Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Guerre en Ukraine : le groupe Nexter qui produit les canons Caesar a triplé sa production

Guerre en Ukraine : «Le groupe Nexter qui produit les canons Caesar a triplé sa production», note Véronique Guillermard… Et le Figaro, Dassault, comme la plupart des patrons des grands médias sont directement intéressés à l’effort de guerre… la question est de savoir qui possède l’Humanité pour que depuis des années ce journal – que plus personne ne lit et que seuls défendent les vieux militants qui espèrent le reprendre un jour – adopte la même ligne, pratique les mêmes censures que les marchands d’armes en cachant le rôle réel de l’OTAN et en cautionnant toutes les campagnes de l’empire… Et l’on découvre qui sont les bouffons de ces gens-là, “l’affaire Palmade”… jusqu’où va la corruption des vertueux des médias, comme il est différent d’être dealer pour les beaux quartiers et dans les cités, et la haine des pauvres monte vers l’extrême-droite… pourtant le plus édifiant c’est tout de même de voir les magouilles de Le drian, Macron par rapport à Nexter, l’armement et la drogue ce sont les mêmes circuits, mais quand on est parmi les vendeurs d’armes on est protégé…(note de Danielle Bleitrach)

Le scandale, les moeurs, le terreau de l’extrême-droite, dans lequel il est aisé de devoyer le ressentiment de classe…

Jusqu’ici je n’ai pas voulu parler de “l’affaire Palmade” mais il faut bien mesurer ce que ressent le peuple français et ce qui dans cet amas de “dépravation” en fait ne sert que l’extrême-droite. L’aspect dangereux c’est que ces turpitudes et leur effet fascinant n’est pas étranger à la domination des marchands d’armes. Mais un écran est tendu entre eux et le petit peuple écoeuré. IL découvre tout un milieu qui n’a plus aucune limite dans la débauche, qui non seulement prend le volant complètement défoncé mais en réalité fait des consommations folles de cocaïne sans que jamais les circuits de vente ne soient inquiétés. Sans un parti communiste qui dira la mansuétude dont bénéficient les véritables acheteurs, alors que les opérations coups de poing se multiplient dans les cités qui ne vivent plus que de cela? Il y a les stigmatisés, tandis que les beaux quartiers pratiquent quasiment au grand jour et ne connaissent que le bracelet, pas les années de prison avant d’être jugés parce que les tribunaux sont encombrés. Cette indignation là nous économise une véritable politique de prévention et de soin…

Il existe effectivement un milieu totalement corrompu qui ne craint pas de se vanter d’avoir à sa dispositions non seulement des escort boys venus du tiers monde, des “clandestins” protégés par leur riche clientèle, mais des gens capables de se vanter d’avoir à leur disposition quand ils le veulent et comme il veulent des gamins de 5 ou 7 ans probablement pris dans le même vivier, celui comme par hasard de cette famille kurde dont l’enfant demeurera sans doute à jamais défiguré. Cette permissivité qui développe un marc hé d’esclavage d’enfants la dernière fois qu’il en a été question c’était à propos des repas du Siècle, de la rencontre entre “décideurs… Qui fait le lien et pourtant il n’y a pas si longtemps… Le consensus politique sur quelques nécessaires réformes s’obtient aisément… entre gens sans idée préconçues qu’ils soient de droite ou de gauche, ils s’entendent sur la liberté cultivée…

Le milieu des médias s’éloigne du malade qui a atteint le point de non retour, il feint l’indignation mais chacun sait qu’il est complètement pénétré par ces mœurs-là… Ce sont ces gens-là qui jouent les belles âmes et nous invitent à appuyer des causes suspectes, qui occupent toutes les émissions, invitent qui leur plait des leaders syndicaux comme des politiciens, des gagne-petits qui vendraient leur âme pour un passage dans une émission dont les animateurs sont de la même espèce… C’est un mode de vie qui revient cher et on est prêt à n’importe quoi pour assurer l’approvisionnement. Le problème est le poids qu’on pris ces réseaux là dans la vie politique française qui est complètement calquée sur les shows médiatiques. Là encore la guerre en Ukraine est u modèle du genre et ce qui se passe sur LCI incroyable.

