Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

La comédie de Rome recouvre de vrais désaccords sur lesquels la Russie a peu de chance de céder en tenant compte du contexte, par Danielle Bleitrach

Macron est le vide a dit Todd et il aurait raison si le vide n’était pas dans ce cas aussi dangereux, non le vide c’est plutôt le petit monde politico-médiatique qui, parti dans une foire d’empoigne électoraliste, n’ose pas se situer au niveau des guerres dans lesquelle les peuples sont malgré eux engagés, qu’elles soient militaires et commerciales, et de leurs conséquences pour l’immense majorité qui en fera les frais tandis que les autres espèrent en profiter, ce qui n’est même pas acquis. Qu’il ne se soit pas trouvé une seule voix en France pour dénoncer ce qui s’est passé à Rome et le rôle imbécile – à tous les sens du terme dont celui d’être privé de défense – joué par le président français est tragique sous des allures grotesques. Sans même avoir à affronter l’impopularité d’avoir à soutenir la position russe, il suffit simplement de mettre en lumière ce qu’exigerait la paix. Il faudrait dénouer patiemment autrement que dans une politique spectacle ce qui se joue et favoriser l’intervention populaire en faveur de la paix et c’est là que l’on mesure les limites de ce qui peut s’accomplir sur un plateau de télévision et qui nécessiterait au moins un parti communiste organisé, formé, convaincu des buts et des moyens de son action.

Comprendre d’abord à la fois le point particulier de la guerre en Ukraine et le contexte geopolitique de la guerre hors limite…

Les Etats-Unis la puissance impérialiste hégmonique se bat pour sa survie quitte à sacrifier des vassaux encombrants. la guerre ne se limite pas aux « champs de bataille » mais elle est hors limite ne serait ce qu’à traver la guerre commerciale, qui tente de redonner sa puissance de sanction, blocus, échanges inégaux, pillage du dollar militarisé. La Chine a considéré qu’elle ne pouvait pas ne pas affronter cette guerre « commerciale » qui couvait de toute manière et à laquelle elle s’était préparée. Ce sont les Etats-Unis ou plutôt le système qui s’est constitué autour des USA, du dollar, du petrodollar, de l’armada militaire, des bases américaines, des coalitions, et d’un relatif monopole du système de propagande.

Le principal point de désaccord sur lequel butte la paix en Ukraine est implicite mais déterminant : en fait ce qui apparait de plus en plus c’est que ni l’Ukraine, ni l’UE ne sont en mesure de mener cette guerre sans les Etats-Unis, donc ce dernier est bel et bien depuis le départ le belligérant principal. C’est la politique de Biden et celle d’Obama, contenue dans le choix de Clinton de faire avancer l’OTAN. Les Russes en discutant avec le président des Etats-Unis ne font que marteler ce constat jusqu’ici reconnu par Trump; qui a expliqué que lui président il n’y aurait jamais eu un tel conflit et que c’était la guerre d’Obama et de Biden, pas la sienne.

Les faits sont têtus : la guerre ne peut même pas être poursuivie dans l’espoir assez vain d’une meilleure position sans les Etats-Unis.

Mais cette guerre, meurtrière, est cyniquement d’ailleurs une fort mauvaise affaire dans la situation géopolitique commerciale actuelle qui est tout de même le fond de la situation, celle qui conditionne toutes les politiques de lutte pour l’emploi, les salaires, et y compris celle très ambitieuse de ré-industrialisation française que propose le PCF.

