La Havane a vécu une grande fête pour la Révolution

Ce week end de veille nous l’avons passé katia et moi à emballer des médicaments, les classer pour l’envoi que nous préparons pour la fin du mois. Nous avons décidé d’aller à Genève où nos camarades italiens centralisent un nouvel envoi pour l’île de la liberté et de la dignité. Si CUBA pouvait créer unvaccin contre la lâcheté, l’imbécilité, la haine et la superficialité et nous donner un peu de l’imunité de ses enfants contre ce que l’on fait de nous, de nos dirigeants (le traitre et le néant) et la manière dont ça nous tétanise, nous serions preneurs.Enattendant je pense à ce merveilleux Cuba à son ciel noctune d’incendie dans lequel semble flotter un mouchoir rouge… QUAND CUBA L’EMPORTE CE N’EST PAS UN CAMP CONTRE UN AUTRE C’EST L’HUMANITE DANS CE QU’ELLE A DE MEILLEUR QUI L’EMPORTE SUR LE MAL ET LA PETITESSE… (noteettraduction de danielle Bleitrach)

PAR:ACN14 NOVEMBRE 20210

Le ciel dégagé et la pluie à intervalles réguliers n’ont pas empêché l’atmosphère festive qui était respirée aujourd’hui dans la capitale cubaine.

Avec l’enthousiasme de l’âge, les jeunes se sont rassemblés dans les couloirs du Gran Teatro Alicia Alonso, devant l’emblématique Central Park, dans une activité appelée les sièges des mouchoirs rouges, un fait qui a servi à réaffirmer la confiance des nouvelles générations dans le projet social

Là, où une présentation de l’auteur-compositeur-interprète Tony Ávila a eu lieu, Miguel

Díaz-Canel Bermúdez, premier secrétaire du Comité central du Parti et président de la République, est arrivé, qui a déclaré que l’île « va vivre en paix, et vivre en paix, nous allons nous perfectionner ».

Le parc Don Quichotte, à l’intersection centrale de 23 et J, vibrait

d’une conga d’étudiants qui accompagnaient leur danse avec des drapeaux cubains et des slogans de ¡Viva Cuba!, ¡Viva la Revolución!, ¡Pa’ lo que se Díaz-Canel, pa’ lo que sea! et ¡Fidel

De là, Aylín Álvarez García, premier secrétaire du Comité national de l’Union des jeunes communistes (UJC), a déclaré sur Twitter que même la pluie n’empêchait pas l’enthousiasme et la jubilation des participants.

Dans le parc G del Vedado de La Havane, des activités récréatives ont eu lieu pour le 502e anniversaire de la Villa de La Habana, qui précède la réouverture du tourisme international dans le pays et la reprise totale de l’année scolaire, ce 15 novembre.

Le jeune député Raúl Palmero a déclaré sur le réseau social Twitter que dans la municipalité de Cotorro, des étudiants en médecine, de l’Université technologique de La Havane « José Antonio Echeverría » (CUJAE) et de jeunes Antillais ont envahi les parcs pour célébrer la victoire contre la pandémie.

Les nouvelles générations étaient également présentes à Regla, infectant les gens avec la saveur cubaine.

Des étudiants et des professeurs de l’Université de La Havane étaient dans le parc Guaicanamar, dans cette municipalité, partageant leurs expériences et montrant les projets de l’Alma Mater.

Dans plusieurs quartiers de La Havane, des actes de réaffirmation révolutionnaire ont été perpétrés, un exemple de cela a été celui qui s’est produit dans la communauté de San Agustín, La Lisa, où les voisins face aux tentatives de déstabilisation ont exprimé leur soutien au processus socialiste cubain.

Messagerie électroniqueCopier le lien

Par Laura V. Mor et Yaimi Ravelo / Photos: Yaimi Ravelo/

Vidéo: Syara Salado Massip et Victor Villalba Gutiérrez/ Resumen Latinoamericano Corresponsalía Cuba.

La Havane, le 14 novembre 2021. – Ce dimanche, le dernier avant la reprise de l’école des plus petits, la jeunesse cubaine a été le protagoniste d’un après-midi de La Havane à plein régime. Les « Foulards rouges »ont accueilli le président cubain Miguel Díaz-Canel un autre jour pour la « Sentada ».

Le projet des Mouchoirs Rouges s’est développé au fil des heures depuis que ces jeunes et leurs slogans ont été présents vendredi dans le Central Park au rythme de la Negra Sosa et d’un émouvant « Changez tout change ». Cette action anti-impérialiste qui cherchait à démontrer le désaccord de la jeunesse cubaine avec la guerre non conventionnelle menée contre leur pays, le désaccord avec la permanence du blocus imposé par les États-Unis il y a six décennies et qui est restée intacte malgré les promesses électorales de Biden, s’est progressivement ajoutée à celles de différents secteurs de la société. C’est sur ces bases qu’ ils ont accueilli le président cubain Miguel Díaz-Canel.

La pluie qui est apparue à La Havane dès les premières heures a conduit au concert du troubadour Tony Ávila se déplacer vers le portail du Gran Teatro Alicia Alonso dans la capitale de Cuba. Là, Díaz-Canel a été adopté non seulement par les jeunes de ce projet, mais aussi par les familles et les adolescents qui se sont joints à la journée, par des amis solidaires de Cuba, des artistes et des personnalités éminentes.

« Je vous remercie beaucoup d’avoir pu passer ce dimanche avec vous », a dit humblement Díaz-Canel à tous ceux qui l’entouraient, profitant de chaque instant comme un instant de plus ; mais sans oublier ce qui a motivé tant de jeunes : une rencontre où ils « cherchaient l’amélioration de notre société, défendaient l’émancipation, défendaient le socialisme, et condamnaient les campagnes de subversion de l’ordre intérieur, les campagnes médiatiques contre Cuba, contre la paix et contre le blocus ».

Dans un autre quartier, comme San Agustín dans la municipalité de La Lisa, les habitants de l’un des principaux organisateurs de la« Marche civique » ont exprimé leur soutien inconditionnel au processus socialiste cubain face aux tentatives de déstabilisation, signalant leurs fenêtres avec l’étoile solitaire.

La musique, les foires artisanales, la vente de livres et de congas et surtout, beaucoup de joie populaire ont habillé les parcs et les places de La Havane, qui ont été décorés comme une fête dans les différentes activités pour le 502e anniversaire de la fondation de la ville.

Le célèbre parc « Don Quichotte », à l’intersectionde 23 et J, s’est également déguisé en fête et a vibré avec une conga, qui n’hésitait pas à être rejointe par des jeunes et des adultes, qui accompagnaient leur danse avec des drapeaux cubains et un « VivaCuba! », ¡Viva la Revolución!, ¡Pa’ lo que sea Canel, pa’ lo que sea! »,qui résonnait au rythme entraînant des tambours.

Dommage que Yunior García Aguilera n’ait pas été présent dans le parc Quichotte de Vedado habanero comme il l’avait annoncé. Il a raté la fête d’un village… en rouge.