Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Dieu a-t-il réellement créé la guerre pour apprendre la géographie aux Étasuniens?

L’idée que Dieu avait créé la guerre pour apprendre la géographie aux étasuniens est celle de l’humoriste anti-impérialiste Mark Twain. N’est-ce pas une vision encore trop naïve des pseudos errances US? Ainsi hier, un article du Washington post a semé le doute, en gros il publiait les propos de responsables de l’administration Biden affirmant que les Etats-Unis n’étaient pas prêts à déverser milliards et matériels indéfiniment sur l’Ukraine et que celle-ci devrait faire la preuve de sa capacité à gagner quelques batailles et à mener une contre-offensive. Sous-entendu, notre terrain prioritaire c’est la Chine, vous les petits gars, ukrainiens et européens il faudra un peu vous débrouiller à gagner du terrain avant négociation… (1) Que faut-il en penser ? il y a tout à craindre que le système de propagande européen en déduise encore et toujours qu’il faut sacrifier encore et plus pour l’armement et déplore que “la paix” qui a régné jusqu’ici grâce aux Etats-Unis ait endormi notre vigilance. Quelle paix et pour qui? Et quel jeu joue la France en la matière ? Est-il encore possible de limiter les dégâts après une nouvelle catastrophe annoncée dont les seuls vainqueurs seraient les marchands d’armes? Peut-être faudrait-il repenser complétement l’analyse c’est ce que propose un petit livre passionnant de Giulio Palermo traduit de l’Italien Le conflit Russo-Ukrainien (2). Prenez donc trois heures de votre temps pour lire cette interprétation, exigez qu’il y ait débat… pour la paix…

Le consensus de notre système de propagande est que par pure malveillance et simplement pour prendre des terres, comme si la Russie en manquait, Poutine, le nouvel Hitler, a envahi l’Ukraine. Les Etats-Unis dans leur mission salvatrice ont fait face en unissant l’OTAN comme jamais. Les USA représentent la démocratie, les valeurs de la civilisations et leur armée comme celle de l’OTAN est invincible. Analysons les FAITS et en quoi ils contredisent ce consensus.

« Pour défendre la civilisation, il faut vaincre la Russie. » tel a été l’enjeu une fois de plus proclamé par les Etats-Unis et leurs alliés de l’OTAN à grand coup de leur trompette de la renommée, à savoir leur système de propagande médiatique et après avoir pour plus de sécurité interdit toute voix contestataire de se faire entendre. Alors se sont multipliées sous couvert d’information, toutes les version habituelles de la lutte victorieuse du bien contre le mal, outre le fait qu’on lui attribue toutes les maladies cancéreuses possibles et imaginables, Poutine, à partir du moment où les Etasuniens en avaient décidé ainsi, est devenu un nouvel Hitler et Zelensky un nouveau Churchill. Le caméléon Zelensky, qui n’en est plus à un rôle prêt, a ainsi joué devant le Congrès des Etats-Unis à fond l’analogie : ses propres troupes étaient devenus les G.I. qui ont combattu dans la bataille des Ardennes et en citant le président Franklin Roosevelt sur l’inévitabilité de la « victoire absolue »,.

