Histoire et société

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Cuba et l’antifascisme : « Il ne peut y avoir d’objectif plus sublime que la défense de l’être humain »

A la Fête de l’Humanité même quand celle-ci s’était rangée derrière Robert Ménard et sa pseudo défense des droits de l’homme aux Champs-Élysées, il y a toujours eu partout le drapeau de Cuba… Et aujourd’hui encore alors que certains ne renoncent pas à ancrer non seulement la gauche mais le PCF dans d’étranges combats derrière l’OTAN ou derrière des corrompus d’extrême-droite comme Zelensky ou Netanyahou sacrifiant partout leur peuple pour porter l’escalade guerrière et le terrorisme à son stade ultime d’exploitation interne et externe des peuples, l’île de la liberté reste l’étoile qui éclaire le chemin des communistes… celle qui se bat pour l’humanité, pour tous les peuples y compris celui que l’on nomme américain. Alors ma fête idéale sera celle de la rencontre partout et en particulier au stand de Cuba avec la lutte antifasciste et ce congrès au Venezuela, là aussi il nous faut choisir comme le fait Cuba. (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

Le Congrès mondial contre le fascisme, le néofascisme et d’autres expressions similaires se réunit au Venezuela

Auteur : Laura Mercedes Giráldez, envoyée spéciale | internet@granma.cu

10 septembre 2024 22:09:57

Miranda, Venezuela.– Du Venezuela, où le peuple sait bien ce qu’est le fascisme et qui, pour l’affronter, a décidé de « ne jamais se rendre, de ne jamais se laisser extorquer, de ne jamais se laisser faire chanter », plus d’un millier de voix du monde entier se sont élevées depuis hier, dans un espace qui appelle à la réflexion et à l’action commune.

Le Congrès mondial contre le fascisme, le néofascisme et d’autres expressions similaires, qui rassemble des délégués de plus de 95 pays sur les cinq continents, se dresse comme une tranchée de combat contre ce que la vice-présidente exécutive de cette nation, Delcy Rodríguez, a appelé le « cartel international du fascisme ».

L’événement, qui rassemble les esprits sains et les bonnes âmes de l’humanité, a débuté par un applaudissement volcanique dédié au peuple palestinien, qui subit également les attaques de « ce courant extrémiste qui menace l’espèce humaine ».

A cet égard, le ministre du Pétrole a également déclaré : « Notre idée est que nous nous réunissions tous, que nous nous invitions à un grand mouvement antifasciste pour la paix de l’humanité. Nous le disons en tant qu’humbles Vénézuéliens qui ont vécu le coup d’État de 2002, ce que nous appelons les guarimbas extrémistes et fascistes des années 2014-2017, qui avons connu le sabotage de notre principale industrie pétrolière et qui sommes aujourd’hui victimes d’une guerre économique criminelle.

« Nous le disons avec cette autorité de ce que signifie résister, comme le peuple cubain a résisté pendant plus de six décennies, de ce que signifie avoir la dignité de ne pas être piétiné ou soumis », a-t-il remarqué.

Depuis la plus grande des Antilles, une importante délégation de divers secteurs de la société assiste à la réunion, dont le message principal se concentre sur « faire un appel à la conscience, à l’unité, pour continuer à semer des idées, en ce moment de crise que le monde traverse », comme l’a déclaré Elier Ramírez, directeur adjoint du Centre Fidel Castro Ruz, qui a également rappelé que le commandant en chef avait prévenu, à l’avance, de nombreux problèmes qui étouffent l’homme.

Les jeunes Cubains étaient représentés par le premier secrétaire de l’UJC, Meyvis Estévez, conscient de la responsabilité qu’implique l’union des voix pour dénoncer les injustices et arrêter le fascisme et l’impérialisme.

Puisque, selon les mots de Delcy Rodríguez, « il ne peut y avoir d’objectif plus sublime que la défense de l’être humain », on s’attend aujourd’hui à une autre journée de débat fructueuse au Congrès.

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