Il est injuste de limiter à Paris, voire à sa municipalité ces turpitudes-là, l’idée est que chaque préfecture, voir sous préfecture fonctionne sur ce modèle là et peuple le sénat… mais il est vrai que la capitale en regorge, ils ne s’en privent pas parce que certains prêtent le flanc comme quand Bernard-Henry Levy lance son dernier navet qui le montre dans ses états d’âme en voyage en Ukraine pour y vanter la guerre sous le parrainage du régiment Azov avec Hollande (celui qui a torpillé les accords de Minsk), nous a expédié au Mali et soutenu les expéditions de Syrie, avec la mairesse de Paris… j’en passe et des meilleures… Tous ceux qui nous ont assuré que leur ennemi c’était la finance… Tous les pitres qui avec leurs complices le nez bourré de cocaïne obéissent par leur silence complice aux marchands d’armes dont dépend leur carrière.

Dans l’art et la manière d’écœurer le pauvre mec qui ne s’en sort pas, je vous recommande la polémique autour de Jean-Luc Mélenchon le milliardaire grâce selon Darmanin à la politique d’Anne Hidalgo : Le dit Jean Luc Melenchon qui a pris en grippe les millionnaires, en est-il un lui-même? Pour Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, la réponse est oui, l’homme découvre les turpitudes des cocaïnomanes au volant et propose une répression qui existe déjà mais que visiblement on n’applique peu ou pas chez les nantis, de même au nom de sa mère qu’il laisse faire des ménages ce fils indigne, il découvre que Mélenchon profite de la spéculation immobilière comme pourtant la quasi totalité du gouvernement auquel il appartient. Une déclaration qui a provoqué un clash entre les deux hommes. L’ancien maire de Tourcoing (59) fait référence au patrimoine de Jean-Luc Mélenchon qu’il a estimé à environ 2,5 millions d’euros dont un appartement parisien d’une valeur d’1,2 million d’euros. Une résidence située près de la Gare de l’Est, dans le 10e arrondissement de la capitale, acquise 800.000 euros en 2014. Soit une hausse de 50%. Déjà sortir 800.000 euros en 2014, moi c’était hors de portée, il est vrai que j’avais tant dépensé dans mes expéditions par moi payées pour tenter de vous alerter sur les guerres et les massacres, les pillages, le tout censuré par l’Humanité… avec seulement ce blog à mes frais et je n’ai rien à voir avec ces familles qui n’arrivent plus à se loger… Alors qui sont mes ennemis?

Qui profite de cet étalage ?

Pendant qu’il est question de ça on ne parle pas de l’accord de Munich, le Figaro en tête… Surtout quand le PCF et l’humanité ne pipent mot non plus et que le groupe communiste appuie l’OTAN et ses bonnes œuvres. Parce que le fric de ces gens-là est l’équivalent de celui des budgets de petits pays, alors s’acheter un cocaïnomane bourré, un démagogue qui possède un bien immobilier c’est pas grand chose…

Vous savez comment cela s’est terminé à Berlin, les mêmes ont promu un Hitler qui a raconté qu’il restaurerait des mœurs dignes… Parce que ne vous faites pas d’illusion, quand monte la colère du peuple, le capital a désormais besoin d’alliés plus sûrs que les libéraux libertaires, les “libertariens”, ceux qui disaient que tout est permis, et il les trouvera dans les forces les plus conservatrices, celles qui comme aujourd’hui interdiront l’égalité, le droit d’aimer avec celui de faire grève et de manifester… (note de Danielle Bleitrach)

Hier à 20:327347

Mais qui est Nexter ? une histoire édifiante…

Le Club Le Figaro International diffusé ce lundi 20 février était consacré à la guerre en Ukraine.

À quelques jours du premier anniversaire de l’invasion russe, Philippe Gélie a reçu Elsa Vidal, rédactrice en chef à RFI et Jérôme Pellistrandi, Général et rédacteur en chef de la revue «Défense Nationale». Avec Nicolas Barotte, correspondant Défense au Figaro et Véronique Guillermard, rédactrice en chef adjointe au Figaro Économie, ils ont abordé l’état des forces, le rôle des armements et la notion de victoire.

