Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

La réalité du régime ukrainien dans la débacle militaire apparait de plus en plus clairement « comme un symptôme »

Un assassinat de plus en Espagne d’un ancien haut fonctionnaire du gouvernement chassé théoriquement par une révolte populaire pro-européenne, le maïdan, en fait une « révolution de couleur » fomentée par les USA (Obama président) avec la complicité des ministres des affaires étrangères français (Fabius sous Hollande), allemand (sous Merkel) et polonais. On commence à découvrir ce qui s’est passé lors des négociations d’Istanbul, le rôle joué par la Grande-Bretagne et les nervis d’extrême-droite de la négociation qui sont allés jusqu’à assassiner un de leurs négociateurs. Ces mœurs fascistes qui pratiquent le terrorisme ont été décrites par Hollande qui s’est vanté de les utiliser dans les confidences faites à deux journalistes à la fin de sa présidence. C’est bien la social démocratie d’Obama, Biden, Clinton qui mène cette politique. Avec l’assentiment des Bush, père et fils… les « guerriers par procuration », le drogué de Géorgie, celui d’Ukraine exercent leur violence d’abord contre leur propre peuple. La débâcle c’est la lutte des factions et on découvre à quel point cette politique que l’on nous présente comme patriotique est fondamentalement refusée par les peuples. Depuis le début de la loi martiale imposé en 2022, les hommes ukrainiens âgés de 18 à 60 ans ont interdiction de quitter leur pays, sauf exception, en réalité l’exode est massif. et l’on finit par se demander si celui qui cherche le plus à s’enfuir de ce navire en perdition pour jouir en paix de son pécule amassé n’est pas Zelensky lui-même qui est de moins en moins en Ukraine de plus en plus à la recherche de protecteurs qui le poussent à la tête de la fiction d’une nation qui défend son existence face à une réalité de fuite de la misère et de la guerre tendance qui existait avant 2022 et qui n’a fait que s’accélérer… (note de Danielle Bleitrach)

Un soldat le centre militaire pour l'Ukraine à l'aéroport de Rzeszow-Jasionka, à Jasionka, dans le sud-est de la Pologne, le 6 mars 2025.

Un soldat du centre militaire pour l’Ukraine à l’aéroport de Rzeszow-Jasionka, à Jasionka, dans le sud-est de la Pologne, le 6 mars 2025.© Sergei GAPON / AFP

Plus de 49.000 personnes ont été arrêtées en Ukraine pour avoir tenté de fuir le pays en franchissant illégalement la frontière depuis le début de la loi martiale imposée en 2022 en raison de l’invasion russe, a rapporté ce mercredi 21 mai le service des gardes-frontières.

Les hommes ukrainiens âgés de 18 à 60 ans ont interdiction de quitter leur pays, sauf exception. Ceux qui veulent échapper à la mobilisation militaire franchissent donc la frontière illégalement, parfois au péril de leur vie.

« Depuis le 24 février 2022, environ 45.000 citoyens ukrainiens, des hommes âgés de 18 à 60 ans, ont été arrêtés par le Service national des gardes-frontières » alors qu’ils tentaient de quitter le pays en secret, a indiqué son porte-parole, Andriï Demtchenko.

4.000 personnes supplémentaires arrêtées

« Près de 4.000 » personnes supplémentaires ont aussi été arrêtées pour avoir tenté de franchir la frontière via des points de passage légaux mais « à l’aide de faux documents », a précisé ce responsable.

La plupart des Ukrainiens tentant de fuir passent par la région occidentale de Transcarpatie, recouverte de montagnes et de forêts, une zone poreuse frontalière de la Roumanie et de la Hongrie, qui a été longtemps au centre de divers trafics.

Depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022, Kiev tente de lutter contre des réseaux de passeurs illégaux.

En janvier, la police ukrainienne avait annoncé avoir effectué « plus de 600 perquisitions » pour arrêter des organisateurs qui ont aidé « des centaines d’hommes » à franchir la frontière illégalement.

Émaillé de scandales, le système de mobilisation militaire est très critiqué en Ukraine et largement considéré comme inefficace, corrompu et injuste, ce qui a poussé le président Volodymyr Zelensky à limoger en 2023 tous les responsables régionaux chargés de la mobilisation.

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