Dans cette querre commerciale dans laquelle personne ne gagnera, la Chine joue les boucliers et l’UE (totalement divisée) et le Japon tentent de jouer sous l’ombre de la résistance chinoise une politique de négociation de « grandes puissances ». Qu’il s’agisse du Japon ou de l’UE, ils auraient pu choisir d’affronter les USA qui désormais prétend reculer sa défaite en les sacrifiant. L’Europe enfin l’UE n’ont pas attendu Trump pour avoir à se sacrifier: la guerre en Ukraine a fait pas mal de dommages collatéraux en Europe,. Les petites économies mais la plus centrale et la plus forte, coupée des ressources de la Russie a été entrainée dans une crise, de la récession. Sa réponse dit la logique de ce choix impérialiste atlantiste: le retour au fascisme. L’occident n’a cessé de dénoncer comme exagéré la désignation d’un régime ukrainien russophobe, guerrier par procuration, par son adhésion au nazisme dès la révolution orange et encore plus au maidan. Ce serait du folklore, mais le fait est que l’Allemagne actuelle, celle d’une classe monopolistique, issue d’un Reich non épuré, inspire une sortie de crise qui choisit le surarmement la guerre contre la Russie. Ce qui rappelle de biens fâcheux souvenirs, malgré la protestation du peuple allemand mais celui-ci comme le reste de l’Europe est divisée entre extrême-droite et gauche, incapable de s’unir face à la guerre. Macron qui est lui-même à la tête d’un gouvernement minoritaire et avec un parlement ingérable, joue une stratégie totalement irresponsable d’entretien de cette guerre. Il n’y a aucune force politique en France en capacité de le contredire, aucune à la hauteur des enjeux réels qui est justement ce monde multipolaire. Pourtant cela devient urgent.


Dans ce contexte de la résistance chinoise, à l’ombre de laquelle se développent les stratégies dans des orientations fondamentales qu’il s’agisse de ce qui va se passer à Rio de Janeiro avec la rencontre des BRICS, les questions financières, la dédollarisation, les propositions de la Chine ; la stratégie de l’OPep + et le bras de fer avec les USA sur le prix du baril ; comme d’ailleurs les résistances y compris militaires dans le monde avec la déclaration de la Corée du nord qui envoie un message évident concernant non seulement la fin de l’opération Koursk mais un autre concernant le front asiatique sur lequel la guerre commerciale est déclenchée avec un maximum de dégâts pour tout le mode mais sur lequel la Chine ne cède pas, on mesure en quoi le monde celui de l’hégémonie unipolaire est déjà mort et combien nous sommes dans les enjeux entre le capital et le travail qui ont du mal à structurer les forces en particulier en Europe.

Sur l’Ukraine il y a un point fondamental : la Russie voulait donc régler le problème là où il se posait réellement, avec les USA.

La colère de Trump porte là-dessus, parce que la Russie ne veut pas que les Etats-Unis feignent de partir en laissant croire que les belligérants sont l’Europe et l’Ukraine.

d’où la comédie de Rome.

L’apparente volte-face de Trump envers Poutine porte donc sur ce désaccord fondamental mais qui s’est traduit au cours de la négociation par des points de désaccord que Trump a imaginé résolus et qui ne peuvent pas l’être s’ils mettent en cause le fondamental à savoir la responsabilité des USA.

Partons de ce qui est mis en avant parce que cela peut toucher l’opinion publique, les bombardements dans les zones civiles. Poutine a chaque fois montré que la Russie visait les troupes ukrainiennes et que comme à Soumy les troupes ukrainiennes et les Etats-majors se servaient des populations civiles comme de boucliers humains. C’est le prétexte annoncé par Trump qui se montre totalement insensible aux frappes contre des civils quand cela concerne les alliés israéliens ou tout autre point du monde.

Les points plus importants concernent les forces du maintien de la paix européennes en Ukraine et notons à quel point Macron joue le rôle de boutefeu dans tous les désaccords. Les Russes craignent non sans raison que les Européens par ce biais fassent entrer l’OTAN, créer les conditions donc d’un soutien des Etats-Unis. Le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, a déclaré que les États-Unis n’étendraient pas les garanties de défense mutuelle de l’article 5 aux troupes de l’OTAN en Ukraine, la garantie ne parait pas suffisante à la Russie qui se méfie non seulement du caractère versatile de Trump mais de ses successeurs qui désormais ne reconnaissent plus la diplomatie du prédécesseur.

