Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

De la Résolution 39 vers le 39e Congrès du PCF ?

Edmond, un des directeurs des éditions Delga, nous a envoyé ce compte-rendu du débat qui a eu lieu dans sa section parisienne du PCF. Il a apporté une version papier du texte de la résolution 39, votée à l’unanimité par l’Assemblée Nationale Française et le vote des députés communistes. L’ensemble a provoqué la stupéfaction de tous les militants présents. Il y a eu une demande d’éclaircissement dans le cadre du 39e congrès sur cette affaire comme sur l’ensemble de la politique internationale du PCF, sur la démocratie à l’intérieur du PCF. Le texte d’Edmond propose d’ailleurs une interprétation de la situation qui est intéressante: en Ukraine ce n’est pas seulement l’OTAN contre la Russie, c’est aussi l’OTAN isolé par rapport au reste du monde (il suffit de mesurer ce qui se passe en Afrique, dans le monde arabe, sans parler de l’Amérique latine), un point de vue qui mérite débat et pas la censure habituelle. Des échos semblables nous parviennent de différentes sections de France, s’il n’y a pas unanimité sur l’analyse concernant les responsabilités en Ukraine, l’idée que l’on puisse à la fois dans tous les textes de Congrès voter la sortie de l’OTAN et signer à l’unanimité des députés communistes une résolution de ce type est un véritable choc. Faire semblant qu’il ne s’est rien passé et ne pas dire au parti les raisons d’une telle attitude après la censure sur la signature à la Havane n’est pas une bonne méthode pour préparer le 39e Congrès, alors qu’il y a beaucoup de calme et de recul dans l’attitude des militants qui se félicitent dans leur immense majorité de la campagne vers les couches populaires et le monde du travail mené par Fabien Roussel. Inutile de créer un conflit là où il y a une demande légitime de débat et pas la moindre volonté de division puisque la plupart de ceux qui réclament des éclaircissements sont d’accord pour travailler tous ensemble sur la base commune. (note de Danielle Bleitrach pour Histoireetsociete)

Je voudrais faire état ci-dessous en substance de mon intervention (quelque peu augmentée et retravaillée depuis) à l’A.G. de ma section (PCF Paris 13e) ce mercredi 7 décembre 2022 [il y a eu à cette A.G. des interventions très riches des autres camarades, notamment sur la Résolution 39, sur la centralité du travail en général et sur la centralité du travail en particulier dans le discours de Roussel] :

Le grand mérite de Roussel a été en effet de remettre le travail au centre du discours, au cours de sa campagne électorale mais aussi un an auparavant dans son Tour de France des entreprises pendant toute une année. Loin donc des marottes sociétales et des mots-coquilles (1) vides (le peuple, la révolution citoyenne, etc.) d’un Mélenchon.

Dans la première partie de la campagne de Roussel, ce recentrage autour du travail, a donné lieu, très logiquement, à une dynamique ascendante dans les sondages, auprès des abstentionnistes endémiques dépités et aussi des non abstentionnistes, qui l’a porté en gros de 2% fin 2021 jusqu’à 6% début 2022. Cette dynamique a été fauchée et s’est inversée dès lors que, sans doute mal entouré et mal conseillé, il a juxtaposé ensuite à ce discours un prêche de croisade pro-ukrainien en dissonance avec celui-ci (2).

En effet, ce qui se passe en Ukraine n’est pas tant dans son essence un affrontement entre l’Ukraine et la Russie, ni même un affrontement entre la Russie et l’OTAN, mais un affrontement entre l’OTAN et le reste du monde. (3) Cela crève les yeux par exemple dans le refus à l’ONU des pays (hors OTAN/Japon/Australie) de voter des sanctions contre la Russie ou bien dans les nouvelles demandes de pays (Argentine, Iran, Algérie, et même l’Arabie Saoudite…) pour rejoindre les BRICS « réfractaires ». Il s’agit en fait de l’affrontement entre un prédateur et spoliateur hégémonique mais sur le déclin, et l’atelier du monde, qui entend profiter lui de cette crise, et ceci tout à fait légitimement, pour s’émanciper de cette tutelle exterminatrice qui le broie depuis tant d’années voire de siècles. C’est-à-dire : il s’agit d’un affrontement entre le monde du travail et le parasitisme social voire le parasitisme social séculaire, ni plus ni moins. Mais la contradiction principale capital/travail est savamment suturée par l’idéologie bourgeoise du fait justement du déploiement de multiples contradictions secondaires instrumentalisées comme la crise ukrainienne, pour lui faire écran.

