Après le clash, Zelenski ne rentre pas rassurer son peuple ukrainien, il va directement chercher des subsides peut-être des sommes promises, auprès de Keir Starmer chez qui se réunissent ce dimanche les dirigeants européens appelés à poursuivre l’effort belliciste. Non seulement les Etats-Unis ne sont pas exclus mais ils ont toute leur place à condition de poursuivre la guerre le temps de mobiliser l’Europe dans une économie de guerre qui apportera des profits incontestables, y compris ceux que peut escompter la City et le club de Paris à l’annonce de tels orientations. C’est un combat apparemment politique mais qui est aussi celui d’oligarques réfugiés à Londres avec des affrontements y compris avec Elon Musk. Depuis une semaine, l’Europe joue en bourse contre Tesla qui a investi en Chine. La Grande-Bretagne a une histoire de leader dans le contrôle des flux financiers et elle a été capable de déployer à la fois une puissance navale et des règles du commerce atlantique qui lui ont permis de ponctionner à hauteur des richesses des pays attaqués pour entretenir la guerre. Ce savoir faire dont ont hérité les USA est aujourd’hui mobilisé et notre megalo national en est le simple et vaniteux majordome avec néanmoins un pôle d’usuriers que l’on retrouve dans toutes les crises bancaires plus l’armement le luxe et quelques autres ayant le monopole médiatique. Mais la Chine pour le moment a trouvé des parades et a même mené une bataille réussie sur Hong Kong. La spécialité de l’occident global chassant en meute derrière les anglosaxons doit être battue et il faut empêcher la guerre, leur stratégie, ou accepter leur oeuvre de mort d’escrocs minables. (note et traduction de Danielle Bleitrach)
Par XinhuaPublié : 02 mars 2025 07:27
Le Premier ministre britannique Keir Starmer (à gauche) serre la main du président ukrainien Volodymyr Zelensky en visite devant le 10 Downing Street à Londres, en Grande-Bretagne, le 1er mars 2025. (Xinhua/Li Ying)
Starmer a rencontré samedi le président ukrainien Volodymyr Zelensky en visite. Au cours de leur rencontre, Starmer a déclaré que l’Ukraine avait « un soutien total à travers le Royaume-Uni ». Il a souligné la « détermination inébranlable » de la Grande-Bretagne à parvenir à une paix durable.
Lors de leur rencontre à Downing Street, Starmer a déclaré que l’Ukraine avait « le soutien total du Royaume-Uni ». Il a souligné la « détermination inébranlable » de la Grande-Bretagne à parvenir à une paix durable.
La Grande-Bretagne et l’Ukraine ont convenu d’un prêt de 2,26 milliards de livres (2,84 milliards de dollars) pour soutenir les capacités de défense de l’Ukraine, selon le ministre ukrainien des Finances, Serhiy Marchenko.
Zelensky et Starmer, ainsi que la chancelière britannique de l’Échiquier Rachel Reeves, ont échangé un appel vidéo avec Marchenko samedi soir.
Zelensky a salué « une rencontre significative et chaleureuse » avec Starmer et l’a remercié pour le soutien que la Grande-Bretagne a montré à l’Ukraine depuis le début du conflit russo-ukrainien. Confirmant l’accord de prêt, Zelensky a écrit sur les réseaux sociaux X : « Ce prêt renforcera les capacités de défense de l’Ukraine… Les fonds seront destinés à la production d’armes en Ukraine ».
La visite de Zelensky a eu lieu avant un sommet sur la défense organisé par la Grande-Bretagne, les dirigeants européens se réunissant dimanche à Londres pour discuter d’un plan de paix pour l’Ukraine. Starmer a déclaré qu’il pensait qu’un tel accord devrait impliquer les États-Unis.
Zelensky a déclaré sur les réseaux sociaux peu avant que son avion n’atterrisse à Londres plus tôt samedi que l’Ukraine était « prête à signer l’accord sur les minéraux » avec les États-Unis, mais qu' »un cessez-le-feu sans garanties de sécurité est dangereux pour l’Ukraine » ».
La visite de Zelensky en Grande-Bretagne fait suite à sa rencontre avec le président américain Donald Trump vendredi soir à la Maison Blanche, où une présence habituelle devant un pool de presse a éclaté en un match de cris inattendu.
L’échange s’est enflammé entre les deux parties quand le vice-président américain JD Vance, a exigé que Zelensky soit reconnaissant pour les efforts de Trump pour sortir son pays de son conflit de trois ans avec la Russie.
Après l’affrontement public, Zelensky a finalement été prié de quitter la Maison Blanche plus tôt que prévu, laissant l’accord minier prévu entre les deux parties non signé.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer (à gauche) s’entretient avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky en visite devant le 10 Downing Street à Londres, en Grande-Bretagne, le 1er mars 2025. (Xinhua/Li Ying)
Le Premier ministre britannique Keir Starmer (à gauche) s’entretient avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky en visite devant le 10 Downing Street à Londres, en Grande-Bretagne, le 1er mars 2025. (Xinhua/Li Ying)
Le Premier ministre britannique Keir Starmer (à gauche) serre la main du président ukrainien Volodymyr Zelensky en visite devant le 10 Downing Street à Londres, en Grande-Bretagne, le 1er mars 2025. (Xinhua/Li Ying)

Views: 521