Formidable : plus besoin de réfléchir à l’histoire, il suffit de rejouer sans cesse jusqu’à l’absurde un épisode tronqué de la IIe guerre mondiale et tout devient aussi simple, aussi évident que si on était sur un plateau de LCI. Non seulement la victoire de l’Ukraine nous protège tous, elle est inévitable, mais elle inaugurera une fois de plus une ère de délices pour l’ensemble de l’humanité : les épidémies, la faim dans le monde, les dérèglements climatiques tout sera résolu dans la pax americana. D’ailleurs dans la foulée pour la cohérence de l’affaire, tout devenait de la faute de l’invasion russe en Ukraine, tous les maux en particulier l’inflation, la destruction de nos services publics. Inutile de dire que la quasi totalité de l’humanité n’y croit pas et prend ses distances : “ne nous mêlez pas à ça !” protestent en cœur l’Amérique latine et l’Afrique, une bonne partie de l’Asie et même de l’Océanie. En laissant entendre, ce qui ne manque pas de pertinence, que pour “les sauveurs de la civilisation” des Etats-Unis et de l’Europe une vie blanche ukrainienne vaut dix de plus qu’une noire ou métissée. Et que la civilisation qui mérite d’être défendue exclut d’autres zones pourtant proches comme Haïti. Pire encore il suffit que l’un de ces pays fortement métissé comme Cuba fasse des efforts surhumains pour échapper à l’étranglement de son puissant voisin pour que celui-ci en rajoute. Pire encore, les peuples comme les Français refusaient qu’on leur fasse payer non seulement une guerre mais les superprofits que certains réalisaient: “débrouillez-vous on ne travaillera pas un jour de plus pour détruire in fine notre système de retraite“. Cette attitude est assez comparable à ce qui se passe aux USA. La drogue, les massacres de masse ravagent les Etats-Unis, sans que rien ne soit fait pour améliorer la situation, on continue à prétendre défendre l’Ukraine mais il vient alors un étrange soupçon : et si la mobilisation en faveur de l’Ukraine, outre qu’elle est raciste, de cet avant-poste de la civilisation de la suprématie blanche, évitait tout simplement de s’interroger sur ce qui ne va pas chez nous.

Autre détail qui n’en est pas un, jouer le nouveau Churchill soutenu par les Etats-Unis contre le pays qui a tout de même assuré la victoire sur l’Allemagne nazie relève un peu de la publicité mensongère quand on sait à quel point l’empire manque de victoires récentes. Cette mémoire sélective semble avoir totalement oublié les guerres en Irak et en Afghanistan. Un clou chasse l’autre et une débâcle en appelle une autre… Comme l’affaire des ballons laisse poindre la désignation d’un nouveau terrain de jeu où l’on ne craint pas d’envoyer des chasseurs contre un dirigeable ou des OVNIS supposés… “le sauveur suprême” de la “civilisation”, qui ne craint pas le ridicule de se plaindre d’être espionné alors qu’il est lui même passé maître dans l’art de mettre le monde entier sous écoute, ne cherchent-il pas un nouveau casus belli dans l’art d’attribuer aux autres ses propres turpitudes ? La vraie question est : est-ce qu’aujourd’hui l’exceptionnalisme étasunien à la moindre justification? non pas en morale, il y a longtemps que tout le monde s’en fout, la fiction ne tient que dans la puissance du gros bâton capable de s’abattre sur le récalcitrant et de moins en moins sur la protection réelle que la mission civilisatrice garantit à ses adeptes… Pas aux peuples, ceux-là de toute manière personne ne s’en occupe et vu qu’ils ne parlent pas anglais personne n’entend leurs protestations. Non à ceux qui sont les fidèles souteneurs de la grande prostituée, la finance et les superprofits qu’engendrent les guerres.

Parce que ne nous faisons pas d’illusion, endosser aux yeux des Etats-Unis et de leurs indéfectibles alliés le rôle de Churchill n’est en rien une garantie. lors d’une visite à Saïgon en mai 1961, le vice-président Lyndon Johnson avait lui aussi désigné le président sud-vietnamien Ngo Dinh Diem comme étant le « Churchill de l’Asie ». Ce qui n’a pas empêché Diem d’être renversé et assassiné lors d’un coup d’État facilité par la CIA un peu plus de deux ans plus tard. La complicité des États-Unis dans l’élimination de la doublure du Sud-Vietnam pour Churchill a marqué un tournant critique dans la guerre du Vietnam, ouvrant la voie à un débâcle totale qui s’est plusieurs fois reproduite en d’autres lieux et dernièrement face à une bande de sous-développés avec de vieilles pétoires, on a laissé l’allié de hier se débrouiller en Afghanistan. Partout le battement de tambour autour de l’art et la manière de mobiliser l’humanité contre un nouvel Hitler a été suivi d’une raclée maison et d’une destruction massive de pays entiers. Le véritable point de ressemblance réside dans le degré de corruption que les alliés des Etats-Unis dans la défense de la civilisation arrivent à atteindre. En ce qui concerne Zelensky comme les autres du Vietnam à l’Afghanistan en passant par l’Irak c’est un tonneau sans fin. Et le limogeage périodique de nouveaux ministres et conseillers dit tout de même à qui est versé argent et armement depuis environ une dizaine d’années et il n’y a aucune raison pour que ceux qui leur succèdent vaillent mieux que les précédents. Non c’est simplement un système comparable à celui des entreprises côtées en bourse qui a chaque licenciement massif reçoivent une plus-value de cotation.