Il y a la même ambiguïté sur la démilitarisation de l’Ukraine ce qui est la revendication officielle de l’intervention russe. Il y a là un point essentiel d’achoppement parce que personne n’a confiance en personne. Il y a également les régions contestées qui ne sont pas entièrement gagnées et la ligne de feu… Le New York Times a cité une source qui a qualifié cela de « déraisonnable et irréalisable », mais c’est impératif pour la Russie après que le Kremlin a reconnu l’intégralité de ces régions comme russes à la suite des référendums de septembre 2022. Comme pour la démilitarisation de l’Ukraine, Poutine ne peut pas non plus faire accepter à son opinion ce point et encore que la Russie remette la centrale nucléaire de Zaporozhye et le barrage de Kakhovka aux États-Unis, ce qui est aussi inacceptable pour Poutine que les points précédents d’acceptation de soldats de la paix européens, d’abandon de la démilitarisation et de limitation de ses revendications territoriales.

Et quand on surajoute à ces points importants le refus de reconnaitre la Crimée russe qui semble un acquis, la Russie n’a plus aucun intérêt à faire la paix. Et c’est probablement le sens qu’elle va donner à la célébration de la victoire sur le nazisme. Dans le fond, elle dira la même chose que les Chinois : nous ne voulons pas la guerre mais quand on nous la déclare on la mène jusqu’au bout.

Est-ce que les Etats-unis et les autres puissances vassales vont entendre ce message ?

En ce qui concerne l’Ukraine, si Poutine et Trump ne parviennent pas à résoudre ces problèmes, après quoi Trump devra également obtenir de Zelensky l’accord du nouvel accord, alors le processus de paix ira probablement à l’eau. Poutine et Trump sont incités à résoudre leurs différends en raison du fait que Trump est un syndic de faillite et tente desespérement de se débattre dans la guerre commerciale imprudemment engagée et qui va entraîner des tensions qui débouchent partout sur des conflits inmaitrisables… Trump qui se débat maladroitement a bien besoin de la « nouvelle détente » naissante entre la Russie et les États-Unis, et même la Chine, et certains alliés des BRICS comme le Brésil souhaitent que l’on ne multiplie pas les déstabilisations, mais nul n’est en mesure d’empêcher le bras de fer. Zelensky aurait du mal à continuer à se battre si les États-Unis coupaient une fois de plus l’aide militaire en guise de punition pour avoir rejeté un accord. Quoi qu’il en soit, il sera toujours très difficile de sortir de cette impasse ukrainienne qui n’est pourtant qu’un des éléments d’un rapport de forces à l’échelle planétaire dont il faut le répéter le fond demeure l’affrontement capital travail au niveau du numérique avec en son centre apparent une crise monétaire autour de la domination du dollar.

Les transactions autour de la paix ne sont jamais isolées de celles des marchés. Trump qui jusqu’ici n’avait jamais voulu rencontrer Ursula von der Leyen a pour la première fois « croisé » Trump, le principe d’une rencontre officielle préparée par Meloni et l’irlandais MichaëlMartin, se produira lorsqu’un accord visant à résoudre les tarifs douaniers imposés par le président américain sera sur la table et prêt à être signé, a déclaré la Commission européenne. L’engagement de se rencontrer a été pris samedi lors des funérailles du pape François, lorsque les deux dirigeants ont partagé ce qui a été décrit comme une « brève interaction ».
« Il n’y a pas de date, pour le moment, pour une telle rencontre », a déclaré Paula Pinho, porte-parole en chef de la Commission, lundi. La « paix » se joue comme d’habitude à la « corbeille » aurait dit De gaulle. Tout cela grenouille et tente de profiter de la force de résistance que constitue le refus de la Chine de céder et son engagement.

est-ce un hasard si c’est un pays socialiste à direction du parti communiste à la résistance de laquelle le devenir planétaire est suspendu ? c’est du moins la première chose que devraient considérer les partis communistes, la gauche et les forces de progrès.

