Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Washington-Londres-Paris ou Les coulisses d’une comédie grotesque sur les contradictions internes de la classe « dominante » (sic), par Danielle Bleitrach

L’histoire retiendra que ces gens-là sont la fine fleur de ce que l’impérialisme occidental à son stade est capable de produire en contrepoint de l’extraordinaire show offert par la Maison blanche.

Comment un petit escroc flanqué de deux « chefs » de puissances néocoloniales en perdition a tenté de flouer un maquignon devenu président des Etats-Unis. Et comment tout ce beau monde tente de nous vendre ce cirque comme la lutte de la démocratie contre « le totalitarisme » en nous poussant vers « le réarmement national » sans la moindre « nation » dans tout ça…

Il faut comprendre que ce petit escroc de Zelenski en comprenant que les élections aux Etats-Unis allaient faire élire Trump qui ne cachait pas le fait qu’il considérait la guerre entamée en Ukraine par Obama et Biden comme une monstrueuse erreur et que la prolonger est de la folie. Non pas parce qu’il serait un agent déguisé du KGB mais parce que le rapport qualité prix était négatif et que l »argent devait aboutir dans d’autres poches plus efficaces moins « idéologiques ». Il n’avait pas caché son mépris pour Zelenski qui vendait des victoires et une résistance du peuple ukrainien bidon, le front ne tenait qu’à coup de milliards déversés par les USA et le complément européen. Ce mec repart toujours avec des sommes fabuleuses dont on ne sait pas où elles passent d’ailleurs.

Donc Zelenski et son régime qui se tirent dans les pattes et dont la survie au plan intérieur dépend du « parrain » occidental qui le protège a déjà à son actif d’avoir fait capoter Minsk 1 et Minsk 2 et le massacre de la population du Donbass qui n’est même pas « séparatiste » mais revendique un statut d’autonomie dans une Ukraine fédérale (comme les USA eux-mêmes) massacre la population d’origine russe, leur interdit le russe et signifie officiellement à l’OTAN son désir d’en découdre comme aujourd’hui.

Il y a une chose sur laquelle tous les gouvernements US sont d’accord c’est pas d’adhésion à l’OTAN. C’est une chose de créer une zone de déstabilisation permanente et de s’y impliquer personnellement quand il s’agit de la Russie qui a un potentiel nucléaire supérieur à celui des USA. Mais Zelenski qui a été élu pour faire la paix et qui en tant que pitre s’est montré plutôt russophile et en tous les cas appartient à une famille juive et un père qui avec l’armée rouge est allé jusqu’à Berlin parait donner des garanties. Mais soit par peur, soit par corruption, soit parce qu’il est drogué à mort, soit les trois se prend au sérieux dans son rôle de chef de guerre et est utilisé comme tel par les européens et les démocrates des Etats-Unis. Les plus actifs dans l’affaire sont les Britanniques et on peut imaginer que la City qui est connue pour abriter les plus grands oligarques n’est pas étrangère à ce rôle de pousse au feu.

Mais avec l’arrivée de Trump, toutes ces « affaires » risquent d’être suspendues. C’est là que Zelenski invente l’histoire des terres rares. En fait il y a quelques gisements de lithium, et de minéraux intéressants mais pour l’essentiel ils sont dans le Donbass et dans la zone occupée par une minorité hongroise qui revendique aussi son autonomie et refuse d’aller faire la guerre. Il est probable que les Russes ont fait passer l’information à Trump et à son entourage de capitalistes. Il voit qu’on tente de l’appâter par un marché bidon.

Au même moment les Britanniques toujours sous l’influence de la City – et du poids des oligarques, lus tous ceux qui font de bonnes affaires en Ukraine – qui joue à la baisse les actions de Tesla, et notre mégalomane national qui se cherche un destin de président de l’Europe et offre pour cela notre force de dissuasion inventent l’idée saugrenue d’être une force de paix sur une ligne de milliers de kilomètres. Alors ils rentrent dans le marchandage autour des terres rares de Zelenski.

Oui mais voilà Trump dans ce genre de marchandage n’est pas tombé de la dernière pluie et il renverse les termes face aux trois imbéciles stupéfaits :

A Zelenski il dit d’accord pour les terres rares mais comme vous me devez 300 milliards au moins (et effectivement il y a des contributions les plus diverses, l’armement, le fonctionnement minimum du budget ukrainien, la rénovation de l’électricité et des communications, l’information et les consciences à acheter, etc…) alors vous nous donnez les terres rares en paiement de votre dette. Aux deux européens Macron et Starmer qui se succèdent et qui le supplient de venir les aider à jouer les soldats de la paix sous les armes russes et les provocateurs nazis ukrainiens, Trump répond : c’est votre affaire si vous voulez y aller allez-y mais sans nous. Chacun tente de le séduire Macron avec un diner en couple à Paris, Starmer avec une invitation par la reine à une soirée de gala en son honneur. Mais l’autre qui est un maquignon pur jus se marre et le lendemain il instaure des taxes à 25%.

