Les autorités iraniennes ont insisté sur le fait qu’elles n’avaient attaqué que des cibles et des installations militaires au cours de leur opération contre Israël, une nation qui a déclenché un conflit aux proportions douloureuses au Moyen-Orient. Cuba, dans cet article de Granma, mais cela n’a rien d’étonnant de la part de communistes ne jette pas d’huile sur le feu, ne rêve pas d’extension du conflit par procuration par exemple l’éternelle chair à canon russe… ou les populations civiles… A la différence du débat entre les deux vices-présidents américains à qui l’animateur a posé une terrible question totalement mensongère : qu’est-ce que doit faire l’Amérique si Israël bombarde les installations nucléaires iraniennes d’une manière préventive pour éviter le bombardement. Watz qui a eu au Congrès des positions intéressantes n’a pu que marmonner ce que répète Harris et qui part du fait qu’il est difficile de contester ce que Biden fait. Vance lui a démontré ce qu’était l’Amérique d’abord en répondant qu’il suivrait n’importe quoi dans la mesure où un allié de l’Amérique devait être soutenu dans sa lutte contre les méchants. Alors que la seule réponse était que l’Iran n’avait pas la bombe nucléaire mais que de tels bombardements ne pouvaient qu’inciter à la fabriquer et que tout démontrait donc que cette frappe préventive était un acte terroriste ne répondant à aucune nécessité… A la limite tous les peuples y compris israélien peuvent s’interroger sur de qui le gouvernement d’extrême droite est réellement l’allié et si l’approuver et l’aider à n’importe quel prix à étendre la guerre partout y compris nucléaire relevait de quel intérêt ? Ce qui d’ailleurs interroge une certaine “radicalité” qui se réjouit de toute extension du conflit … (note et traduction de Danielle Bleitrach)
Auteur : Équipe éditoriale internationale | internacionales@granma.cu
2 octobre 2024 11:10:57
La politique de l’Iran en faveur de la paix et de la sécurité régionales et internationales prévaut face aux actions illégales et génocidaires du régime d’apartheid sioniste. Les responsables iraniens ont insisté sur le fait qu’ils n’avaient attaqué que des cibles et des installations militaires au cours de leur opération contre Israël, une nation qui a déclenché un conflit aux proportions douloureuses au Moyen-Orient.
C’est l’idée qui a prévalu dans les communiqués officiels de la nation perse. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Seyyed Abbas Araghchi, a en outre noté que l’action militaire du pays contre Israël avait pris fin, à moins qu’Israël ne décide d’« inviter à de nouvelles représailles », un scénario dans lequel la réponse de Téhéran serait « plus forte et plus puissante », a-t-il noté.
Sur le réseau social X, tôt le 2 octobre, il a expliqué que l’attaque de missiles de mardi soir sur des cibles à l’intérieur d’Israël était un exercice d’autodéfense, en vertu de l’article 51 de la Charte des Nations Unies, et qu’elle était établie « uniquement contre des sites militaires et de sécurité responsables du génocide à Gaza et au Liban ».
Il a ajouté que cette action n’avait été prise qu’après avoir fait preuve d’une « énorme retenue pendant près de deux mois, pour faire de la place pour un cessez-le-feu à Gaza ». Le Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) d’Iran avait déjà déclaré que les missiles balistiques visant les centres stratégiques d’Israël étaient une réponse aux assassinats par Israël du chef du Politburo du Hamas, Ismail Haniyeh, du secrétaire général du Hezbollah, Sayyed Hassan Nasrallah, et du commandant en chef du CGRI, Abbas Nilforoushan. ainsi que par l’intensification de ses « actes malveillants », avec le soutien des États-Unis, dans ses offensives contre les peuples libanais et palestinien, résume Hispan TV.
Aujourd’hui, le ministre iranien des Affaires étrangères a rappelé que les « facilitateurs d’Israël ont maintenant une plus grande responsabilité pour freiner les bellicistes de Tel-Aviv au lieu de s’engager dans leur folie ».
Pendant ce temps, en Israël, le ministre des Affaires étrangères Israel Katz a annoncé mercredi la décision du régime contre le secrétaire général de l’ONU António Guterres, affirmant qu’il ne condamnait pas « sans équivoque » l’opération de représailles iranienne de mardi contre Israël, rapporte l’agence de presse DW.
À cet égard, il a accusé António Guterres de soutenir les groupes de résistance dans la région, le Hamas en Palestine, le Hezbollah au Liban, Ansarolah au Yémen et maintenant l’Iran.
Vues : 70