Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Toujours excellent Robert Fico surtout si on le compare à Bruxelles et au pire de tous Macron

Alors se ranger derrière le héros Zelenski, inventer que l’on défend la démocratie contre le totalitarisme, et considérer que nos ennemis sont Poutine et Xi alors même que Trump est en train même avec 10% de hausse tarifaire de nous achever est bel et bien une forfaiture. Et là le discours de Robert Fico prend tout son sens : comment en est on arrivés à une telle absurdité ? m’interdire de célébrer la libération de mon pays des nazis avec l’ambassadeur de Russie et de Biélorussie, qui dois-je inviter ? l’ambassadeur d’Allemagne et celui du Japon ? Mais cette absurdité en recouvre une autre, me faire en soutien de l’OTAN me priver de l’énergie dont mon peuple a besoin et le faire régresser dans le chômage et la misère…

Cette démonstration s’avère encore plus pertinente si on considère le cas français. Alors que la Grande-Bretagne prend des mesures pour sauver son aciérie, la France parait incapable de défendre sa propre économie, elle est l’otage des marchés financiers et des marchands d’armes, sous tolérance de la commission européenne avec qui elle partage cette folie dénoncée par le chef d’État slovaque. Si la guerre commerciale de Donald Trump vire au chaos, tous nos voisins pourront soutenir leur économie, contrairement à la France, qui n’aura d’autres ressorts que de décrocher encore un peu plus, et cette situation est lié au fait que la France a le gouvernement le moins représentatif qui se puisse imaginer.

La France de Macron impuissante et dérisoire à la tête du négationnisme

Le premier ministre ne tient que parce qu’il est porté à bout de bras par l’extrême-droite tandis que le président de la République se fait une vertu en piétinant les décisions du gouvernement et du parlement et en distribuant l’argent qu’il n’a pas mais pour lequel il s’engage auprès des marchés financiers.

Il faut bien mesurer ce que l’attitude de Macron a de totalement ridicule et même son « opposition », son gouvernement, son parlement paraît complètement hors réalité. On ne peut en effet maintenir des discours aussi délirants sur le plan historique que parce qu’on a désormais une représentation qui s’auto-intoxique elle-même comme quand Ursula Von der Leyen et ceux qu’elle représente prétendent interdire à la Russie et à la Biélorussie qui ont libéré les peuples de célébrer la victoire sur l’Allemagne nazie. La France macronienne a d’ailleurs fait la démonstration de ce dont elle était capable dans ce domaine avec les jeux olympiques. Un sordide débat sur un schtroumpf bleu a permis de masquer au nom d’une pseudo liberté libertaire laïque la manière dont notre pays a osé éliminer la Russie et la Biélorussie de ces jeux. Qui a lancé ce débat ? On serait bien surpris d’y voir en tête de gondole un responsable des cheminots CGT qui paraissait plus intéressé par le sujet que par le boycott annoncé desdits jeux, puis abandonné sous influence européenne… Un responsable des cheminots qui s’est trouvé plus pris de passion pour un syndicat ukrainien à la solde de Ponomarev, l’agent de l’OTAN, que par ses engagements envers Cuba.

Cette opération va surement se renouveler pour les cérémonies du 9 mai… Par quel tour de passe-passe en est-on arrivé à ne pas avoir le moindre contradicteur quand les agents stipendiés de la CIA que sont les BHL et autre Cohn-Bendit, flanqués du trafiquant d’armes qu’est Glucksmann peuvent promettre, jurer que Zelenski et les régiment Azov n’ont pas la moindre ressemblance avec Bandera et les collaborateurs du nazisme ? Comment a-t-on réussi à avoir de telles complicités qui font que personne n’ose comme le fait Fico souligner que tout cela est fou… comment Vadim Kamenka peut-il à la fois soutenir la propagande de LCI et être le responsable du secteur international de l’Humanité ? Comment tout le beau monde qui depuis des années soutient une telle politique et a même soutenu Robert Ménard contre Fidel Castro, peut se faire une vertu en plaçant un signe d’égalité entre Poutine, Xi et Trump et rêver ouvertement d’une politique « autonome » indépendante de la France et de l’UE ? Comment se fait-il que ceux qui tels des hyènes s’attaquent en tous temps et en tous lieux au PCF, à Fabien Roussel, le fassent au nom de leur gourou qui n’a jamais caché ses sympathies pour Mélenchon et de fait pour le liquidation du PCF. Les mêmes qui refusent d’aider à l’évolution du PCF vers l’identité communiste, vers les combats de classe, tolèrent et encouragent un Mélenchon qui ne sait que détruire et manifeste tous les opportunismes autour de son égo de présidentiable? Il y a ce gouvernement qui ne représente que les « intérêts » speculatifs et une opposition qui s’ingénie à toutes les divisions de ceux qui devraient être unis… Comme ou presque comme aux USA…