La boucle est donc bouclée, et on peut revenir à Roussel et à son projet tout à fait salutaire d’aller arracher, à l’abstention, les abstentionnistes endémiques dégoûtés parmi les couches laborieuses subalternes, en martelant un discours centré sur le travail. Pour les raisons développées ci-dessus, c’était donc leur donner un bien mauvais signal que d’appeler dans la seconde partie de la campagne à une « Union sacrée » avec l’OTAN, car ce signal est rentré intimement en collision, en dissonance cognitive, chez chacun d’eux, avec le discours initial sur la centralité du travail, puisqu’étant perçu comme son exact contraire (l’ « Union sacrée » avec le prédateur spoliateur) : injonction paradoxale, double bind, les deux discours ainsi juxtaposés se sont annihilés mutuellement et les abstentionnistes endémiques écœurés peu enclins au schizophrénisme ont donc lâché l’affaire, jeté les gants et Roussel, mal conseillé, a dû se contenter d’un 2%. CQFD.

Aussi, c’est extrêmement choqué que j’ai appris dernièrement, par les réseaux sociaux et par le blog « Histoire et société », le vote à l’Assemblée nationale de la Résolution 39 par les députés communistes (Jumel et d’autres, ce n’est pas étonnant vu leur tropisme antiparti, mais aussi… Chassaigne et Roussel ! Eux, pourquoi ? Qui leur a tordu le bras dans le dos pour qu’ils votent ça ? Le secteur international du PCF et ses mécènes ?, qui est en fait un vote des crédits de guerre à l’OTAN (notamment les points 12 et 19) (3)(4) et de proclamation de l’Union sacrée avec l’OTAN (notamment le point 35) (5). Je n’ai pas pu m’empêcher de faire le rapprochement avec le Congrès de Tours de 1920, dont on vient de fêter le centenaire, et qui a vu la naissance du PCF sur les décombres de la SFIO, notamment, comme le montre bien l’historien communiste Jean Fréville dans « La Nuit finit à Tours » (7) que les Éditions Delga viennent de republier, du fait du rejet à ce congrès de la trahison des socialistes qui avaient voté les crédits de guerre en 14-18 et déclaré l’ « Union sacrée » avec le bellicisme capitaliste impérialiste.

Il ne faut donc pas que cette Résolution 39 vienne encore plus engloutir les avancées patiemment engrangées par Roussel avant la seconde partie de sa campagne, mais au contraire qu’elle concoure en tant que repoussoir à fédérer les orientations correctes (mettant en leur centre effectivement le travail et la lutte des classes) à prendre au 39e Congrès du PCF.

Je suggère donc qu’il soit demandé dans les AG de section au secrétaire de section, après un vote, d’écrire un courrier au Secteur international du PCF, pour qu’il sollicite des éclaircissements sur les raisons de ce vote de la Résolution 39 qui est en complète contradiction avec toute l’histoire du PCF, notre parti.

(1)          Les « signifiants vides » théorisés par Chantal Mouffe et Ernesto Laclau, dont se revendique ouvertement Mélenchon, cet hologramme vitupérant des « signifiants vides ». On remarquera à ce propos qu’avec l’hologramme, Mélenchon atteint son concept même : on peut le traverser sans rencontrer aucune matière…

(2)          Que certains non abstentionnistes soutenant Roussel dans un premier temps aient pu finalement se soumettre au « vote-utile », cela s’est sans doute passé, mais en aucune façon cela n’a pu être le cas pour les abstentionnistes endémiques que Roussel projetait initialement de drainer : ils se sont, eux, finalement… abstenus.

