Les choses sont dites clairement : alors que le pitre sordide Zelenski vend les terres rares du Donbass qu’il ne possède plus puisque l’armée russe avance inexorablement, c’est la débâcle des rats qui ne voient pas encore quel boat ces people vont pouvoir prendre pour sauver eux et leurs avoirs dans les paradis fiscaux, ils n’espèrent plus que dans une intervention directe américaine puisque le peuple ukrainien, ou ce qu’il en reste, est épuisé et comme le dit l’article, 54% des Ukrainiens présentent des troubles psychologiques. Bravo les farouches qui avez voté tous les crédits militaires, vous qui ne posez toujours pas de question sur qui paye les mirages livrés à l’Ukraine, les 30 milliards de coût de cette expédition. Vous et ce parlement exhibitionniste dans l’émotion de censure. Vous qui avez volontairement confondu les républicains espagnols et les tortionnaires du Chili, tout cela au nom de l’antistalinisme. Les stipendiés de la CIA vous ont vendus des corrompus, des drogués comme s’il s’agissait de Che Guevara ou de Mendela. Comme Kamenka le flic de l’Humanité et d’autres bénéficiaires des secteurs internationaux de la gauche (Glucksmann, Cohn Bendit, etc…) même du PCF et de la CGT semblent avoir perdu leur source de financement (que va devenir l’espion du KGB aux couteux costumes et les autres experts de LCI, de quoi vivaient tous ces gens-là ?) ils ont reçu une très mauvaise nouvelle pour l’Ukraine, première bénéficiaire d’USaid avec près de 38 milliards de dollars reçus depuis le début de l’invasion russe en février 2022. Mais lisez donc ce qu’il en est de vos engouements misérables. A propos Toretsk a été nommé ainsi parce que c’est une ville minière et parce que jadis il y eut un grand dirigeant communiste français du nom de Thorez que depuis plus de trente ans on trahit comme les mêmes ont bradé la France. (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
Donald Trump le 8 février à sa résidence de West Palm Beach.© ROBERTO SCHMIDT /AFP
La Russie a revendiqué la prise d’un nouveau village dans l’est de l’Ukraine ce dimanche 9 février. Donald Trump a de son côté affirmé s’être entretenu au téléphone avec Vladimir Poutine, alors que la suppression de l’USaid annoncée par sa nouvelle administration risque d’affaiblir les ONG engagées en Ukraine.
Ce dimanche constituait le 1 082e jour de la guerre en Ukraine, qui a éclaté aux premières heures du 24 février 2022. Voici ce qu’il faut retenir de l’actualité liée au conflit en ce 9 février 2025.
La Russie revendique la prise d’un nouveau village
La Russie a déclaré que ses troupes avaient pris le village d’Orikhovo-Vasylivka dans l’est de l’Ukraine, près du bastion de Chasiv Yar, sur la ligne de front, soumis à un violent assaut des forces de Moscou.
« Suite à des actions d’attaque décisives », l’armée « a libéré le village d’Orekhovo-Vasilevka dans la région de Donetsk », a indiqué le ministère de la Défense, utilisant le nom russe du village situé à environ dix kilomètres au nord de Chasiv Yar, près de la route menant à la ville de Sloviansk, sous contrôle ukrainien. Chasiv Yar est l’une des dernières zones urbaines qui empêchent la Russie de poursuivre son avancée dans la région, selon des blogueurs militaires russes. Les troupes russes mènent actuellement une vaste offensive dans la région de Donetsk, à l’est de l’Ukraine. Vendredi, elles ont revendiqué la prise de la cité minière de Toretsk même si l’Ukraine affirme que la Russie n’en détient pas le contrôle total.
L’unité militaire ukrainienne de Khortytsia, qui se bat dans la région, a indiqué dimanche qu’elle avait repoussé des attaques dans les régions de Chasiv Yar et de Toretsk et qu’elle avait abattu un avion militaire russe près de Toretsk. Selon l’armée de l’air ukrainienne, six régions du pays ont subi des attaques de drones russes pendant la nuit. Sur les 151 drones utilisés par Moscou, Kiev dit en avoir abattu 70, et 74 ont été perdus « sans conséquences négatives ».