Guerre en Ukraine : « Le groupe Nexter qui produit les canons Caesar a triplé sa production », note Véronique Guillermard© Fournis par Le Figaro

Nexter S.A. est un groupe industriel français de l’armement dont le siège social est situé à Versailles, sur le plateau de Satory. Issu en 2006 de la filialisation de GIAT Industries, lui-même héritier des arsenaux terrestres de l’État, le groupe fabrique du matériel militaire pour le combat terrestre, aéroterrestre, aéronaval et naval. À sa création, Nexter intègre les filiales Systems, Munitions, Electronics et Mechanics, Optsys, NBCsys et Euro-Shelters. En 2015, voyez comme la vie est bien faite, grâce déjà à Macron et le Drian nous avons assisté à une des opérations pro-européenne dont le PS semble avoir le secret et qui reçoit aujourd’hui sa récompense grâce à la guerre en Ukraine, initiée par Fabius et Hollande le bienheureux sabotant avec Merkel les accords de Minsk, c’est ce qu’on appelle la providence du profit… Et pendant ce temps-là nos imbéciles d’élus communistes traquent les gagne-petits de l’évasion fiscale sauf s’il s’agit de Zelensky et sa bande…

Depuis fin 2015, à la suite du succès du « projet KANT », Nexter fait partie du groupe franco-allemand KNDS. En juillet 2014, un processus de fusion est engagé entre l’armurier allemand Krauss-Maffei Wegmann (KMW) et Nexter, après plusieurs années de rumeurs sur le sujet. Le projet de rapprochement, dénommé « KANT », en discussion depuis février 2006 avant son officialisation l’été 2014, est né de la nécessité de mieux harmoniser les blindés des différents pays de l’Union européenne, dont les caractéristiques différentes compliquent les interventions communes. Le 29 juillet 2015, le processus de fusion entre Nexter et Krauss-Maffei Wegmann (KMW) est officiellement signé à Paris, pour créer un nouvel ensemble de 6 000 employés et 1,7 milliard d’euros, contrôlé à 50 % par l’État français et à 50 % par la famille Bode-Wegmann.

Le 15 décembre 2015 la fusion entre Nexter et KMW est finalisée, la nouvelle société commune, baptisée Honosthor, est située aux Pays-Bas. À l’occasion du salon Eurosatory 2016, le nom final du nouveau groupe commun est dévoilé, KNDS pour Krauss-Maffei Nexter Defense Systems, symbolisant ainsi le rapprochement des deux fabricants de blindés

Le rapprochement, qui a dépendu notamment de la publication de la loi Macron, du décret de privatisation de Nexter et de l’avis de la l’autorité de la concurrence allemande, a abouti à créer un nouveau champion de la défense en Europe (1,75 milliard d’euros sur la base des chiffres d’affaires 2014), plus précisément dans les chars, les blindés et les munitions. Ce qui n’est pas rien quinze ans après la constitution du groupe EADS, devenu depuis Airbus Group. D’autant que ce rapprochement a été mené dans un contexte germano-allemand hostile à cette opération entre Nexter et KMW. Retour sur les points clés de cette négociation “longue et rugueuse”, comme l’a qualifié un proche des négociations.

L’APE au cœur de la négociation


Le succès des négociations doit beaucoup à l’Agence des participations de l’Etat (APE) dirigée encore par Régis Turrini jusqu’à fin août, et notamment au directeur de participations Industrie, Aymeric Ducrocq, et du PDG de KMW, Frank Haun, qui avait mandat des actionnaires familiaux du groupe allemand pour les représenter. Les deux hommes, qui se sont beaucoup rencontré durant cette année de négociations, ont surmonté l’ensemble des obstacles pour ce rapprochement entre deux entreprises rivales sur un marché très concurrentiel et surtout ayant des cultures extrêmement éloignées l’une de l’autre. Pour réussir leur coup, ils ont été bien aidés par le PDG de Nexter, Philippe Burtin, et le cabinet du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.

Principale difficulté des discussions, parvenir coûte que coûte à boucler un rapprochement à 50-50, une condition suspensive à cet accord. Car au final, la société de tête de droit néerlandais, qui pourrait peut-être garder le nom de Kant – il plaisait beaucoup de part et d’autre du Rhin -, sera détenue à parité par Giat-Industries, propriété de l’Etat français, et par la famille Bode-Wegmann. C’est en grande partie pour cela que les négociations ont été “rugueuses”.