(3)          Bien que bien sûr de pauvres bougres Ukrainiens, russophones pour la plupart comme je l’ai appris récemment, en fassent effectivement les frais et doivent sans compter aller passer au hachoir en première ligne sur le front, sous la menace armée de cadres militaires ukrainophones nazis, cornaqués par les USA et leur caniche européen ainsi que subsidiairement par des oligarques ukrainiens réfugiés dans leurs yachts à Monaco depuis le 14 février 2022. Symétriquement de l’autre côté, évidemment de pauvres bougres Russes eux aussi doivent risquer leur peau, mais semble-t-il avec un encadrement qui se soucie beaucoup plus d’économiser les vies des soldats.

(4)          Point 12 : « L’Assemblée nationale invite l’Union européenne à continuer d’assurer l’Ukraine de son soutien humanitaire, financier et militaire aussi longtemps que durera le conflit ; »

(5)          Point 19 : « L’Assemblée nationale salue la mise en place d’un fonds de 100 millions d’euros par la France pour faciliter l’achat de matériel militaire par l’Ukraine et demande au Gouvernement de le renforcer si les circonstances l’exigent ; »

(6)          Point 35 : « L’Assemblée nationale souligne le rôle important que joue l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord dans la protection du continent européen et salue les adhésions de la Suède et de la Finlande à cette organisation ; »

(7)          Jean Fréville dans « La Nuit finit à Tours » : https://editionsdelga.fr/produit/la-nuit-finit-a-tours/

PS. Je me permets d’ajouter à ce dossier “militant” cet interview de Jacques Sapir. Il ne s’agit pas d’un communiste, sa position n’est pas celle du KPRF et elle en craint même l’évolution, le basculement en particulier vers la Chine. Mais outre les informations apportées tant sur l’économie, la réalité de la guerre et celle de l’opinion publique russe, cette position aurait pu être celle d’un PCF qui reste durablement marqué par les dérives de l’eurocommunisme et une stratégie purement électoraliste. Parce que je ne me suis jamais fait d’illusion sur l’état actuel du PCF, tel qu’il semblait se dégager du 38e Congrès mais qui vu la situation française représentait une avancée à laquelle nous nous sommes associés par réalisme et par conviction de la nécessité d’un parti communiste.

Le choc que peut représenter le vote de cette résolution est explicable non seulement parce que son contenu viole tous les fondamentaux du parti communiste. Mais cela va plus loin, et c’est éclairé par Jacques Sapir quand il explique que quelques voix timides tentent d’arrêter cette folie mais qu’ils se heurtent aux délires médiatiques qui suivent aveuglement le discours ukrainien et celui des va-t-en guerre. Le PCF ne se contente pas d’être timoré, social-démocratisé, il va beaucoup plus loin: il contribue à empêcher la prise de conscience de la nécessité de la paix. Cette résolution votée à l’unanimité dit la manière dont les forces politiques sont désormais les otages d’une propagande coupée de toutes les réalités y compris de celles que perçoivent pourtant des gens qui ne sont certainement pas communistes. Que le parti communiste à la veille de son prochain congrès, en viol de toutes les décisions des communistes ait agi ainsi va donc plus loin qu’une simple question de tendance à l’intérieur d’un parti. (note de Danielle Bleitrach dans histoire et société)

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9 Commentaires

  • Daniel Arias
    Daniel Arias

    Il me semble que certains camarades aient peur de faire le ménage.

    Je ne sais pas s’il faut le faire mais des questions doivent être posées et non seulement sur la résolution honteuse numéro 390.

    Le vote communiste peut avoir subit des pressions, de la part de qui ? Et pourquoi avoir cédé ?

    Mais des questions bien plus profondes doivent être posées.

    Les députés qui représentent notre parti sont ils réellement communistes ? C’est à dire œuvrent ils pour le socialisme réel ? Si oui comment ? Et quels sont les résultats et bilan de leur longue carrière politique ?

    Nos députés sont ils compétents en formés aux outils permettant de faire avancer le socialisme ?

