Ces informations ont pour source un site lié à l’Iran et en général nous nous méfions de cette source, qui privilégie la propagande et a des relais type Soral et Dieudonné. Ces informations ont été publiées en anglais sous le titre The NATO Caliphate Pt 2. Ces précautions établies, l’analyse nous parait intéressante et venant apporter des faits et référence sur les liens entre terrorisme et service secrets des Etats-Unis renvoyant à des publications. On retrouve d’ailleurs chez Fabius et surtout Hollande les mêmes “révélations” concernant les liens de fait entre les interventions françaises et le jeu en sous main d’Al Qaida et autres organismes terroristes. Ce qui est sûr qu’il est étonnant que ces gens-là s’attaquent toujours aux ennemis des Etats-Unis et fichent une paix royale à Israël, et autres alliés. J’ajouterai que leur communication parait directement inspirée d’Hollywood mais là, à la différence de la fourniture d’armes, le lien peut être une influence indirecte entre gens peu soucieux d’autre chose qu’eux-mêmes… (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoiretsociete)
Nous ne pouvons pas discuter de l’EI-K sans d’abord discuter de l’EI lui-même. Le soi-disant État islamique n’est pas une entité souveraine, et il ne l’a jamais été. À ce stade, les preuves que Daesh était une création des services de renseignement de l’OTAN sont si claires que même le département d’État américain l’admet dans des documents internes. Curieusement, alors qu’ils maintiennent publiquement qu’ils n’étaient pas impliqués, les médias crédules qui dépendent de l’accès au flux d’informations fourni par le Département d’État pour écrire des articles et vendre des publicités ne remettent pas en question ce mensonge évident.
De source sûre. Source : Département de la Défense des États-UnisE
En effet, plutôt que de faire son travail en tenant ceux qui sont au pouvoir responsables de leurs actes, la presse crée plutôt des fantasmes élaborés liant Al-Qaïda et l’EI aux méchants préférés du gouvernement américain du jour, en particulier Poutine et Assad.
Cette manipulation peut être admise malgré le fait que Jake Sullivan, le ministre de la propagande du régime Biden, admette ouvertement qu’Al-Qaïda est du côté de l’Amérique en Syrie. Même John Kerry, le secrétaire d’État sous Obama, admet volontiers que le régime a cherché à utiliser l’EI comme moyen de pression contre Assad. Ses homologues d’Israël ont ouvertement déclaré la même chose à de nombreuses reprises.
L’espoir était que l’EI forcerait Assad à négocier, mais ce plan a été ruiné par le soutien de Poutine au gouvernement syrien. Ces faits sont ostensiblement ignorés par la « presse libre » en faveur d’éditoriaux écrits par des officiers de marine devenus employés de General Atomics.
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