“Les deux groupes, qui sont concurrents, avaient une vision très critique l’un de l’autre sur leur valeur respective”, déclarait à l’époque la Tribune. En clair, Nexter est beaucoup plus rentable que KMW, qui, en revanche, a de plus belles perspectives de croissance à l’horizon 2017-2018, notamment à l’export, que son rival. De son côté, Nexter doit beaucoup sa rentabilité aux contrats juteux passés avec le ministère de la Défense. Ce qui n’est pas le cas de KMW, beaucoup plus tourné vers l’international où “les marges sont moins élevées”, confirme une source proche du dossier. Du coup, les due diligence (processus de valorisation des deux entreprises) ont mis en lumière un écart de valeur entre les deux sociétés, en faveur de Nexter. Mais les négociateurs ont fait preuve d’imagination s’agissant d’ingénierie financière pour éviter le paiement d’une soulte par les actionnaires allemands à l’État français. Bref nous avons là un cadeau typique fait par le gouvernement français, le budget de la Défense (le charmant le Drian accusé de s’être fait “les couilles en or” au Mali a là encore agi en faveur du privé, c’est ce qu’on appelle une conscience européenne.

Comment le 50-50 a été respecté


Comment les négociateurs ont-ils procédé pour respecter le 50-50 et éviter le paiement d’une soulte ? L’Etat français et la famille Bode-Wegmann se sont versé chacun 100% des résultats 2014. Soit une différence de cash d’environ 50 millions d’euros en faveur de l’État français. En outre, les négociateurs ont sorti du périmètre de l’opération certains actifs fiscaux dont bénéficiait Nexter. Ces avantages fiscaux remontent au temps où Giat (devenu entre-temps une holding, à la fois structure de défaisance et maison-mère de Nexter, qui profitait de ces avantages fiscaux) était déficitaire dans les années 2000. La valeur de ces actifs est estimée entre 100 et 200 millions d’euros.


Côté allemand, ils ont eux aussi sorti du deal certains actifs, notamment une créance de l’Etat grec assortie des intérêts de retard sur une partie du contrat de chars Leopard (353 exemplaires reçus à partir de 2006, dont 183 d’occasion), des actifs estimés à plusieurs dizaines de millions d’euros. “Des opérations qui ont permis la jonction pour parvenir au 50-50”, assure une source proche des négociations. Pour réussir ce tour de force, l’APE s’est donc fortement mobilisée pour faire vivre et avancer le travail des valorisations, qui a été “assez long”, reconnait-on. “Sans l’APE, on y serait toujours”, assure toutefois une autre source. La direction de Nexter, dont Philippe Burtin, a d’ailleurs fait une totale confiance à l’APE pour mener les négociations avec KMW. “Il n’y a jamais eu un seul frottement entre l’APE et Philippe Burtin”, expliquait en son temps la Tribune.

Différences culturelles entre Français et Allemands, le genre de difficulté qu’un pot de vin peut aisément favoriser…


Les différences culturelles entre Français et Allemand n’avaient pas été identifiées comme un possible obstacle. Et cela a été vraiment LA surprise de ces négociations. Pour autant, un précédent existait lors de la création et des premiers pas d’EADS, où Français et Allemands avaient eu du mal à se comprendre. “Nous avions sous-estimé ce gap culturel entre Français et Allemands, souligne-t-on. Ce qui a généré des malentendus et des difficultés au début des négociations. On ne se comprenait pas. Ce gap culturel est disproportionné compte tenu de la proximité géographique entre les deux pays mais nous nous sommes rendu compte de la différence entre les cultures allemandes et françaises. Ce sont deux environnements qui se rencontrent”. Un obstacle qui a également été surmonté par les équipes de négociateurs “le temps de se comprendre”. Pour autant, les négociations sont restés “amicales mais toujours difficiles” en raison des enjeux. Aux deux PDG, Frank Haun et Philippe Burtin, de faire vivre l’accord de rapprochement entre les deux entreprises. “Il est crucial qu’ils créent dès la première année une identité sociale commune. Ils devront être vigilants sur ce point tout comme les actionnaires le seront”, prévient-on. Ils seront aidés par le conseil de surveillance composé de sept membres (deux membres nommés par les actionnaires allemands, deux Etats français et trois personnalités indépendantes), qui pourra apporter un peu de fluidité dans la gouvernance.
Pour les négociateurs, il n’y a pas photo. “Cette opération va générer une vraie création de valeurs”, assure-t-on. Ce qui passe forcément par des synergies structurelles, qui seront plus lentes, et des synergies commerciales beaucoup plus rapides. “Les synergies seront potentiellement importantes une fois les programmes actuels exécutés. A horizon de cinq ans, cette opération pourrait générer 50 millions d’euros par an de résultats opérationnels (EBIT) supplémentaires”. Réunis les deux groupes vont notamment avoir dans un premier temps un levier beaucoup plus fort pour l’achat de leurs matières premières. Ils vont aussi avoir des synergies commerciales importantes en réduisant notamment les frais de démonstration, qui peuvent s’élever entre 30 millions d’euros par an pour Nexter. “Le déplacement d’un produit pour des évaluations coûte très cher”, note-t-on. La nouvelle société va très vite encaisser ces gains notaient les commentateurs de l’époque et il est vrai que la guerre en Ukraine a été ce coup de pouce… .