Parce que et ceci mérite un long développement il a déjà commencé à affronter son adversaire réel la Chine et pas seulement dans le Pacifique mais dans les terres américaines mêmes. Le canal de Panama mais aussi ce qui se passe au Venezuela avec l’offensive de Chevron. Parce que ce sont les multinationales qui sont à la manœuvre. Si la Chine possède la majeure partie des terres rares, il y en a au Vietnam et au Brésil beaucoup plus qu’en Ukraine. Le gisement de lithium n’est pas une terre rare mais est utile pour les batteries de Tesla et là aussi la Bolivie est plus intéressante. Cette géographie Trump la connait sur le bout des doigts et il a entamé un mélange de négociations et de chantage beaucoup plus réaliste que ce jeu européen avec leur marionnette ukrainienne. En plus il mesure bien que ces gens-là n’ont pas de troupes ni de masses, ni d’armées suffisantes. D’où l’explosion « l’Europe a été créée pour emmerder les Etats-Unis ». Eh oui, Marx l’avait prévu le centre de gravité s’est déplacé. La Russie qui pourtant avait renoncé à l’URSS a été contrainte d’en prendre l’héritage diplomatique pour défendre ses atouts de pays producteur. Nous avons beaucoup écrit sur ce sujet.

Les trois, le Britannique, le Français et Zelenski avec une opinion publique certes convaincue que Poutine mange tout cru les petits enfants ukrainiens mais qui n’a pas non plus envie d’aller se battre sur le Dniepr derrière pareils chefs, montent une opération. Zelensky de plus en plus hagard vêtu de son habit de chef de guerre estampillé par Vogue est convié à résister et à exiger des garanties de sécurité qui aideraient bien les deux franco-britanniques à ne pas se retrouver seuls comme force de paix (vu que le reste des Européens n’est pas chaud non plus).

Alors commence entre tous ces gens-là une partie de poker pour la galerie qui fait se marrer le reste de la planète. Enfin le rire est nuancé d’inquiétude parce que ces gars on les connait ils nous ont toujours déclenché des guerres mondiales sur ce mode-là…

Maintenant vous allez mieux apprécier ce qui vous est dit pour vous encourager à soutenir ces escrocs en bande organisée qui se sont heurté à une sorte de Volpone qui les a eu… en la personne de Trump

Pour mettre en condition les alliés européens, la Grande-Bretagne, la City a annoncé une contribution importante avant même le début des discussions. M. Starmer a par ailleurs annoncé un nouvel accord qui permettra à Kyiv d’acheter 5 000 missiles de défense aérienne pour un montant de 1,6 milliard de livres sterling (1,94 milliard d’euros). Samedi, le Royaume-Uni avait signé un accord de prêt de 2,26 milliards de livres (près de 2,74 milliards d’euros) pour soutenir les capacités militaires ukrainiennes.

La réunion se voulait une occasion pour les alliés de Kyiv de resserrer les rangs et d’apporter leur soutien à M. Zelensky, 48 heures après sa vive altercation avec son homologue américain Donald Trump à la Maison-Blanche. En fait cette bande est prise à ces propres pièges et tente d’en retirer des avantages personnels.

Leur fameux plan de paix est une supplique pour que Trump donne des garanties non seulement au petit fantoche qui n’est plus là que pour le décor mais aux deux imprudents qui ont mis leur pays et l’Europe dans une position de belligérants.

Maintenant vous avez les moyens de décrypter le discours présidentiel : Tout tourne sur ce qui a créé le clash dans le bureau ovale, les garanties de sécurité des Etats-Unis pas pour Zelenski mais pour les deux imbéciles qui ont joué avec lui une partie de poker avec un maquignon…

Il s’agit d’une trêve « dans les airs, sur les mers » et concernant les frappes sur « les infrastructures énergétiques », a affirmé dans la soirée au journal Le Figaro le président français Emmanuel Macron, qui n’avait pas pris la parole publiquement à Londres. L’avantage d’une telle trêve, qui exclut les opérations terrestres, c’est qu’« on sait la mesurer » alors que le front est immense, « l’équivalent de la ligne Paris-Budapest », a-t-il ajouté.

Le premier ministre britannique Keir Starmer avait réuni dimanche à Londres le président ukrainien Volodymyr Zelensky et une quinzaine de dirigeants européens alliés de Kyiv ainsi que la Turquie, le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, et le premier ministre canadien, Justin Trudeau. M. Starmer a souligné qu’« un certain nombre de pays » avaient dit vouloir rejoindre « une coalition des bonnes volontés » pour défendre un futur accord de paix.