Le cas parait si tranché à gauche même que l’on peut même s’interroger sur qui sera présent pour représenter les communistes français, ceux d’Europe de l’ouest, à Moscou à la célébration antifasciste organisée par les communistes russes. Qui va oser affronter le narratif occidental qui non content de mettre désormais un signe d’égalité entre Hitler et Staline, entre l’URSS et l’Allemagne nazie, va jusqu’à soutenir le régiment Azov qui revendique Bandera, comme Zelenski, et accepte que l’on traite les communistes russes comme ils n’osent pas eux traiter les représentants des légions de Bandera ?… Quand on en est comme certains cégétistes et non des moindres à soutenir un tel régime, plutôt que les communistes ukrainiens torturés, c’est dire jusqu’où va l' »influence ». Jusqu’où est allé ce que dénonce Robert Fico que l’on a tenté de transformer lui aussi en « rouge-brun », sans voir que les « Bruns » étaient plutôt les vendus de chez nous… Lui que l’on a désigné aux assassins comme ne craindraient pas de le faire aujourd’hui certains « communistes »(sic). Il est vrai que quand on a accepté de servir ces gens-là, il est difficile de rompre avec eux… Mais je ne plains pas ceux qui depuis des années ont accepté ce négationnisme, ils ont couvert assez de crimes, justifié assez d’expéditions…

On commence à peine à oser considérer que la Russie affronte bien l’OTAN et les USA et il a fallu que les Américains eux-mêmes le disent pour que le PCF se réveille de ce cauchemar…

Cela rend particulièrement ridicule tous les discours de Macron sur le soutien inconditionnel à l’Ukraine et sa manière de se revendiquer comme le champion de l’intervention contre la Russie. D’ailleurs, le président français et son entourage, en est effectivement à ressembler aux politiciens en Ukraine… Un parlement dont 14 partis sont exclus, et où toute la vie politique est suspendue aux luttes des oligarques pour le pouvoir et où faute de résoudre les problèmes criants des citoyens on assiste sur fond de débâcle à la foire d’empoigne entre candidats. Des factions sous la pression des Britanniques, Allemands, avec des surenchères grotesques dans le négationnisme, dans un contexte où sont sans cesse repoussées des élections mais où chacun tente de s’approprier ce qui reste du budget où tous les capitalistes se servent aux dépens de ce dont le peuple est désormais privé.

Plus personne ne respecte un tel personnage et là encore Macron partage le désaveu général qui s’attache aux loosers… Quand pour tenter de se concilier le monde arabe dans l’imbroglio général du Moyen Orient auquel la France a apporté depuis Sarkozy et Hollande sa petite touche de vassalité atlantiste, il feint de se présenter comme le champion de l’État palestinien, il tente de récupérer l’audience gaullienne et même chiraquienne, celle d’un Dominique de Villepinte… il récolte le mépris attendu. Ce n’est même pas Netanyahou qui lui répond, comme Trump ce dernier a un rejeton qui insulte à sa place dans cette diplomatie des réseaux sociaux : dans son message sur X, Emmanuel Macron a insisté sur « le droit légitime des Palestiniens à un État et à la paix, comme celui des Israéliens à vivre en paix et sécurité, l’un et l’autre reconnus par leurs voisins ». Samedi, également sur X, Yair Netanyahu a vertement réagi au message du président français, qu’il a republié avec des commentaires. « Va te faire voir! », a écrit en anglais le fils du chef du gouvernement israélien. Âgé de 33 ans et vivant actuellement en Floride selon des médias israéliens, Yair Netanyahu s’y dit aussi favorable à l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française, de la Corse, du pays basque et de la Guinée – sans doute confondue avec la Guyane, qui est un département français situé sur la côte nord-est de l’Amérique du Sud. Les relations entre Israël et la France se sont nettement tendues ces dernières mois, on se demande en dehors de Zelenski et d’Ursula à qui Macron fait encore autre chose que pitié. Le tragique n’est même pas Macron, mais qu’il puisse s’agiter de la sorte sans avoir personne qui soit en mesure de traduire une opinion française qui ne veut pas de la guerre.