Biden a dit que l’Amérique était de retour mais avec une stratégie qui pour le moment consiste à déverser du fric sans compter, ce qui produit de l’inflation et incite un nombre grandissant de pays à chercher à se décrocher du dollar. Là encore l’exemple de la Russie n’est pas nécessairement rébarbatif.

Le fric et le sang des Ukrainiens, visiblement Zelensky marche dans la combine. Quant aux armes, là encore les Etats-Unis et l’OTAN font une démonstration contraire à celle espérée. L’administration Biden promet à dose homéopathiques de fournir quelques chars M-1 Abrams les plus avancés de ce pays. Cette décision avait pour seule finalité d’inciter les Européens à affronter avec les leurs, puis avec leurs avions la Russie et pas seulement derrière l’Ukraine qui manque d’hommes et de munitions, et qui en use plus que l’on peut en produire. Jusqu’ici la réputation de la première armée du monde, son engagement suffisait pour entretenir massacre et ruines dans les zones bénéficiant de l’œuvre civilisatrice des Etats-Unis et des Européens dont la propre domination coloniale dépendait de fait de la force des USA tant sur le mode militaire que celui des sanctions à qui prétendait ne pas obéir au modèle civilisateur que pour son bien on lui imposait.

Il y a toutes chances pour que l’œuvre civilisatrice soit une escroquerie qui exige du sang pour le profit, non seulement de l’Ukraine mais une bonne partie du continent européen. Il faut être honnête cette mobilisation à défendre la civilisation au meilleur des cas ne défend ou ne prétend défendre que la puissance hégémonique des Etats-Unis et a eu tendance ces derniers temps à démontrer le contraire, à savoir que lesdits Etats-Unis ne sont pas fiables et cela se confirme. Apprendre hier par le Washington post que les Etats-Unis avaient expliqué à Zelensky qu’il fallait qu’il se bouge parce que les Etats-Unis ne continueraient pas à verser armes et fric vu que le rapport qualité-prix n’y était pas et que surtout les marchands d’armes locaux envisageaient un autre terrain de jeu contre la Chine, a singulièrement plombé l’ambiance de la réunion de l’OTAN qui en a accepté une vassalisation supplémentaire, si faire ce peut. Pour un certain temps du moins, les munitions pour les armements fournis à l’Ukraine sont devenues la priorité et le problème des alliés. « Il s’agit d’une guerre d’usure et d’une bataille logistique », a affirmé Jens Stoltenberg, le secrétaire général, en marge d’une réunion du « groupe de Ramstein ».Les États-Unis ont annoncé mardi en marge de la réunion avoir octroyé un contrat d’armement pour plus d’un demi-milliard de dollars afin de produire des obus de 155 mm destinés à être livrés à l’Ukraine.Les commandes, passées fin janvier par le Pentagone au profit de Northrop Grumman et Global military products, totalisent 552 millions de dollars. Les premières livraisons sont attendues dès mars.Toutes les décisions sur les envois d’armements à l’Ukraine sont prises dans cette instance constituée et présidée par les États-Unis. A cette réunion à participeront une cinquantaine de pays. La plupart de ses réunions se déroulent sur la base américaine de Ramstein en Allemagne. Donc la consigne est claire: il faut que ça saigne un maximum et les Etats-Unis seront directement à la manoeuvre jusqu’au printemps où l’affaire doit être bouclée.