De son côté la Russie a revendiqué avoir abattu 35 drones ukrainiens au cours de la nuit et un autre dans la région de Leningrad, au nord-ouest du pays, dimanche matin, selon le ministère de la Défense.
Donald Trump affirme s’être entretenu avec Vladimir Poutine
Le président américain Donald Trump a dit s’être entretenu de la fin de la guerre en Ukraine avec son homologue russe Vladimir Poutine lors d’un appel téléphonique, rapporte le New York Post.
Donald Trump, qui accordait une interview depuis l’avion présidentiel Air Force One, a déclaré qu’il « ferait mieux de ne pas le dire », lorsqu’on lui a demandé combien de fois les deux dirigeants s’étaient parlé. « Il (Vladimir Poutine) veut que les gens arrêtent de mourir », a affirmé le président républicain au New York Post.
Ni le Kremlin ni la Maison-Blanche n’ont immédiatement répondu à la demande de commentaire. Donald Trump a déclaré vendredi qu’il comptait discuter avec son homologue ukrainien, Volodimir Zelenksy, la semaine prochaine. Le président américain a dit au New York Post qu’il avait « toujours eu une bonne relation avec (Vladimir) Poutine » et qu’il avait un plan concret pour mettre fin au conflit, sans toutefois fournir plus de détails.
« J’espère que cela sera rapide », a dit Donald Trump. « Chaque jour, des gens meurent. Ce conflit est si violent en Ukraine. Je veux mettre fin à cette fichue (guerre). »
Une ONG de vétérans s’inquiète de la fin de l’aide américaine
Vendredi, sur son réseau Truth Social, le président américain Donald Trump a appelé à fermer l’agence humanitaire USaid, l’accusant de fraude, reprenant les sorties du puissant milliardaire Elon Musk, qui avait accusé le plus gros pourvoyeur d’aide au monde d’être « dirigé par une bande de fous extrémistes ».
Une très mauvaise nouvelle pour l’Ukraine, première bénéficiaire d’USaid avec près de 38 milliards de dollars reçus depuis le début de l’invasion russe en février 2022. Le gel des aides, prévu pour durer au moins 90 jours, le temps d’un audit, plonge les ONG ukrainiennes dans l’inconnu.
Faute de fonds propres, la plupart ne pourront payer les travailleurs humanitaires, entraînant un arrêt immédiat d’une foule de programmes. « On était confus et choqués. Pendant une semaine, nous avons été contraints d’arrêter le travail », explique Anastassia Bounytch, 32 ans, sourcils froncés sur ses yeux bleus. « Mais nous avons directement commencé à chercher des solutions ».
Veteran Hub, dont Anastassia dirige le bureau de Vinnytsia, est l’une des rares organisations humanitaires à communiquer publiquement sur les conséquences de l’arrêt de l’aide américaine, appelant le secteur privé et les administrations ukrainiennes à la rescousse.
En réponse, la mairie de Vinnytsia a débloqué 105 000 € sur trois mois, le temps de chercher « un nouveau donateur à long terme », selon Anastassia, qui ne croit pas au retour d’USaid. La plupart des ONG se murent, elles, dans le silence, préférant attendre le résultat de l’audit américain, plutôt que de risquer le courroux de l’imprévisible administration en la critiquant.
Sur une note plus légère, les jeunes employés de Veteran Hub, qui ont échappé de peu au chômage, arborent fièrement des badges qui les félicitent d’avoir « préservé leur santé mentale en temps de crise ».
Un défi gigantesque, alors que 54 % des Ukrainiens présentent des troubles psychologiques, selon une étude publiée dans la revue médicale The Lancet, et qu’il faudra réinsérer quelque 1,2 million de vétérans actuels, et 5 millions estimés à terme. Parmi ces derniers, nombreux sont ceux à sombrer dans l’alcool.
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