Lors des évaluations des deux sociétés, les négociateurs se sont rendu compte de la différence de gestion des deux entreprises. Notamment KMW s’est révélé être une société très intégrée, capable de fabriquer par exemple des câbles, contrairement à Nexter, qui a beaucoup externalisé et donc a une meilleure gestion de son besoin en fonds de roulement (BFR). Du coup, KMW mobilise du cash pour ce type d’activité qui pourrait être sous-traité. Ce qui libérerait du cash pour des opérations cœur de métier. Enfin le rapprochement sera peut-être une opportunité pour l’activité munitionnaire de Nexter, qui pourrait à l’avenir équiper les véhicules de KMW dans ce domaine.

Alors vous voyez à quel point toute l’écume du profit qui remonte en cocaïne aux groins des médiacrates et autres idéologues sont simplement le signal de l’ébranlement en profondeur de toutes les institutions, représentations du capitalisme à son stade final, ce ne sont pas à ce titre des formes de décadence sans importance mais aussi des leurres qui occupent très fort tous ceux que l’on a privés d’un parti communiste… Un parti communiste qui apporte une perspective politique qui remet en cause le pouvoir des marchands d’armes, du capital: le socialisme au lieu de se contenter de montrer la distance entre la dignité de la revendication des travailleurs et “l’indignité de l’Assemblée Nationale”… cela pose la question du point d’appui essentiel pour cette perspective: des institutions en crise profonde ou le parti révolutionnaire qui annonce un nouveau pouvoir, une autre démocratie, une autre intervention populaire…

danielle Bleitrach

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1 Commentaire

  • Daniel Arias
    Daniel Arias

    Dans la vidéo un nouveau venu dans le Donbass il s’agit d’un BMP-1 modernisé auquel on a ajouté un module de combat téléguidé, le même qui équipe le BTR82A.

    Dans l’industrie militaire de l’OTAN la recherche du profit est première ce qui conduit au développement de produits nouveaux incompatibles avec les anciens.

    La Russie ne fait pas exception à ces évolution le chasseur SU57 est un monstre de nouvelle technologie avec un pilote assisté par l’IA de son ordinateur de bord capable de s’adapter à chaque pilote. La gamme Armata pour les blindés est aussi à la pointe de la technologie.

    Mais voilà ces bijoux technologiques coûtent un pognon de dingue.

    Les Russes ayant été pour certains élevés en URSS disposent de matériels militaire modulaire dont les pièces sont conçue dès l’origine pour être interchangeable.

    Ici ce bon vieux BMP-1 conçu en 1966 se trouve doté d’un canon redoutable, de communications radio modernes et de quelques autres modifications.

    Les stocks sont nombreux comme ceux des chars T72 disponibles en nombre robustes, ayant fait leur baptême du feu et modernisables.

    Les Russes préfèrent actuellement moderniser les avions SU35 que développer le SU57.

    Les nouveaux équipement cherchent également l’économie comme le Pansir système anti aérien dont, paraît-il, les missiles sont moins chers qu’un tir d’obus de son canon.

    Quand la situation est délicate les drones kamikaze lancet ne coûtent qu’une maigre fraction du prix de la cible détruite.

    Étant donné la durée de vie du matériel sur le terrain il faut penser l’équilibre entre sophistication et coût, fiabilité, robustesse et surtout efficacité.

    Le marché de l’armement est mondialisé et la concurrence est rude, comment vont réagir les acheteurs face aux résultats obtenus par les matériels Russes face à ceux de l’OTAN ?

    L’inde a déjà passé un accord de production et de transfert de technologie avec les Russes pour la production du T15 un blindé de transport de troupe.

    Nexter pourra t il encore produire longtemps alors qu’il est devenu l’otage des EUA et que le gaz bon marché n’existe plus, que les minéraux pour leur production proviennent en partie de Russie?

    https://youtu.be/N1lSzQ-TEnk

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