    Nos députés sont ils en mesure d’offrir une résistance consistente au système capitaliste dont nous souhaitons la fin ?

    S’ils se laissent manipuler ou refusent la résistance ou s’ils sont anti communistes ils ne méritent pas de nous représenter.

    Dans ce cas avons nous de vrais camarades communistes au sein du Parti compétents et capable de remplacer cette équipe qui accumule les échecs depuis longtemps.

    La purge qui a eut lieu dans les rangs militants du PCF ces dernières années n’a visiblement pas empêché de dormir ni les dirigeants ni la majorité des militants, pourquoi alors faire l’économie de la purge de ceux qui travaillent contre le communisme ou font preuve d’irresponsabilité tout en étant aux commandes du Parti.

    Un jour il faudra bien trancher on ne peut avancer avec une jambe qui tire à gauche et une à droite.

    Qu’il y ait discussion sur des points de détail est une chose, mais les prises de positions répétées sur le plan international ne sont pas des détails, l’agissement anti démocratique dans les fédérations n’est pas un détail, les arrangements entre Partis réformistes et nos élus ne sont pas un détail.

    Nous ne ferons pas des réformistes des révolutionnaire ni même des communistes.

    Sans trancher tout comme les abstentionnistes dont parle Edmond, ce sont des militants qui vont jeter l’éponge ou sombrer dans les intrigues électorales, éloignant le socialisme encore plus. Jusqu’où va-t-on dégoûter ceux qui veulent le changement ?

    Il faut définir et réclamer fort comme principe le socialisme en France en coordination avec nos voisins. De ce premier travail devrait découler l’organisation nécessaire et la formation des cadres pour l’objectif fixé.

    Si nous voulons être responsables devant le peuple il nous faut avant tout une direction communiste responsable devant ses militants faute de quoi nous seront un énième parti de gauche avec les mêmes pratiques.

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    • Rouge Trégor
      Rouge Trégor

      Les statuts du PCF précisent le rôle des élus qui ne doivent finalement rendre des compte qu’à leurs électeurs et pas au parti. Avec leur parti ils coopèrent et échangent.

      Article 20. Les élu-e-s

      Proposé-e-s par leur Parti, les élu-e-s communistes détiennent leur mandat du suffrage universel.
      Devenu-e-s élu-e-s de tou-te-s, elles et ils développent leur activité en favorisant l’intervention et la participation active des citoyen-ne-s à l’élaboration et à la mise en oeuvre de leurs choix.
      Dans chacune des assemblées, les élu-e-s communistes décident, seul-e-s ou avec des partenaires, de constituer un groupe qui élit son ou sa responsable de groupe ou son collectif d’animation.
      A chaque niveau électif, elles et ils veillent à mener un travail collectif et impulsent la démocratie
      participative avec la population.
      Les élu-e-s communistes se regroupent, avec d’autres élu-e-s qui le souhaitent, dans l’Association nationale des élu-e-s communistes et républicains (ANECR). Association autonome, elle permet l’accueil des élu-e-s dans leur diversité d’opinions, dans le cadre de leur travail spécifique au service de la population, à qui ils et elles rendent compte de leur mandat. Lieu de recherche et d’échange d’expériences, tout autant que moyen d’action et de rassemblement, elle favorise les coopérations avec d’autres associations, et institutions.
      La coopération et l’échange régulier entre les élu-e-s communistes et les différentes instances du Parti à tous les niveaux – dans le respect du rôle de chacun-e – contribuent à enrichir la réflexion, les propositions et l’efficacité des uns et des autres.

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      • Gérard Barembaum
        Gérard Barembaum

        Merci pour cette précision sur les statuts du P”C”F. Un des principes constitutifs de l’identité d’un parti communiste est la subordination des élus au parti, ce qui n’est absolument pas contradictoire, bien au contraire, avec la nécessité d’un lien étroit avec les électeurs. Certains élus, notamment certains députés, préfèrent visiblement entretenir leurs “liens” avec la bourgeoisie..😠. Un nouveau congrès de Tours, vite!!!
        Fraternellement.