PHOTO CHRISTOPHE ENA, AGENCE FRANCE-PRESSE Le président français Emmanuel Macron, le premier ministre britannique Keir Starmer et le président ukrainien Volodymyr Zelensky posent pour une photo de famille lors d’un sommet organisé à Lancaster House, dans le centre de Londres, le 2 mars 2025.

Ce dernier lui avait reproché de « s’être mis en très mauvaise posture » et lui avait ordonné de faire la paix avec la Russie, faute de quoi les États-Unis le laisseraient « tomber ». L’accord sur une exploitation des minerais ukrainiens par les États-Unis, qui devait être signé à cette occasion, ne l’a finalement pas été. Selon Downing Street, les discussions à Londres vont porter sur « le renforcement de la position de l’Ukraine aujourd’hui, y compris un soutien militaire continu et une pression économique accrue sur la Russie ». interrogé dimanche à Londres sur la façon dont il avait été rudoyé en mondovision dans le bureau Ovale, M. Zelensky a déploré le « format » médiatique donné par la Maison-Blanche à son entretien avec les dirigeants américains. « Les conversation franches entre partenaires sont importantes et constructives, et doivent avoir lieu », a-t-il souligné. Mais il n’est « pas bon » qu’elles soient ouvertes à tous car sinon elles peuvent être « exploitées par des non-amis ». M. Zelensky, qui a également été reçu dimanche par le roi Charles III, s’est toutefois redit prêt à signer l’accord sur les minerais « si toutes les parties sont prêtes ». Kyiv exige notamment des garanties de sécurité en cas de cessez-le-feu.

Bref on tourne en rond et Trump ne le leur a pas envoyé dire : Non et non ça sera non si vous voulez poursuivre cette guerre au lieu de vous atteler aux choses sérieuses, ce sera sans moi. Résultat cet individu d’extrême-droite, ce milliardaire sans foi ni loi qui simplement préfère les tarifs douaniers aux canons avec d’ailleurs les mêmes résultats catastrophiques pour les peuples est en train de devenir le héros de certains antiimpérialistes malgré les mises en garde des Cubains et des Palestiniens, sans parler des citoyens des Etats-Unis qui ne savent plus à quel saint se vouer.

Effectivement, Trump et son équipe après l’intervention de Macron et celle de Starmer avait compris ce à quoi on cherchait à l’appâter avec des terres rares qui n’existaient pas et ils avaient conçu non pas un piège mais la révélation du niveau de ces gens-là…

Un certain nombre d’Européens ont bien voulu cautionner cette supplication au suzerain et dire que l’on va avec certains délirants du PS et du secteur international du PCF nous vendre ça comme l’indépendance enfin de l’Europe face à l’impérialisme US et l’autre impérialisme bien sûr russe et chinois (pour mieux lutter contre ces derniers avec l’appui du premier)

Ses alliés réunis à Londres ont eux aussi souligné le besoin de « garanties de sécurité globales » pour l’Ukraine, a rappelé la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.« L’Europe doit faire le gros du travail, mais pour défendre la paix sur notre continent, et pour réussir, cet effort doit être fortement soutenu par les États-Unis », a renchéri M. Starmer. Mme von der Leyen a dit vouloir présenter « un plan global sur la manière de réarmer l’Europe » lors d’un sommet spécial de l’UE prévu jeudi à Bruxelles. « Nous devons urgemment réarmer l’Europe », a-t-elle martelé.« Davantage de pays européens vont augmenter leurs dépenses de défense », a assuré M. Rutte, saluant une « très bonne nouvelle ».

PHOTO ALBERTO PEZZALI, ASSOCIATED PRESS Des partisans ukrainiens se tiennent sur le Mall avec des drapeaux et des affiches alors que le premier ministre britannique Keir Starmer tient un sommet ukrainien à Londres, le 2 mars 2025.

« Pas l’intention de capituler »

Assis aux côtés du président ukrainien lors de la réunion, M. Starmer a assuré celui-ci du soutien, « aussi longtemps qu’il le faudra », de tous les dirigeants assis « autour de cette table ». Étaient notamment présents le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Olaf Scholz, et les chefs de gouvernement italien Giorgia Meloni et polonais Donald Tusk. L’Ukraine est « victime des agressions russes, et cette vérité demeure inébranlable pour tous », a martelé M. Scholz, dont le pays est le deuxième fournisseur d’aide à Kyiv depuis l’invasion russe, derrière les États-Unis, avec un total de 44 milliards d’euros.

PHOTO VALENTYN OGIRENKO, ARCHIVES REUTERS Des militaires ukrainiens utilisent un lance-grenades RPG-7 lors d’exercices militaires sur un terrain d’entraînement, dans le contexte de l’attaque russe contre l’Ukraine, dans la région de Dnipropetrovsk, en Ukraine, le 24 février 2025.