mais il y a tout à craindre et le vote canadien en est peut-être l’annonce que l’exemple des désordres trumpiens d’un côté s’il crée un reflexe salutaire face à l’extrême-droite et à la légereté de ses « remèdes »pour « la masse » aboutisse à conforter l’autre volet de la même politique celle dite des « libéraux » qui ira dans le même sens en alimentant plus que jamais toutes les guerres possibles et imaginables, c’est-à-dire que se poursuivra et s’amplifiera la totale identification sur le fond entre les appartenances politiques …

L’Allemagne avec Friedrich Merz en est l’ exemple : Merz poursuivra la politique d’immigration à la fois stigmatisante et sauvage pour mieux créer un vivier, la politique climatique oscillant du refus du nucléaire au retour au charbon et au pétrole et gaz de schiste des USA, la lutte contre la liberté d’expression en particulier dans le monde du travail en combinant arbitraire contre le travail et pseudo tolérance des moeurs conduisant à la victoire des conservatismes, la pensée unique avec ses tabous, la guerre contre la Russie du précédent gouvernement de gauche sans changement, ce qui signifie que Merz fera effectivement de la politique de gauche. L’Europe est selon Merz, qui a des « convictions » on le voit, mais peu d’expérience, actuellement « menacée de l’extérieur par une guerre impérialiste et autoritaire à l’Est et aussi, à l’intérieur, par des citoyens effrayés et incertains, voire radicalisés », a-t-il déclaré. « La confiance dans notre démocratie n’a jamais été aussi ébranlée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale dans notre pays »et pour la recréer il a exhorté lundi, ses concitoyens à continuer à soutenir l’Ukraine. « Le combat de l’Ukraine contre l’agression de la Russie est aussi un combat pour le maintien de la paix et la liberté dans notre pays », car l’offensive de Moscou « s’en prend à l’ordre politique du continent européen dans son ensemble », a-t-il affirmé. Et on a chuté sur le réarmement : Ce bouleversement contraint aussi bien l’Allemagne que l’Europe à dépenser davantage pour leur défense face à la menace russe. Le chancelier désigné a déjà pris les devants en faisant adopter un paquet d’investissements géants de plusieurs centaines de milliards d’euros pour réarmer et moderniser le pays.Mais le cas inverse est tout aussi valable un gouvernement de gauche poursuivra et accentuera ce que la droite avait copié… ce qui signifie beaucoup de perte de temps pour ceux qui souhaiteraient réellement changer de societe.

En tous les cas en France, le mouvement indispensable en faveur de la paix ne peut pas se faire dans la confusion des enjeux réels. C’est pour cela que nous avons voulu poser le choix apparemment totalement hors cadre de la nécessité pour la France d’un dialogue avec la Chine et même d’une adhésion aux BRICS.

Danielle Bleitrach


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7 Commentaires

  • Michel BEYER
    Michel BEYER

    Une anecdote révélée par l’ancien ambassadeur de Russie en France, Alexander Orlov, témoin de la scène (interview sur GPTV). En 2011, Jo Biden, alors vice-président des USA, en visite à Moscou a demandé à Vladimir Poutine de ne pas se présenter à l’élection présidentielle, de laisser Medvedev se présenter à sa place. Biden a été prié de s’occuper des élections dans son pays. Et dire que la Russie a été accusée d’intervenir dans les élections américaines !!!

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  • Georges Rodi
    Georges Rodi

    « Est-ce un hasard si c’est un pays socialiste à direction du parti communiste à la résistance de laquelle le devenir planétaire est suspendu ? »

    L’humour mordant derrière cette question ne m’échappe pas…:)
    Le modèle économique hybride de la Chine est semblable a celui pratiqué par le Gal de Gaulle à la libération. Si ce n’est qu’en France, l’influence des grandes familles bourgeoises n’a jamais cessé et au final, les banques françaises peuvent remercier Pompidou et sa loi n°73-7 du 3 Janvier 1973.