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    • Broussaudier
      Broussaudier

      A l’époque où Robert Hue était président de la fondation Gabriel Péri, la fondation avait signé une convention de partenariat avec l’institut Aspen France. Le préambule de la convention commençait ainsi :
      “L’institut Aspen France lance dans le cadre de ses activités un séminaire consacré aux jeunes leaders politiques émergents.
      L’institut Aspen France et la Fondation Gabriel Péri ont convenu de s’associer pour être partenaires dans le cadre de ce programme.
      Le présent accord a pour objet de formaliser les termes de ce partenariat.”

      Puis à l’article 3 “objet du partenariat
      Dans le cadre de ce partenariat, la fondation Gabriel Péri contribue à l’ élaboration du contenu des modules.
      Des candidats au programme pourront en outre être identifiés et proposés par la Fondation Gabriel Péri à l’institut Aspen France. (…)
      Ce partenariat a pour objet une contribution financière de la Fondation Gabriel Péri. La contribution 2007 est d’ un montant de 8000 euros”.

      Institut Aspen : son comité inclut, à l ‘epoque, Madeleine Albright, la reine Noor de Jordanie, Condoleezza Rice etc. Il a été créé en 1950 avec pour but d”‘ encourager l’ouverture sur le monde, la prise d’initiative et l’ exercice des responsabilités au service du bien commun”
      Aspen France a été créé en 1983 sous l’ égide de Raymond Barre.

      Pour rappel, en 2007, Hue était encore au conseil national du PCF. Tout un tas d’ initiatives tous azimuts avaient été prises, pendant les années Hue en direction des ennemis de classe. Cela ne s’ est jamais interrompu. Ce qui a sauvé le PCF de la déchéance complète, à ce jour, ce sont les militants. Il y a là dedans de la traîtrise, au sens d’ Alexandre Zinoviev, et aussi une idiotie crasse don’t il est difficile de sortir.

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      • Michel BEYER
        Michel BEYER

        Il me semble aussi que Robert HUE tortorait la tête de veau avec CHIRAC. Enfin…Parait-il aussi que celui-ci avait vendu l’HD dans sa jeunesse à la porte du métro. Vive la Révolution…..

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  • LEMOINE Michel

    Le problème des élus communistes c’est qu’ils ne peuvent espérer bénéficier d’un quelconque pantouflage. Beaucoup d’ailleurs n’ont pas de métier.
    Cela n’avait pas de conséquence quand le parti était fort et progressait. Cela jouait même dans le sens de leur soumission. On l’a vu avec Garaudy. Personne le l’a suivi alors qu’à mon avis ce qu’il disait méritait d’être débattu. Hors du parti il a vaguement tenté une carrière d’essayiste dans le domaine de l’art et de la culture mais il a rapidement été réduit à ce vendre à qui voulait bien l’acheter (on m’a dit qu’au moment de son exclusion il avait une fille encore au lycée- il fallait bien qu’il assure son avenir)
    Maintenant c’est le parti tout entier qui est tenu par UE et vraisemblablement d’autres organismes.

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  • jean-luc
    jean-luc

    La résolution 390 votée à l’unanimité? Par tous? Non! Il y en a encore un, venu d’Armorique, qui résiste à la pression insupportable : Jerome Legavre, député NUPES et par ailleurs membre du POI. Je salue ici son courage.

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  • Rouge Trégor
    Rouge Trégor

    Après la rencontre de la Havane et ce vote scélérat des députés PCF dont peu de membres ont eu connaissance, encore un événement passé sous silence comme l’écrit le camarade Nicolas Maury.
    .
    https://www.editoweb.eu/nicolas_maury/Que-retenir-du-7eme-congres-du-Parti-de-la-gauche-europeenne_a16177.html

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  • Gérard Barembaum
    Gérard Barembaum

    Si des camarades marseillais participent au rassemblement anti guerre de ce soir au Vieux Port, pourrions nous avoir un petit compte rendu?
    Fraternellement.

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