Ce que ne souligne pas assez l’article c’est que l’UE n’est pas l’Europe, celle dont De Gaulle et les communistes pensaient qu’elle devait coïncider avec le continent de Brest (en Bretagne) jusqu’à l’Oural. Et que l’Union économique créée excluait justement une politique étrangère commune, la responsable des affaires européennes Kaja Kallas comme d’ailleurs madame Ursula Von der Leyen n’ont aucun véritable pouvoir démocratique, ce sont des technocrates promues par les marchés et l’OTAN qui n’ont en aucun cas le pouvoir de légiférer en lieu et place des nations européennes et encore moins d’interdire la participation de l’un ou l’autre de ses membres au défilé de la victoire à Moscou. Ce qui redouble d’ailleurs la menace terroriste de Zelenski sur les 20 chefs d’Etat participants. Ces gens sont incroyables et on se demande jusqu’où on les laissera agir dans le négationnisme historique et l’illégalité constitutionnelle la plus manifeste. Il serait temps de rétablir les FAITS simplement les Faits et ils témoigneraient de l’escroquerie de plus en plus manifeste que l’on nous présente comme la démocratie, la manière dont les citoyens sont pris en otage (note de Danielle Bleitrach, traduction de Marianne Dunlop)
https://ria.ru/20250416/istoriya-2011414889.html
La responsable des affaires européennes et internationales (barré) – de l’agitation autour de l’Ukraine – Kaja Kallas a (enfin) trouvé le temps et l’endroit pour menacer les dirigeants des pays européens (tous, et pas seulement les membres du bloc de l’UE) afin qu’ils n’osent même pas songer à assister au défilé de la Victoire à Moscou.
C’est ce qu’a déclaré la politicienne estonienne à Luxembourg, un pays certes minuscule, mais qui a scrupuleusement suivi les directives des nazis allemands. Le Grand-Duché a été déclaré judenfrei (« purifié des Juifs ») le 19 octobre 1941. Le pays où Kallas est née est devenu, officiellement, « purifié des Juifs » en janvier 1942.
Lorsque les responsables politiques de l’UE parlent aujourd’hui de l’Europe actuelle, il est important de replacer dans leur contexte historique l’époque, le lieu et la nationalité de ces gens-là.
Il faut apparemment rappeler à ces personnes – à celles qui profèrent de telles menaces et à celles qui les publient sans broncher – qui a déterminé le destin du continent et qui a contribué à la création de leur « jardin d’Éden », prospère et repu.
Tôt le matin, il y a exactement 80 ans, le 16 avril 1945, les troupes du 1er front biélorusse, du 1er front ukrainien et du 2e front biélorusse, sous le commandement de nos grands maréchaux Gueorgui Joukov, Ivan Konev et Konstantin Rokossovsky, sur ordre du quartier général, ont lancé une offensive contre le repaire du nazisme allemand. C’est ainsi qu’a commencé l’opération offensive de Berlin, qui s’est terminée par la signature de l’acte de capitulation sans condition du Reich. Un Reich « millénaire », comme l’appelaient les fanatiques nazis, mais que nous avons vaincu au bout de douze ans seulement.
À ceux qui pensent que notre victoire dans la Grande Guerre patriotique était déjà prédéterminée, il convient également de rappeler le contexte historique.
Trois mois avant le début de l’offensive sur Berlin, l’Armée rouge est intervenue à la demande des Alliés dans leur combat contre la Wehrmacht dans les Ardennes françaises (tout près de Bruxelles, à seulement 140 kilomètres), lançant l’opération Vistule-Oder deux semaines avant la date prévue.
Nous avons sauvé les Anglais et les Américains, qui auraient autrement été voués à une catastrophe inévitable : à ce moment-là, 80 000 de leurs soldats avaient été faits prisonniers par les nazis. Les nazis allemands n’eurent d’autre choix que de transférer treize divisions du deuxième front, à l’ouest, vers le premier front, à l’est. Au moment même où nous commencions à écraser ces divisions, les Occidentaux et les émissaires hitlériens cherchaient un moyen de conclure une paix séparée sur ce deuxième front. Cela leur aurait permis de transférer plusieurs dizaines de divisions supplémentaires sur le front oriental.
En fait, même si les Américains menaient ces discussions avec les nazis, ce sont surtout les Européens occidentaux, c’est-à-dire les Européens d’aujourd’hui, qui avaient le plus besoin d’une paixn séparée, après les bonzes allemands.
Ils voulaient tout garder tel quel, pourvu qu’ils ne soient pas inquiétés. Et leurs slogans étaient les suivants : « Dresser un rempart contre les hordes bolcheviques de l’Armée rouge ». Dites-moi en quoi cela diffère de la mantra européenne actuelle « Dresser un rempart contre l’influence agressive de la Russie » ? En rien ? Exactement.
Ce sont précisément les descendants des agresseurs, des violeurs et des criminels de guerre qui parlent le plus fort d’« agression », de « violence » et de « crimes de guerre », conformément à la loi des projections psychologiques. Les protecteurs des nazis actuels. Ceux-là mêmes qui montrent fièrement aux médias occidentaux leurs tatouages à la symbolique hitlérienne, sans la moindre honte.
Si cela permet, selon les idées des Européens d’aujourd’hui, de nous porter le moindre préjudice, alors le nazisme est bon à prendre.
Mais peu importe les efforts déployés par ceux qui tentent de réécrire l’histoire de notre exploit et, même indirectement, de nier notre contribution à la victoire sur les nazis allemands, allant jusqu’à remettre en question les décisions du tribunal de Nuremberg, ils ne parviendront pas à annuler notre victoire.
Car ils lui doivent tout. Jusqu’à leur propre vie. Jusqu’à la création de leur « paradis » paneuropéen.
C’est l’Armée rouge, ses soldats, ses officiers, ses commandants, ses généraux et ses maréchaux qui ont sauvé l’Europe. Ils ont ainsi déterminé le destin du continent.
Views: 70