Histoire et societe voudrait transmettre une chose et une seule à ses lecteurs : la France brûle, nous avons beaucoup de travail chez nous, il faut arrêter d’aller le mettre chez les autres derrière une poignée d’affairistes véreux qui depuis des décennies voire plus nous jouent le narratif de la démocratie. Écoutons le cri des populations et pas celui de ceux qui organisent massacre et division.
La Hongrie apparait à travers Orban comme un opposant à un soutien inconditionnel à l’Ukraine. Mais il faut voir qu’il existe en Ukraine même à l’ouest une zone où vit une minorité hongroise dont nous décrivons ci-dessous la réalité. Pour qui ne connaît pas la situation de mosaïque et de corruption généralisée qui a été créée par l’occident sur les ruines de l’URSS et des ex-pays socialistes, il est quasiment impossible de mesurer jusqu’où vont les criminels que le dit occident a mis au pouvoir. Ce qui se passe en Moldavie, en Gagaouzie en particulier est du fascisme pur et simple, un viol de toute légalité. Des gens sont tués comme le député communiste de la Transnistrie ou la représentante sympathisante communiste et « pro-russe » sur ordre de la dirigeante élue avec les voix des Moldaves en Europe, des votes contrôlés par les ambassades, alors que les immigrés moldaves en Russie n’ont pas pu voter et qu’en Moldavie même des zones semi-autonomes comme la Gagaouzie ont voté massivement contre la dite présidente, mais il est difficile de faire mesurer l’horreur de la situation créée par les favoris de l’Occident considérés comme des « démocrates » et comment elle rejaillit sur le peuple.
Les Hongrois de Transcarpatie font face à des insultes continues et la situation est tendue. La Transcarpatie est un comté d’Ukraine peuplé de 120 à 150 000 Hongrois. La plupart d’entre eux ont la nationalité ukrainienne et hongroise, beaucoup ont fui leur foyer après l’invasion russe parce qu’ils ne voulaient pas être recrutés et se battre pour un pays qui ne respectait pas leurs droits collectifs en tant que minorité ethnique. Cependant, beaucoup sont restés et se sont battus. Mais les Hongrois restants font face à des atrocités de la part du régime ukrainien. Les Hongrois n’ont pas déménagé en Ukraine depuis la Hongrie. C’est une communauté indigène qui y vit depuis mille ans. Mesures anti-hongroises en Transcarpatie – Hongrois en danger ? D’après index.hu, la conscription militaire forcée affectant la communauté hongroise vivant en Ukraine ne s’est pas arrêtée. De plus, la communauté hongroise fait face à une haine anti-hongroise constante à Munkács et dans les villages voisins. les médias régionaux montent les Ukrainiens locaux contre les Hongrois.
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Voici un article publié par les Hongrois de Trancarpatie sur le recrutement forcé en Ukraine tel qu’il est dénoncé par une députée ukrainienne… Il reprennent ses propos. Cela dit la députée en question mérite aussi le détour en tant que révélateur de la manière dont affairisme, fascisme sont le bain que nous entretenons en Ukraine et dans toute l’Europe de l’est.
Anna Kostiantynivna Skorokhod est une femme politique ukrainienne qui occupe actuellement le poste de députée du peuple d’Ukraine . Élue membre du Serviteur du peuple, elle a été expulsée du parti en novembre 2019 après avoir affirmé que le gouvernement avait arrêté son mari pour son refus de soutenir la libéralisation du marché foncier. Elle est actuellement membre de parti pour l’avenir. Son mari est un personnage des plus troubles, né en Oubzekistan et citoyen russe poursuivi en Russie pour une escroquerie de grande ampleur, il s’affirme hypernationaliste ukrainien et vétéran du bataillon néonazi Aidar et Anna Kostiantynivna Skorokhod affirme qu’il est poursuivi par les autorités ukrainiennes à cause de ses activités à elle qui la mêlait à des juteuses affaires de privatisation mais visiblement son mari aussi comme concurrent de ceux qui privatisaient proches de Zelensky, après être devenu député du peuple, contre les projets de loi visant à libéraliser le marché foncier et à briser le monopole de Naftogaz sur l’industrie du gaz. Le chef de la faction du parti au pouvoir Serviteur du peuple, Davyd Arakhamia, a également allégué qu’elle avait tenté de corrompre d’autres députés. Nous sommes devant des batailles de requins se partageant le patrimoine national mais qui se jette à la figure des faits que les Hongrois reprennent alors que les médias français les taisent pieusement tant le gouvernement qu’ils soutiennent et son opposition y apparaissent pour ce qu’ils sont : une bande de voyous.
