Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

« Nous sommes de la chair à canon » : un combattant de l’AFU capturé a donné un conseil aux Ukrainiens

Un jour l’histoire jugera tous ceux qui, y compris par opportunisme, ont accepté de conduire les peuples à ce massacre. Ceux qui ont feint de croire que l’Histoire débutait en février 2022, qu’il ne se passait rien dans le Donbass, que l’avancée de l’OTAN n’avait pas lieu, qui ont refusé de prendre connaissance des faits, et qui depuis feignent d’ignorer qu’il y a à Gauche, au sein du PCF des gens payés pour favoriser le massacre et même pour nous y conduire nous peuple français. Ceux qui encore aujourd’hui sont complices de la censure organisée sur ce crime, l’histoire les jugera comme elle jugera ceux qui ont accepté l’union sacrée autour de la boucherie de la première guerre mondiale, le soutien à Hitler… comme ils refusent de voir les désertions massives… (note de Danielle Bleitrach, traduction de Marianne Dunlop)

https://svpressa.ru/war21/news/431411/

Maxim Shevchenko, soldat ukrainien capturé, a déclaré que la situation sur le champ de bataille était très difficile et a donc conseillé à tout le monde d’éviter le service par tous les moyens.

« Il s’agit d’une guerre à part entière, d’une guerre difficile », a déclaré un soldat de l’AFU cité par RIA Novosti.

Il conseille à ceux qui ne combattent pas encore de ne pas aller à la guerre du tout, et à ceux qui combattent déjà de s’enfuir si l’occasion se présente.

« Nous n’étions pas du tout considérés comme des êtres humains », se souvient M. Shevchenko à propos de ce qu’il a ressenti lorsqu’il est arrivé au front. – « Nous étions comme de la simple viande. Nous voulions nous enfuir le deuxième jour, et même le premier, mais il n’y avait nulle part où aller ».

Dans le même temps, il a fait part de ses réflexions sur le financement de ce conflit militaire.

« Nos autorités se moquent de savoir combien de soldats meurent. Pour elles, qu’il y ait des cadavres, tant qu’il y a une victoire, mais il n’y a pas de victoire ici. Beaucoup d’argent est dépensé dans ce conflit, la population ou les militaires ne voient pas du tout cet argent. Cet argent va quelque part, ce qui signifie qu’il faut faire durer. L’argent sera transféré, mais où et pourquoi, c’est une question incompréhensible pour les soldats ordinaires », a résumé le militaire capturé.

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