Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Le 12 avril comme Gagarine : c’est parti

Il y a 60 ans, le premier homme dans l’espace est soviétique.🚀 Youri Gagarine, fils de paysans, lui même ouvrier fondeur, qui est communiste jusqu’au tréfonds de lui même, calme, déterminé, avec son grand sourire, part pour l’aventure de l’espace… Il inaugure un nouvel âge de l’humanité lui le pilote d’élite de l’Armée Rouge, il est le premier homme à aller dans l’espace.💫

Après avoir mis en orbite le premier satellite artificiel avec Sputnik (Compagnon de voyage, en français), l’URSS envoie le premier homme dans l’espace.🗣 Gagarine dira lors du lancement de la fusée : ” POYEKHALI ! ” (”c’est parti !”, en français).

Alors je dis aux camarades encarté ou non que ce 12 avril c’est peut-être parti avec le parti, il faut oser…

Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’CCCO PCF PARTI COMMUNISTE PC FRANÇAIS 12 AVRIL 1961 Poyekhali! (c'est parti Youri Gagarine’

A propos, nous venons d’en discuter avec Marianne : je ne suis pas pour le négationnisme historique, celui qui nie l’apport de l’URSS, celui des peuples soviétiques, celui du parti communiste d’URSS et celui de dirigeants comme Lénine ou Staline. Mais je ne suis pas non plus pour la déification des dits dirigeants ou de l’expérience. Je souhaite et c’est ce que nous faisons ici que nous étudions les ombres et lumières, les échecs et les réussites d’un point de vue communiste à partir de notre idéal et de notre pratique… Que nous en tirions des enseignements et que pour cela nous refusions la diabolisation ou l’analogie criminelle entre le communisme et le nazisme.

Voilà cette expérience d’un petit homme qui riait tout le temps et qui était prêt à risquer sa vie pour une idée et des réalisations qui lui avaient permis de participer à l’épopée humaine c’est une image du communiste qui me convient et j’aime sa phrase en s’embarquant vers les étoiles : “c’est parti…”

danielle Bleitrach

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1 Commentaire

  • Robert Lechêne
    Robert Lechêne

    En 1963, j’eus pour l’Humanité l’exclusivité d’une heure d’interview de Iouri Gagarine, lors de son voyage en France. J’espérais de lui des appréciations positives sur le régime socialiste alors au pouvoir dans ce qui s’appelait l’Union Soviétique. Il me répondit par des généralités sur l’entente entre les peuples, une sorte de refus d’idéologie. Militant communiste français, j’espérais plus. Mais m’est resté dans ma vie cette fierté d’avoir conversé avec le premier homme de l’espace. Jointe à cette autre fierté d’avoir rencontré au cap Horn le dernier yagan non-métissé, l’abuelo Felipe Alvarez comme l’avaient rebaptisé les chiliens.

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