Face au président russe Vladimir Poutine, il s’agit d’envoyer le message « que l’Occident n’a pas l’intention de capituler devant son chantage et son agression », a déclaré de son coté M. Tusk. Il est « très important d’éviter » que l’Occident « se divise », a convenu la cheffe du gouvernement italien, Giorgia Meloni, réputée proche de Donald Trump. Les ragots disent même qu’elle file la romance avec Elon Musk qui n’en est pas à une épouse près. Le fanatique de l’antiwokisme ayant des mœurs de Mormon distribuant sa semence… eh oui c’est ça la chute des empires les affaires salaces y prennent plus d’importance que la vie de milliers d’individus… On se dit de plus en plus gardiens de la vérité alors que le mensonge est organisé au niveau de l’Etat et de plus en plus moraux alors que chacun a son prix…

« Les dirigeants européens ont décidé aujourd’hui à Londres de poursuivre la guerre au lieu d’opter pour la paix », a pour sa part critiqué dimanche soir sur X le premier ministre hongrois prorusse, Viktor Orban, qui n’était pas convié à la réunion de Londres, encore un cas qui fait de l’extrême toujours prête à se faire calmer d’ailleurs par quelque marchandage le défenseur du simple bon sens.

Washington commence en avoir marre et veut virer au moins Zelenski

Washington a encore fait monter la pression dimanche sur M. Zelensky, en laissant planer l’idée qu’il pourrait devoir partir. « Nous avons besoin d’un dirigeant qui peut traiter avec nous, traiter avec les Russes à un moment et mettre fin à cette guerre », a déclaré, le conseiller à la sécurité nationale de M. Trump, Mike Waltz.

A côté de ces gens-là, la Chine et même Moscou (en dehors de Medvedev qui mériterait d’être recruté en occident tant il en rajoute) restent sur leur réserve et se contentent de demander un véritable processus de paix. Notre proposition est celle d’une France qui adhérerait aux BRICS et qui poserait les termes d’un socialisme à la française échappant à cette centrifugeuse, ce train fantôme de fête foraine, cette politique spectacle qui masque mal les intérêts déchainés privatisés qui ont pris en otage nos républiques.

Alors la question qui se pose aux Français en particulier, à la gauche si ce terme a encore un sens tant une partie d’entre elle contribue à valider ces pitreries dangereuses, est-ce que nous allons accepter ce spectacle pour gogos qui nous entraine vers la misère et la guerre ?

Parce que maintenant je pense que la déclaration de Macron sur les résultats du sommet de Londres vous paraitront plus clairs et que si vos forces politiques manquent totalement de courage et de dignité vous aurez à cœur de défendre au moins votre repas dominical : la poule au pot, le steack barbecue ou le couscous on s’en fout… et surtout la paix…

Danielle Bleitrach

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2 Commentaires

  • Franck Marsal
    Franck Marsal

    Clair comme de l’eau de roche.

    Le grotesque le dispute au tragique. Le grand sommet qui devait voir la grande Europe réunie prendre le relais d’une Amérique qui a choisi de mettre un terme à la coûteuse aventure de l’occident en Ukraine accouche d’une proposition de cessez-le-feu qui n’en est pas un, et d’un chèque de 2 milliards, somme importante, mais qui est loin de faire le compte.

    Quand à la promesse de 5 000 missiles de défense anti aérienne, on se demande qui est en situation de les produire et dans quels délais.

    Le plus hallucinant en effet est de voir la classe politique française (presse comprise), à l’exception du PCF et de son dirigeant Fabien Roussel, jouer le jeu, donner le change, et poursuoivre sa propagande éhontée.

    Il reste à construire une mobilisation de masse pour cette paix. C’est un travail difficile car la plupart des gens sont encore sous le coup de la propagande offiicielle. Beaucoup doutent, mais n’ont pas accès à d’autres éléments d’analyses et de réflexion. Il faut davantage de communistes et mieux organisés.

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  • Xuan

    Nous devrions promouvoir dans notre pays l’établissement de relations pacifiques, voire un traité de non-agression mutuelle, fondés sur le respect des cinq principes de la coexistence pacifique :

    > Le respect mutuel de la souveraineté et de l’intégrité territoriale,
    > La non-agression mutuelle,
    > La non-ingérence mutuelle dans les affaires intérieures,
    > L’égalité et le bénéfice mutuel,
    > Et la coexistence pacifique

    Et commencer à exprimer cette volonté de paix par une pétition largement ouverte.
    Je suis persuadé que le peuple de notre pays est las et inquiet des conflits meurtriers et couteux, et n’attend qu’une initiative de ce genre.
    Et chez nos voisins il est fort probable qu’il en est de même.

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