Ne pas oser affronter les élections dans un pays qui veut la paix…

En France, en effet, en raison des élections présidentielles, et peut-être des législatives, prévues au printemps 2032, le ministère de l’Intérieur envisage de reporter les élections municipales. Avant même leur élection, la question de la fin de mandat des futurs 35.000 maires de France se pose. Porteront-ils l’écharpe six ans, comme c’est normalement le cas, ou bien devront-ils attendre 2033 pour la remettre en jeu ? Car selon une information de nos confrères de Ouest-France, le ministère de l’Intérieur songe déjà à repousser la future élection municipale, prévue en 2032. La raison est simple : l’embouteillage du calendrier électoral. En 2032, une élection présidentielle est déjà prévue, suivie d’une probable élection législative, si le candidat vainqueur en 2027 décide d’une dissolution à son arrivée au pouvoir. « Oui, cette question de la percussion entre les élections en 2032 se pose », avoue Bruno Retailleau à Ouest-France. Or, en tant que ministre de l’Intérieur, c’est lui qui est en charge d’organiser les élections et le moins que l’on puisse dire est qu’il est juge et partie.

L’homme de Beauvau évoque deux « solutions » : soit « repousser les élections municipales à l’automne 2032 », soit « prolonger le mandat des maires d’un an, jusqu’en 2033, en décalant les élections municipales ». Si rien n’est tranché, cette dernière solution a la préférence du ministre, qui la cite en « plus probable ». Pour prolonger le mandat des maires, il suffirait au gouvernement de déposer un projet de loi ordinaire. Guy Geoffroy, l’un des vice-présidents de l’Association des maires de France, s’est montré plutôt favorable à cette mesure. « Le problème est connu alors autant anticiper. Un an de plus dans un mandat, ce ne serait pas scandaleux », admet l’édile de Combs-la-Ville. Mais surtout, l’essentiel est que la question soit tranchée avant les élections 2026, pour « donner de la visibilité aux maires en amont », estime Françoise Gatel, la ministre chargée de la Ruralité. Des précédents ont déjà eu lieu : en 2007, le mandat des maires avait déjà été prolongé jusqu’en 2008 pour éviter de percuter l’élection remportée par Nicolas Sarkozy. En 1988, les élections cantonales avaient été repoussées de six mois pour ne pas cogner avec la présidentielle. Le cas de figure se produira aussi en 2027, et le mandat des conseilleurs départementaux a déjà été prolongé jusqu’en 2028.

Le report des élections municipales, s’explique si l’on considère ce qui se prépare. Selon l’Opinion, le gouvernement envisage de répartir les 40 milliards d’euros d’économies entre les trois grands blocs de la dépense publique : l’État, les collectivités locales et la Sécurité sociale. La part prévue pour l’État s’élèverait à 14 milliards d’euros, avec pour ligne directrice le gel des dépenses en euros courants, ce qui revient à une baisse réelle une fois l’inflation prise en compte. La réalité est dans le fait que les maires ne trouvent plus d’assureurs correspondant à leur budget pour assurer leur communes.

Les collectivités seraient mises à contribution à hauteur de 8 milliards d’euros, un effort qui pourrait susciter des tensions à l’approche des municipales. La Sécurité sociale supporterait 18 milliards d’euros, un niveau d’ajustement sans précédent, alors même que le système d’assurance-maladie est jugé fragilisé par ses propres responsables.

C’est dans ce contexte là qu’un Macron prétend nous vendre une guerre pour soutenir un Etat en faillite dont le pseudo héros ne vit que de la guerre et des biens qu’à travers des vagues de privatisation il a vendu à l’encan

Une équation politique des plus délicates

Le contexte politique ne facilite pas la tâche de l’exécutif. Le budget 2025 a déjà nécessité le recours au 49.3 et un compromis fragile avec le Parti socialiste. Pour 2026, le gouvernement doit composer avec une majorité relative, un paysage parlementaire fragmenté et une opinion publique peu réceptive aux mesures d’austérité, comment tenir cette opinion publique en jouant le dévoiement permanent.