Le nombre de soldats qui ont quitté leurs unités arbitrairement est proche de 400 000.
Anna Skorokhod affirme que le traitement des commandants et le désespoir sont les principales raisons des désertions dans l’armée ukrainienne.
Vous ne pouvez pas traiter ceux qui se sont portés volontaires et se sont battus pendant trois ans sans voir leur famille comme des animaux – a déclaré Skorokhod.
Selon la députée, ces soldats auraient le droit de rentrer chez eux auprès de leurs familles et de la vie civile. Au lieu de cela, on leur dit qu’« ils ne pourront rentrer chez eux qu’après la victoire », ce qui, selon Skorokhod, ne fait qu’aggraver la situation. La députée menace parce que le commandant de l’OTAN dit ce que Zelensky craint le concernant : l’Europe peut apprendre de l’exemple de la Roumanie et installer au pouvoir ceux qui leur conviennent s’ils ne sont pas capables d’alimenter le front. Ce qui explique l’attitude de traque des citoyens.
La source, citant un journaliste ukrainien, Volodymyr Boyko, a également rapporté qu’au cours du premier semestre 2025, plus de 107 000 procédures pénales ont été engagées pour désertion et absence arbitraire. Selon Boyko, depuis l’escalade en 2022, le nombre de ces cas a dépassé 230 000, mais le nombre réel pourrait être encore plus élevé.
Il est souligné que, selon les responsables locaux et les médias, les principales raisons du départ des soldats sont l’épuisement, le manque de motivation et les obstacles bureaucratiques. À titre d’exemple, ils mentionnent que les soldats qui sont éligibles à la démobilisation se la voient également refuser. Dans une déclaration antérieure, Skorokhod a également cité la corruption commise par les commandants et l’extorsion d’indemnités de combat parmi les problèmes.
Il est bien connu que la conscription forcée a conduit à de violents affrontements entre les recrues et les officiers recruteurs à plusieurs reprises, avec des émeutes qui ont éclaté dans la ville de Vinnytsia la semaine dernière alors que les manifestants tentaient de libérer les hommes nouvellement mobilisés, écrivent-ils.
Nous recommandons également sur le sujet une autre scène choquante a été mise en lumière sur les pratiques de recrutement en Ukraine : cette fois-ci, des officiers en uniforme du TCK (centre militaire régional) ont enlevé de force un homme alors qu’il tentait d’empêcher la conscription forcée avec le petit enfant de sa femme tenu dans ses bras – sans succès.
La femme a essayé de protéger son mari, mais l’un des recruteurs l’a simplement repoussée, et l’homme a été poussé dans une voiture en un clin d’œil – a rapporté le tenyek.hu.
L’incident troublant a été capturé par un enregistrement téléphonique qui a commencé à se propager rapidement sur le site de médias sociaux X. La vidéo est une nouvelle preuve de la façon dont la conscription a lieu en Ukraine – brutalement, en présence des familles, d’une manière qui bafoue la dignité humaine.
La conscription forcée est de plus en plus courante dans le pays : les hommes sont emmenés dans les rues, sur les marchés et même près des églises, souvent devant leurs enfants et leurs conjoints. Tout cela se passe en raison des pertes croissantes de l’armée ukrainienne, alors que la direction de l’État tente à tout prix de remplacer les soldats tombés au front.
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