Que ceux qui acceptent de cautionner un tel niveau de propagande, qu’ils soient juifs, bouddhistes, musulmans (oui il y en a semble-t-il), chrétiens évangélistes ou comme Kamenka de simples renégats du communisme, les véritables complices sont ceux qui les suivent… y compris en nous faisant croire qu’Obama lui méritait le Nobel… Faut-il en rire ou en pleurer quand il y a des gens qui ne voient pas que l’antisémitisme le plus achevé c’est de défendre si peu que ce soit ces gens-là sous le prétexte qu’ils s’accordent le monopole du judaïsme… Bonnes vacances, je reviendrais quand j’éprouverai le minimum d’estime et de confiance qui me donnera envie de mener un combat politique en France sans me retrouver prise entre les diverses formes d’antisémitisme dont celle-ci est sans doute la pire ce qui ne rend pas plus supportable celle des pseudos anti-impérialistes, ni celle des Le Pen aimant les juifs par haine des arabes ou le Crif excommuniant celui qui proteste… pas un pour sauver l’autre, là encore ce sont les PCF ‘normaux’ les moins pires mais ils sont rares… (note de Danielle Bleitrach)
Ce n’est pas le premier cas à remettre en question le prestige du prix : en 2009, par exemple, l’ancien président Barack Obama l’a reçu, malgré le fait que pendant son mandat, les États-Unis aient été impliqués dans des conflits armés en Afghanistan, en Irak, en Libye, en Syrie, au Pakistan, au Yémen et en Somalie.
Certains internautes les ont qualifiés de « criminels de guerre » et ont exigé qu’ils soient jugés par des tribunaux internationaux. Photo : Extraite de X
Les criminels se congratulent : Netanyahu suggère à Trump de recevoir le prix Nobel de la paix
8 juillet 2025 Heure : 08:59
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, à la tête d’un régime responsable du massacre de dizaines de milliers de Palestiniens dans la bande de Gaza, a annoncé mardi son intention de nommer le président américain Donald Trump pour le prix Nobel de la paix, malgré la complicité de Washington dans la campagne d’extermination contre le peuple palestinien.
Lors d’une réunion avec Trump à la Maison Blanche, Netanyahu a montré la lettre envoyée au comité norvégien qui décerne le prix, soulignant que, selon lui, le président républicain « mérite » une telle reconnaissance.
La proposition a immédiatement généré une vague de moqueries et d’indignation sur les réseaux sociaux, de nombreux utilisateurs rappelant les atrocités commises par le régime israélien à Gaza et le soutien militaire et politique des États-Unis.
« Un meurtrier génocidaire qui a tué plus de 17 000 enfants nomme Trump pour le prix Nobel de la paix », a écrit un internaute. Un autre a plaisanté : « Il n’est pas surprenant que les criminels de guerre s’alignent les uns sur les autres. »
Pour de nombreux internautes, il est ironique que Netanyahu – accusé de crimes de guerre et ciblé pour le massacre de plus de 13 000 femmes palestiniennes – s’arroge l’autorité de recommander Trump, un autre dirigeant critiqué pour son bilan de bombardements et d’opérations militaires dans plusieurs pays, comme un supposé « artisan de paix ».
Certains les ont qualifiés de « criminels de guerre » et ont exigé qu’ils soient jugés par des tribunaux internationaux. « Il n’est pas en mesure de nommer qui que ce soit, et encore moins pour un prix de la paix », a conclu un autre utilisateur. Pour beaucoup, la scène ne symbolise pas un hommage à la paix, mais un pacte entre chefs de guerre.
Beaucoup de gens ont souligné qu’il est incohérent de parler de paix alors que Tel-Aviv et Washington maintiennent une stratégie de violence et d’occupation. Tandis que d’autres ont rappelé que Trump a ordonné le largage de bombes sur plusieurs pays et approuvé des livraisons d’armes.
Le prix Nobel de la paix est décerné chaque année à Oslo à des personnes ou à des entités qui apportent une contribution significative à la fraternité entre les nations et à la promotion de solutions pacifiques aux conflits. Cependant, l’affaire n’est pas la première à remettre en question le prestige du prix : en 2009, par exemple, l’ancien président Barack Obama l’a reçu, malgré le fait que pendant son mandat, les États-Unis ont été impliqués dans de multiples conflits armés dans des pays tels que l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, la Syrie, le Pakistan, le Yémen et la Somalie.
Depuis octobre 2023, l’entité sioniste d’Israël a tué plus de 57 400 Palestiniens et fait plus de 136 000 blessés à Gaza, des chiffres qui renforcent les critiques de ceux qui sont stupéfaits devant ce qu’ils osent.
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