François Bayrou, actuel Premier ministre, entend miser sur la pédagogie et la transparence pour rallier les soutiens nécessaires. Le chef de l’État, de son côté, privilégie des réformes favorisant l’emploi, notamment une nouvelle réforme de l’assurance chômage. Cette orientation vise à stimuler l’activité, accroître les recettes sans hausse d’impôts, et éviter des coupes claires dans les missions régaliennes. Il est bien pauvre celui qui ne peut pas jurer promettre sans prendre même la peine de lire ses dossiers, il est là pour durer quitte à laisser tout s’effondrer sans bouger le petit doigt.

La spécificité française de sous industrialisation et d’un capitalisme d’usurier patrimonial crée des mouvements erratiques qui ont leur logique spéculative propre sur un tel pouvoir . Si sphère financière a encaisse de plein fouet les récentes mesures tarifaires (droits de douane) annoncées par Donald Trump».parmi les secteurs les plus touchés, il y a les valeurs bancaires européennes – et françaises en particulier – qui ont subi une pression accrue dans un contexte d’aversion généralisée au risque.Un contexte où l’on se débarasse de ce qui est risqué, le dollar et pour la première fois les obligations. Mais aussi les actions « spéculatives ou considérées comme telles. On l’a vu en particulier en 2008, la crise la plus grave: dans la planète finance, la crise démarre souvent depuis les banques françaises. Mais là c’est massif Entre le pic de février et les creux récents, BNP Paribas a reculé de 5% de plus que le CAC 40, et Société Générale de 10%. «il y a l’existence d’un risque idiosyncratique (c’est-à-dire d’un risque spécifique aux banques françaises… Alors qu’en France, environ 20% du chiffre d’affaires des grandes entreprises dépend du marché américain, l’instauration de barrières douanières pourrait freiner la demande outre-Atlantique, peser sur les revenus (de nos entreprises), entraîner des ajustements d’effectifs, voire des défaillances de sociétés pour qui un tel environnement est peu favorable à la croissance du crédit et propice à l’augmentation des défauts de remboursement pour les banques… Par ailleurs, une baisse des revenus excédentaires des ménages se traduit également par une moindre collecte sur les produits d’épargne. Les banques, l’usure française est plus que les autres sensibles aux jeux spéculatifs boursiers. Le principal risque pour BNP Paribas, Société générale est Crédit agricole reste donc exogène. La dynamique haussière observée depuis récemment sur les actions des banques françaises dépend largement du climat géopolitique et commercial international. Le sursis de 90 jours accordé par les Etats-Unis à leurs partenaires commerciaux a allégé temporairement la pression sur la prime de risque (et donc sur les cours des actions, NDLR), il faut donc offrir l’hypothèse d’un effort au surarmement,

la politique de la France se fait plus que jamais à la corbeille avec des effets d’annonce et des bluffs.

Si à force de jouer avec les nerfs des’industries brassant des milliards de dollars, l’administration Trump pourrait bien déstabiliser durablement l’économie étasunienne, il le fait en sachant que les surtaxes sont aussi une manière pour Donald Trump de s’acheter la fidélité personnelle des grandes entreprises qui négocieront sans doute des exceptions à la règle avec ces mêmes milliards. de même, Macron et l’UE, certains des gouvernements, jouent de la même manière avec la destabilisation de l’économie mais en prétendant s’acheter les faveurs des marchés financiers et de ceux dont selon le monde politique dépend leur élection et qui gouvernent la totalité de la presse et des médias.

Le seul qui a gauche, a des dispositions qui ne soient pas « europeiste » compatible et essentiellement axé sur le tarifaire mais au contraire contre l’impérialisme et s’attaquant au capital pour ré-industrialiser la France c’est bel et bien Roussel. Relire le discours de Venissieux c’est mensurer à quel point il est le seul à gauche à rompre avec la logique de soumission à Bruxelles. Jean-Luc Mélenchon écrit dans sa dernière note de blog : « Les crises sont aussi des opportunités politiques pour se redéployer et pour pouvoir appliquer des méthodes jusque-là réputées impossibles à mettre en œuvre. Les dominés doivent en profiter. » Jugeant l’augmentation des droits de douane inadaptée, il développe deux pistes principales pour la France. La première vise les entreprises de la tech : « Il s’agit de taxer l’ensemble du chiffre d’affaires que ces compagnies réalisent sur notre territoire puisqu’aujourd’hui elles ne le sont pas. On en tirera la possibilité d’une relève relocalisée chez nous bien plus rapide que pour des aciéries ou des usines de nickel ». La seconde piste est celle d’une « taxation des droits intellectuels contenus dans les marchandises ». Il précise : « Cela inclut tous les secteurs où les droits (brevets, marques, droits d’auteur, etc.) sont essentiels : pharma, tech, cinéma, musique, logiciels, etc. 30% à 50% de la production mondiale est concernée, directement ou indirectement, par des droits de propriété intellectuelle (paiement de redevances, licences, etc.). Et les États-Unis sont de loin le leader mondial en la matière. ». Ces propositions ne sont pas très éloignées de celles de Thierry Breton qui consiste à distinguer entre les biens matériels et les Gafam. Pas la moindre remise en cause de l’OTAN, de l’euro, pas de politique de ré-indistrialisation comme chez Fabien Roussel. Que dire des autres qui ne voient d’issue que dans l’Europe des verts au PS ? .C’est-à-dire l’acceptation d’une tutelle qui peut à chaque moment nous mettre en fallite.

