui ronge le parti depuis des décennies, un coup de pagaie à gauche, un à droite, sans but précis, sans projet réel de société de rupture avec le capitalisme mortifère, ça rame.
    Le parti est fractionné, les compositions et recompositions le minent, les batailles internes empêchent toute dynamique et l’autre opportunisme, celui des socio-démocrates de gauche en fait son beurre.

    Généralement l’étiage se mesure chez eux en fonction de résultats électoraux qui se substituent à ceux de nos forces organisées, notamment sur le lieu de travail, le travail contre le capital.
    Parce nombre des dirigeants sont nés dans le berceau du parti, combien de dirigeants sont issus du mouvement populaire, syndical, associatif.

    Oui F Roussel renoue avec le monde du travail mais ce monde a besoin de son parti, de le diriger, il en est capable, là où il y a une volonté…

    La solidarité internationale à géométrie variable, les ukrainiens, ces “drôles de communistes”, nous y voilà confrontés en plein…

    En y regardant de plus près, Fabien Roussel et son machin ridicule au revers de sa veste pour soutenir Zélinsky et l’Otan, de fait ce n’est que l’expression de cette errance où l’opportunisme se dispute avec une totale absence de connaissances, de liens avec le mouvement communiste international.
    L’ignorance peut tuer, là elle a le goût du sang, celui des minuers du Donbass, des travailleurs ukrainiens comme chair à canon et un Code du travail laminé pour les profits d’Arcelor Mittal, celui qui a tué les hauts fourneaux de Florange, qui en tue un à Dunkerque.

    Car la solidarité internationale c’est être solidaire de soi-même, pas d’illusion, même en conquérant le pouvoir, tous les pouvoirs à l’échelle de notre nation, nul ne saurait tenir sans les solidarités en et en dehors des frontières. Cuba le démontre chaque jour, Cuba socialiste a su être à la hauteur de l’humanité, de son émancipation, Cuba a combattu en Angola, Cuba a permis d’en finir avec l’Apartheid tout comme nos Brigadistes ont combattu en Espagne pour rentrer non vaincus mais pour donner son ossature à la Résistance qui sera essentielle face au fascismes et à cet état américain qui voyait notre pays comme une conquête.

    D. Bleitrach interrogeait, Fabien Roussel a t’il l’étoffe d’un homme d’état ? Question légitime si il en est.
    F. Roussel est devenu plus discret sur le sujet, recentré sur la vie au quotidien de la population dans un tour de France de bon aloi mais pourquoi faut-il un tour du pays pour prendre le pouls alors que les remontées devraient se faire des sections, cellules, fédés au conseil national…

    Devoir, se faire un devoir rencontrer les militants, bonne chose cependant quid d’i=une marche nationale pour la paix, bordel, les italiens, les allemands, avec des partis très faibles en sont au coeur chez eux, la paix ne vaut pas une manif, une pétition, c’est quel contenu alors “L’humain d’abord”?

    Le PCF doit grandir, si nous y parvenons, non seulement il retrouvera son utilité de parti de classe mais de plus, cerise sur le gâteau, il se dotera alors des dirigeants conséquents pour servir le parti et comme le rappelait Maurice Thorez, “servir la classe ouvrière”.

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    • etoilerouge
      etoilerouge

      Staline est un vainqueur et un GD ces communistes là ne st même pas marchaisien ce st des battus comme plâtre. Leur soumission au système c’est justement la référence de droite à Staline. Ils en parlent comme en parlait Goebbels et je n’exagère pas. Rien à voir avec Thorez Duclos de vrais communistes.

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