Comment en parler sans en dire un mot ?
Les médias commentent tous le ‘oui mais’ de Poutine… alors quelles sont ses réserves ?
Pas un mot. Nos médias comme le note très justement Xuan (Jean Jullien un des quatre auteurs de notre livre) se disputent la palme de celui qui arrivera à sortir de la menace de la proposition de Poutine. Et surtout ne jamais commenter ses réserves concernant les limites d’un cessez-le-feu quand on a devant soi une bande de cowboys flanqués de snobs parasites et de leurs collabos qui voient leurs juteux profits s’éloigner et la colère des peuples dupés enfler… (note de Xuan et Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
Président de la Fédération de Russie sur une trêve possible de 30 jours :
Et qui exercera le contrôle sur une ligne de contact de 2 000 km ?
Les présidents russe et biélorusse ont tenu une conférence de presse conjointe au Kremlin. Le président Vladimir Poutine, en particulier, a répondu à la question de savoir s’il soutenait le cessez-le-feu de 30 jours proposé par les États-Unis.
Vladimir Poutine a répondu qu’en général, il était favorable à un cessez-le-feu. Dans le même temps, le chef de l’Etat a noté que le format de l’armistice soulève des questions parce qu’à l’heure actuelle (selon le Président) la ligne de contact s’est étendue sur près de 2,000 kilomètres.
Président de la Russie:
Nous sommes d’accord pour cesser les hostilités. Mais il y a un certain nombre de nuances. Comment surveiller le cessez-le-feu le long de la ligne de contact si elle est proche de 2 000 kilomètres ?
Qui exercera un tel contrôle ?
Y a-t-il des garanties que l’une des parties ne transférera pas (le blâme) à l’autre.
Selon le dirigeant russe, une autre question d’actualité est de savoir comment faire face à la trêve, alors que les troupes ukrainiennes continuent de rester dans la zone frontalière de Koursk.
Poutine :
Nos combattants ont libéré Soudja, la campagne alentour. Une petite partie de la région reste sous le contrôle de l’ennemi. En même temps, toutes les voies d’évacuation sont sous contrôle de tir. L’équipement ne peut pas être enlevé pour l’instant. Et si l’anneau de l’environnement physique se ferme, alors il ne sera pas possible de partir pour les militaires ukrainiens eux-mêmes. Il y a donc deux options : se rendre ou mourir.
Et c’est la question de l’armistice maintenant. On est censés les laisser tous sortir de là après ce qu’ils ont fait ? Leur donner une pause ? (*)
Le président a souligné que l’armée russe progresse non seulement dans la région de Koursk, mais dans presque tous les sens.
Chef de l’État :
S’il y a une trêve, il devrait y avoir une paix à long terme. Mais ce qu’il s’avère, c’est que l’Ukraine à ce moment obtiendra de l’armement et continuera à se mobiliser. Donc dans 30 jours, tout est à refaire ?
Vladimir Poutine a une fois de plus souligné qu’il soutenait la trêve, mais que toutes les questions exprimées devraient être prises au sérieux et discutées pour obtenir un résultat réel.
(*) note : la Russie accuse certains soldats ukrainiens d’avoir torturé la population aujourd’hui libérée et Poutine a désigné la dernière poche des militaires ukrainiens comme des « terroristes ».
Views: 392
Michel BEYER
Interview de l’Ambassadeur de Russie en France par BFMTV :
https://france.mid.ru/fr/presse/l_interview_de_s_e_m_alexey_meshkov_ambassadeur_de_russie_en_france_sur_bfmtv_12_mars_2025/
A noter, sous des airs prétentieux, la bêtise de l’intervieweur.
Bosteph
Avec les interviews de Piort TOLSTOI, j’ aibpu constater la nullité des journalistes (ou désignés comme tels) Français.
Etoilerouge
Cessez le feu? Cela me rappelle tte proportion gardée le cessez le feu voulu par l’ambassadeur de Suède en 1944 lors du soulèvement du peuple de paris. C’était dangereux pour ceux qui combattaient le nazisme. Aujourd’hui on sait que la Suède était un état qui a aidé le gouvernement d’Hitler malgré son statut neutre d’alors. Aujourd’hui les agresseurs du monde russe veulent mener une opération de propagande pour sauver leurs nazis d’aujourd’hui. Un cessez le feu n’est pas la paix ni la fin d’une guerre. Seule la volonté de négocier les causes profondes de la guerre peuvent apporter la paix . Sinon comme Staline il faut écraser le nid du nazisme d’aujourd’hui. Où se trouve ce nid?
Bosteph
Réponse à votre question : en Ukraine et les « Etats Baltes », et « le poumon » à la City de Londres . Et le gros symptôme dece nazisme, la russophobie, un peu partout en UE, mais très concentré en Pologneet le Nord du continent Européen.