La France est le cul entre deux chaises : Macron arrivera-t-il à placer les productions françaises, tout en attribuant à la Russie, voire à la Chine les raclées prises en Afrique, de l’autre. Avec une opinion publique qui refuse de s’en laisser compter. Et il n’est pas le seul, c’est l’ensemble des gouvernants des continents européens qui est pris dans la nasse… qu’est-ce qu’on risque en matière de rétorsions financières de la part de ces maîtres chanteurs… du capital financier? de la part de nos propres peuples ?

Que l’on se rassure, nos marchands d’armes, nos “avionneurs” en particulier qui sont aussi des patrons de presse ont déjà envisagé de prendre le relais à leur manière et en matière d’accélération dans laquelle plus rien ne sera refusé à l’Ukraine, ils y voient quelque intérêt à court terme certes mais le profit est toujours immédiat, c’est sa force et sa faiblesse. Le petit personnel politique a intérêt à suivre et rien n’illustre mieux la situation que l’attitude du président Macron.

Le président de la République française Macron s’est tout à coup à son tour réveillé en chef de guerre, le temps d’annoncer une masse de dépenses militaires sans commune mesure avec le coût des retraites et ce que réclament les Français et que l’on ne saurait leur donner parce que le pays ne saurait faire un tel effort, ça et les cantines à 1 euro pour les étudiants… Le coût est phénoménal, et si l’on prend la seule armée de l’air, il a annoncé le passage au tout Rafale dans le cadre de la loi de programmation militaire à venir, et donc forcément la mise au rebut ou sur le marché de seconde main de certains Mirage 2000 qui pourraient potentiellement correspondre aux besoins des Ukrainiens. Avouez que la mission civilisatrice relève réellement de la providence divine… Et là on retrouve la tendance générale de chaque pays porteur par délégation US de la mission civilisatrice, se débarrasser des invendus et dénoncer “la culture de paix” qui a été la nôtre alors que nos armées n’ont cessé avec le succès que l’on sait et qui n’a d’égal que celui des étasuniens pour gonfler les commandes après s’être débarrassé en Ukraine des rebuts. Mais comme l’Élysée joue le double jeu, il tente de livrer le matériel tout en feignant le dialogue de paix et de dissuasion, il tente d’accoutumer Moscou à cette livraison qui est aussi une escalade, en faisant tranches après tranches, de manière à créer une forme d’accoutumance de Moscou à ces livraisons de matériels et donc toujours une volonté de ne pas franchir un gap trop radical dans cet accroissement, si les Etats-Unis s’engagent on suit, telle est la logique, mais que penser de l’état d’esprit du civilisateur suprême, même si chacun est convaincu que l’on y est déjà, le fait est que les Ukrainiens sont une aubaine mais que le danger se rapproche si les Etats-Unis s’en vont porter l’essentiel de leur œuvre civilisatrice en Chine.

Comme le notait déjà Sherlock Holmes quand toutes les hypothèses concernant la “mission civilisatrice” et les triomphes continus des USA et l’OTAN s’avèrent totalement indéfendables, on doit se résigner à ce qui paraissait impossible, à savoir que les Etats-Unis n’ont ni alliés, ni mission civilisatrice et que pour se protéger eux-mêmes et leurs capitalistes, ils sont prêts à sacrifier leur piétaille ukrainienne et européenne, mieux ou pire qu’il est de fait nécessaire pour eux de s’attaquer à l’Europe alors que le salut européen passe par la paix et la coopération avec la Russie et la Chine. C’est ce que dit le livre de Giulio Palermo et cela mérite d’être discuté, prétendre refuser le débat sur cette analyse dit simplement que nous subissons une dictature contraire à nos intérêts et qu’il n’existe pas en Europe une seule force politique capable d’imposer une alternative, ce que l’on ne saurait croire.