    C’est une direction communiste qui permet à la Chine de conserver la main sur les finances de l’état.
    Et cette direction distille en outre le meilleur de la tradition confucéenne, à savoir une sélection des gouvernants au mérite.

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  • Georges Rodi
    Georges Rodi

    « C’est pour cela que nous avons voulu poser le choix apparemment totalement hors cadre de la nécessité pour la France d’un dialogue avec la Chine et même d’une adhésion aux BRICS. »

    Je ne peux qu’approuver, mais dans la pratique, et tant que la France fera partie de l’OTAN (un adversaire déclaré de la Chine, de la Russie, de l’Iran…), un tel avenir ne se dessinera pas.
    De plus, et pour autant qu’il ait lieu, l’issue d’un referendum sur la sortie de l’OTAN ne serait pas favorable.

    La seule voie (étroite) qui permettrait d’avancer, avec la possibilité de surmonter la lourde histoire coloniale du pays, serait un premier pas : voir la France devenir un pays neutre.
    Vu de Chine, c’est ainsi que je perçois la chose…

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    • admin5319
      admin5319

      vous avez tout compris, il s’agit d’une stratégie qui suppose effectivement d’autres choix comme la sortie de l’OTAN, voir de l’UE et comme le montre très bien franck Marsal dans le texte publié aujourd’hui ce qui me fait choisir le PCF n’est pas mon accord total avec sa stratégie actuelle (il n’en a pas et il n’y a pas la moindre perspective de prise de l’appareil d’Etat sans lequel il n’y aura pas de socialisme ) mais c’est néanmoins le seul fil rouge vers une stratégie…Je ne crois pas aux groupuscules qui depuis trente ans ont fait la preuve de leur marginalisation et quelquefois de leur nocivité (parfois ils ont maintenu ce qui aurait totalement disparu sqans eux.)

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      • Georges Rodi
        Georges Rodi

        Imaginons un instant Fabien Roussel se ranger du côté de la Russie, ou de la Chine… La grande essoreuse médiatique se mettrait en route, en déformant sans honte ni retenue la moindre de ses explications, et le PCF qu’il défends en sortirait (un peu plus) en miettes.

        Proposer une France neutre, c’est défendre l’idée d’une France indépendante, pacifique, une idée qui conviendrait aux grandes puissances du moment.
        Une France neutre pourrait refuser de sanctionner la Russie, de participer à la militarisation de l’UE, elle accepterait le gaz liquéfié russe dans se ports, les romans de Dostoievski et les spectacles du cirque de Moscou 🙂
        Inutile de prendre parti pour la Russie, il suffirait de défendre notre neutralité. Les conséquences seraient les mêmes.

        Rêvons un peu : en jouant finement la partie, ce sont les membres de l’OTAN et de l’UE, épuisés par tant de débats complexes et contradictoires, qui demanderaient à la France de quitter le titanic…

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        • admin5319
          admin5319

          je ne dis pas non, mais 1) j’ai la croyance désuète en la thèse que ce sont les masses qui font l’histoire et je crois qu’il faut un parti léniniste (ce sont ls seuls qui ont jusqu’ici réussi et fait durer une révolution) donc je me demande d’abord comment créer ce parti ? 2) mon idée d’adhésion aux BRICS correspond à une stratégie des non alignés.

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        • admin5319
          admin5319

          au fait, il me semble que vous êtes en Chine, ce serait bien si vous lisiez notre livre et donniez votre avis…
          notre livre écrit à quatre mains d’intervenants dans ce site : Danielle Bleitrach, Marianne Dunlop, Jean jullian (Xuan) et Franck Marsal : quand la france s’éveillera à la Chine,la longue marche vers un monde multipolaire, avec la préface de Fabien Roussel. editions Delga. 22 e
          il vient de sortir et nous avons décidé de ne pas le soumettre à la presse et aux médias bourgeois pour ne pas mettre fabien Roussel dans la grande essoreuse vu l’état du parti…
          danielle Bleitrach

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