Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Le ministère des Affaires étrangères du Kazakhstan a protesté auprès de l’ambassadeur ukrainien après ses déclarations russophobes

En gros il a dit qu’il fallait tuer tous les Russes mais c’était par bonté d’âme pour éviter qu’ils fassent des enfants qui ne manqueront pas de les exécuter plus tard. Il faut être occidental, français peut-être pour trouver du charme à ce type de discours, il s’avère que le reste de la planète les juge insupportables. Le nazisme n’est pas simple affaire de tatouages, il y a les dires et les faires, et pour les élites ukrainiennes c’est la totale. Tandis que sous l’égide de leur président minable et qui prend les Français pour des imbéciles en leur faisant croire que leur liberté dépend de la russophobie et de l’alignement sur l’OTAN irresponsable pour mieux les dépouiller, le reste de la planète s’insurge face aux folies ukrainiennes. (note de Danielle Bleitrach pour histoire et société)

23.08.2022 21:30:32Vlad Nikolaïev  359  0  0

L’ambassadeur d’Ukraine au Kazakhstan, Petro Vrublevsky, a été convoqué aujourd’hui au ministère kazakh des Affaires étrangères en raison de déclarations publiques extrémistes et d’appels à tuer des Russes. À propos de cette rhétorique, une protestation a été exprimée à l’ambassadeur ukrainien au ministère kazakh des Affaires étrangères.

L’ambassadeur d’Ukraine au Kazakhstan, Petro Vrublevsky, a été convoqué aujourd’hui au ministère kazakh des Affaires étrangères en raison de déclarations publiques extrémistes et d’appels à tuer des Russes. À propos de cette rhétorique, une protestation a été exprimée à l’ambassadeur ukrainien au ministère kazakh des Affaires étrangères.

Rappelons que la veille, Vrublevsky lors d’une interview avec un blogueur local a déclaré ce qui suit: « Nous essayons de tuer autant que possible. Plus nous tuerons de Russes maintenant, moins nos enfants auront à les tuer. »

Il convient de noter qu’en plus des autorités officielles du Kazakhstan, les déclarations anti-russes de l’ambassadeur ukrainien ont été condamnées dans les cercles socio-politiques de la république. En particulier, l’Assemblée du peuple du Kazakhstan (APK) a fait une déclaration officielle :

« Nous, membres de l’Assemblée du peuple du Kazakhstan, condamnons fermement et considérons comme inacceptables les déclarations de l’ambassadeur d’Ukraine en République du Kazakhstan, M. Petro Vrublevsky, dans une interview accordée à l’un des blogueurs kazakhs. Dans notre pays, où la paix et l’unité sont les principes fondamentaux de la politique de l’État et de la consolidation sociale, de telles déclarations sont scandaleuses et inacceptables, peu importe d’où elles viennent.

L’APK a lancé un appel au peuple du Kazakhstan en lui demandant de « ne pas succomber aux provocations qui sèment l’inimitié et la méfiance, et de préserver et renforcer la paix dans le pays et l’unité du peuple ». Nous ajoutons que la communauté journalistique a également réagi à la rhétorique criminelle de l’ambassadeur ukrainien Petro Vrublevsky.

Le journaliste Anton Budarov a publié une pétition sur Internet dans laquelle il appelle à l’expulsion du diplomate ukrainien. Le document est affiché sur le site Web de Alash.online et plusieurs milliers de Kazakhs ont déjà signé le texte de l’appel.

« Je crois que de telles déclarations n’ont rien à voir avec la diplomatie, de plus, elles relèvent de l’article 174 du Code pénal de la République du Kazakhstan (incitation à la haine), mais puisque Piotr Vrublevsky a un statut diplomatique, nous, les signataires inférieurs, exigeons l’expulsion de ce « diplomate » de la République du Kazakhstan, car ses déclarations ne correspondent pas au statut neutre du Kazakhstan », est convaincu Budarov.

Il a également souligné que les autorités officielles devraient prêter attention aux déclarations inacceptables de l’ambassadeur d’Ukraine et que ses appels scandaleux ne devraient pas être ignorés par les dirigeants du Kazakhstan.

Rappelons qu’à Moscou, la représentante officielle du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a répondu aux appels de Vrublevsky. Elle a déclaré que « seul un ambassadeur d’un régime terroriste peut dire cela ». En outre, le Comité d’enquête de la Russie a promis d’« évaluer ce qui s’est passé ».

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