Nous vous présentons par ailleurs l’initiative à Marseille, mais le principal mouvement liait la Havane aux États-Unis pour constituer “un pont d’amitié”. Nous dans le reste du monde nous appuyons de toutes nos forces cette initiative qui témoigne de la confiance qu’onT les Cubains dans le mouvement qui se développe aux États-Unis (note et traduction de Danielle Bleitrach).
30/03/2021
Des actions similaires ont eu lieu dans plus de 54 villes à travers le monde à ce jour.
28 mars 2021
Photo: Prensa Latina
Dimanche, à La Havane, des centaines de jeunes ont exigé la fin du blocus américain contre Cuba en participant à une caravane le long du Malecon de la ville et en passant devant l’ambassade des États-Unis à Cuba.
La caravane fait partie de l’initiative Bridges of Love, en vertu de laquelle plus de 54 actions ont eu lieu dans le monde entier, la plupart dans des villes américaines.
Des Cubains et des amis de Cuba en Russie, Italie, France, Allemagne, Namibie, Gambie, Angola, Mexique, Argentine, Colombie, entre des dizaines d’autres pays, ont mené des mobilisations, des déclarations, des publications web et des actions pour exiger la fin de cette politique inhumaine.
Outre la caravane de La Havane, aujourd’hui, les villes de Tampa, Hartford, Holyoke, Albany, Detroit, Chicago et Minneapolis aux États-Unis se joignent au projet pour la première fois.
Le ministre cubain des Affaires étrangères Bruno Rodriguez a participé à la caravane et a dialogué avec les personnes présentes, notamment avec les jeunes qui ont animé la journée.
« Le blocus a été nuisible, illégal, immoral, criminel. Le renforcement opportuniste de cette politique par l’administration Trump (2017-2021) au milieu de la pandémie COVID-19 la rend encore plus génocidaire, encore plus criminelle. C’est ce qui nous rassemble ici », a déclaré Parrilla dans une vidéo postée sur son compte Twitter.
Le président cubain Miguel Diaz-Canel a également soutenu la caravane sur son compte Twitter et remercié tous ceux qui se sont levés en solidarité avec son pays pour exiger la fin d’une politique qui dure depuis près de 60 ans.
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