Une crédibilité en jeu à Bruxelles

La Commission européenne sera particulièrement attentive à la trajectoire budgétaire française. La cible de 4,6 % de déficit en 2026 correspond à celle fixée en octobre 2024 sous Michel Barnier, et sa reconduction vise à maintenir la crédibilité financière du pays. L’objectif est de montrer que la France reste engagée dans un effort de redressement budgétaire, malgré les aléas politiques et géopolitiques, comme la guerre commerciale engagée par les États-Unis.

Dans ce contexte, les arbitrages attendus dans les semaines à venir seront décisifs pour la suite du quinquennat et la capacité de l’État à conserver la confiance des marchés et des institutions européennes. On ne saurait dire plus clairement que nos politiciens, Macron en tête mais avec la complicité de ceux qui interdisent que l’on parle du fond parce qu’ils ne visent qu’à leur propre statut de présidentiable et qui n’ont de cesse que de détruire leur rival au lieu de songer à rassembler le monde du travail, les couches populaires…

La France et Macron dans un tel contexte sont les otages de la Commission européenne qui joue son va-tout pour être reconnue comme partenaire dans le dépeçage de l’Ukraine alors que Trump refuse de recevoir Ursula von der leyen dans les négociagtions et considère que ceux qui attisnt la guerre sont des partenaires possibles. La provocation systématique et ses relais médiatiques font partie de l’arsenal de la tentative d’exister alors que visiblement l’Europe et ses membres a choisi de négocier en ordrfe dispersé parce qu’ils n’existe aucun intérêt commun dans ce chaudron ukrainien comme dans celui des réactions aux sanctions face à la Chine.

Alors se ranger derrière le héros Zelenski, inventer que l’on défend la démocratie contre le totalitarisme, et considérer que nos ennemis sont Poutine et Xi alors même que Trump est en train même avec 10% de hausse tarifaire de nous achever est bel et bien une forfaiture.

Dans ce foutoir, la seule chose qui ait un sens c’est de rassembler le peuple français sur ses intérêts réels, refuser ce qui le divise, se battre pour des solutions qui aillent vers la réindustrialisation, la paix, la véritable sécurité et le seul qui esquisse une avancée sur ce chemin reste l’actuelle direction du PCF. Il faut l’aider au lieu de contribuer à cette débâcle, ce déclin programmé contre les « petites gens ». Les chemins par lesquel Fabien Roussel a atterri sur la nécessité d’une sécurité économique, environnementale, sociale, donc qui s’oppose à la guerre, à l’OTAN, au suraremement ne sont sans doute pas les miens, mais c’est le cas pour beaucoup… Nous sommes un puzzle dont chacun porte une pièce pour reconstituer un avenir politique dans lequel la nation est d’abord un peuple, des travailleurs et pas des spéculateurs d’actions et de pouvoirs… Et sauf d’être d’une mauvaise foi totale, il suffit d’écouter le discours de Venissieux pour mesurer qu’il n’y a en France aujourd’hui qu’une force politique autour de laquelle se rassembler.

daniele Bleitrach

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1 Commentaire

  • Bosteph
    Bosteph

    Chirac pouvait encore être considéré comme un bon président . A partir de Sarkozy, la chute commence . Et le macron (m minuscule) est lepire de tous ; l’ ennuie, c’ est qu’ on l’ a encore pour 2 ans, que c’ est un fou imbus de lui, et que rien ne garantie que « la relève » sera meilleur, bien au contraire.

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