Comme souvent quand on veut sortir d’une situation apparemment inextricable, il faut peut-être profiter de ce début de lâchage programmé des Etats-Unis non pour tentent de satisfaire nos propres marchands d’armes mais sortir du cadre tel qu’il nous a été imposé et qui permettrait peut-être encore d’arrêter cette boucherie et sa conclusion hélas prévisible.

Non le guerre en Ukraine n’a pas débuté le 24 février 2022 avec l’attaque non provoquée et imprévisible de la Russie contre l’Ukraine, immédiatement après la reconnaissance par Moscou des républiques du Donbass (Donetsk et Lougansk) qui ont déclaré leur indépendance vis-à vis de Kiev en 2014.

Selon des déclarations du président Poutine qui n’a pas été pris ce jour-là d’un accès d’hitlérisme lié à sa perverse nature, l’opération spéciale est une réaction à la non application par l’Ukraine des accords de Minsk de 2014 et 2015 et aux massacres perpétrés par les forces militaires et paramilitaires au service de Kiev contre la population du Donbass et d’autres régions d’Ukraine.

Ce dossier existe et il est vain de vouloir la paix si on prétend l’ignorer, si la paix n’a pas pu intervenir c’est que les Etats-Unis et l’OTAN ont tout fait pour empêcher que ces accords signés par les représentants de l’Ukraine de la Russie, de la République populaire de Donetsk et de la République populaire de Lougansk, sous les auspices de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) visaient à résoudre la crise qui s’était développée en Ukraine à la suite du coup d’Etat fomenté par les USA appuyés par les gouvernements allemands, Français et Polonais en 2014. Depuis la chute du mur de Berlin, en 1989, légitimement, la Russie qui était alors l’Union soviétique – s’inquiète également de l’expansion de l’OTAN et il n’y a rien d’étonnant à ce que les tensions se soient accrues lorsque ce processus s’est déplacé aux portes de Moscou. Avec l’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie en 1999, même les Russes les plus occidentalisés (et le président Poutine en faisait partie) ont commencé à voir différemment ce qui se cachait derrière le discours civilisateur et porteur de démocratie de l’occident, car ce sont les frères Serbes qui ont fini sous les bombes et l’ambassade de Chine qui a été bombardée.

lorsqu’on cherche les causes d’une guerre et la manière de l’arrêter, il faut toujours chercher deux explications à l’explosion, et non une seule: d’abord, il faut identifier les tendances à long terme, ces forces qui poussent progressivement vers la crise, ensuite, il faut expliquer les facteurs contingents qui conduisent à l’éclatement de la crise. C’est ce que propose ce petit livre de 170 âges qui se lit en quelques heures et qui part du processus de dissolution de l’URSS, un processus de thésaurisation du butin de guerre que représentait l’URSS vaincue et qui n’a pas cessé de se poursuivre y compris contre la Russie, forçant celle-ci in fine à répondre militairement. Il s’agit d’un démantèlement d’abord économique, l’Ukraine n’est que l’instrument pour provoquer l’intervention russe et étendre la pénétration du capital américain dans l’Union européenne. A ce titre, du point de vue des Etats-Unis , en outre la stratégie d’expansion en Europe n’est qu’une des pièces des stratégies globales régissant les relations avec la Chine qui se sont enflammées ces dernières années.

La suite se lit en 3 heures montre en main et ça en vaut la peine croyez-moi.

Danielle Bleitrach

(1) https://www.washingtonpost.com/politics/2023/02/13/us-ukraine-war-critical-moment/

(2) Giulio Palermo Le conflit russo-ukrainien l’impérialisme US à la conquête de l’Europe. Delga 2023. Il se lit en quelques heures et il permet ce qui s’avère impossible aujourd’hui dans la propagande guerrière que nous subissons et qui nous mène tous à la boucherie de comprendre la nature du dialogue pour la paix indispensable.

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