Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Une voix qui doit prendre de la force et qui est la seule perspective…

Très bon discours de Cécile Cukierman . Oui la souveraineté nationale n’est pas un slogan mais une pratique concrète et à partir de là, il faut aller jusqu’au bout analyser ce qu’impose l’UE, l’impérialisme… Le socialisme à la Française n’est pas de sacrifier nos intérêts français, ceux de la classe ouvrière, mais penser notre « modernité », refuser d’en brader les atouts… en défendre la base comme les aciéries mais également en recréer les conditions du développement dans la nouvelle phase de développement avec les compétences intellectuelles, les savoir faire, les liens avec la recherche, les ingénieurs, les scientifiques, la formation, les salaires.. C’est un choix d’investissement massif et pas dans la guerre. C’est la prise en compte du terrain concret autant que des savoirs ne pas les opposer les concevoir dans une véritable prospective à terme sur l’immédiat mais aussi sur cinquante ans, une planification .. (note de danielle Bleitrach)

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3 Commentaires

  • michel
    michel

    Très bien ce discours de Cécile Cukierman.
    Je note l’électricité pour faire fonctionner les fours dans les aciéries.
    Je pense donc qu’il faudra produire d’avantage de puissance électrique pour que cela fonctionne .Je vois la solution nucléaire pour y arriver.
    Nous aurons la puissance ,la quantité,et le prix moins cher.
    Il faut arrêter ce gaspillage d’argent en nous obligeant de revendre notre
    courant au profit des rentiers et en faisant supporter ce système capitaliste à notre pays.
    Se chauffer à l’électricité,rouler en voiture électrique,se déplacer en bus en trains électriques,il en faut du courant!!!!Les éoliennes et le voltaïque ne suffisent pas.
    Mettre des éoliennes et du voltaïque n’importe où n’importe comment par ce que cela fait « branché »….NON.

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    • Chabian
      Chabian

      Ne mélangez pas la question de maintenir l’outil sur le territoire (et le continent) avec la question du nucléaire.
      Et analysons d’abord la question de la consommation d’électricité (bagnoles inutilement lourdes, et data centers pour l’Ia ! – tandis que la traction ferroviaire, c’est peanuts !) et comment l’économiser. Ensuite mesurons la stabilité (en progrès) de la production des énergies non fossiles par 1/la production proche des habitats 2/le stockage par batteries ou par réservoirs hydrauliques, 3/ les interconnexions entre réseaux nationaux. Enfin on pourra discuter du nucléaire, sa non-sécurité et sa non-gestion des déchets dangereux séculaires…

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      • Franck Marsal
        Franck Marsal

        On ne fait pas fonctionner une industrie, et notamment une industrie lourde avec des sources d’énergie intermittente ou avec des batteries. La sécurité des réacteurs nucléaires, après 60 ans d’expérience environ, on a beaucoup progressé et la surgénération, qui n’est pas une chimère mais une filière qui existe alors qu’elle a été bloquée en France par les soi-disants écologistes alors que nous étions pionniers apporte une réponse substantielle au problème des déchets.

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