Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Ursula, son “féminisme” ou l’autre face de Macron le “cambrioleur qui n’est pas un gentlman”

Fabien Roussel a l’art de la formule, aujourd’hui il a dit : “C’est le plus grand des voleurs et ce n’est pas un gentleman. Il me fait penser à Arsène Lupin qui quand il détrousse les riches, laisse un petit mot sympathique, lui il a fait les urnes“, déclare-t-il sur le plateau. Avant de poursuivre : “Il y a des gens qui ont voté à gauche, nouveau front populaire, qui est arrivé en tête et qui se retrouve avec Michel Barnier. Il y a des gens qui ont même voté un front républicain pour ne pas avoir l’extrême droite et ils se retrouvent avec un gouvernement qui ne vit que grâce à l’extrême droite. Emmanuel Macron est incroyable. Vous rentrez dans l’urne avec un bulletin rouge, il ressort brun. Vous rentrez dans l’urne avec un bulletin bleu, il ressort bleu marine.” OUI c’est bien vu mais encore un effort pour mesurer que cet art du leurre est sans frontière, à l’oeuvre en Europe… En France, Macron défend la “stabilité” des institutions après les avoir achevées, mais dans l’UE, le gouvernement pratique de même et il faut voir ce que madame Ursula Von der leyen se permet au nom de la défense de la parité…

Le choix de Marta Kos comme commissaire au nom de la parité de la part d’Ursula von der Leyen, n’est qu’une des multiples manières d’utilise la fragilité des gouvernements pour leur imposer la parité pour rendre plus inextricable l’instabilité des pays concernés… Le cas de la Slovaquie mais celui de la Belgique quasiment sur place, dit les relations compliquées entre les 27 membres de l’UE, leurs candidats pour Bruxelles et la désignation d’un executif disons d’une manière qui n’a rien de démocratique comme la chère Ursula elle – même… Que vous le vouliez ou non, nous sommes dans le temps où les institutions s’écroulent et où on se croirait dans les temps de la décadence, celui d’un fascisme qui prend l’allure de l’hypocrisie et de la révélation pourtant des complicités autour du vice…

Ursula von der Leyen avec le Premier ministre slovène Robert GolobUrsula von der Leyen avec le Premier ministre slovène Robert Golob© Dati Bendo/European Union, 2024

Nous ne connaîtrons pas la composition de la prochaine Commission européenne avant au moins une semaine, en raison d’un blocage des procédures parlementaires en Slovénie.

Ce n’est pas la seule fois où la sélection d’un commissaire a causé des problèmes politiques, étant donné les nombreuses façons différentes dont les 27 Etats membres choisissent leurs candidats pour l’exécutif de l’UE. nous reprenons le texte d’ Euronews dans ses grandes lignes mais en lesur donnant un sens autre…

Ursula von der Leyen, donc la présidente de la Commission européenne, toute puissante créature, pratiquement l’équivalent sur bien des points de notre Macron, sinon que personne ne l’a élue… a demandé aux gouvernements des pays membres d’envoyer les noms de leurs candidats ; une fois qu’elle aura la liste complète, elle annoncera les portefeuilles que chacun recevra, oui oui! c’est comme ça …

En vertu du traité sur l’Union européenne, les candidats à l’exécutif européen doivent être compétents, indépendants et attachés à l’Europe, mais qui décide de la compétence et de l’indépendance, une espèce de transaction pression,menaces sur les subventions et retour de baton des marchés financiers au centre desquels l’incompétente et trés dépendante Mme von der Leyen qui toutefois est celle qui doit s’assurer qu’elle obtient des profils de qualité, car les députés européens vérifieront ces critères lorsqu’ils décideront d’approuver ou non les membres du nouvel exécutif., vu ce qu’est le parlement européen on ne craint pas beaucoup de mauvais esprits… On s’est assuré l’extrême-droite à la manière de la Meloni ou en laissant prospérer les petits arrangements comme le Rassemblement national…

La présidente de la Commission a déclaré vouloir des personnes ayant une expérience de haut niveau dans un gouvernement, dans la diplomatie ou au sein des institutions de l’UE. Comme Macron désignant Michel Barnier… ça ne mange pas de pain… De toute manière je ne sais pas ce que vous en pensez mais la période qui est celle de la chute de l’empire etasunien et ses vassaux a des allures de décadence du bas empire mais aussi celle des châteaux sadiens à la fin de la féodalité et alors qu’il était demandéé “encore un effort pour être républicain”…Il y a dans ces périodes où tout s’écroule une atmosphère décrite par Pier Paolon Pasolini en 1975, comme un écho aux horreurs chiliennes Salo ou les 120 jours de Sodome, ce film insoutenable était prévu comme le le premier épisode de saTrilogie de la mort, mais ce fut son dernier film du cinéaste, puisqu’il fut assassiné moins de deux mois avant sa sortie en salle à Rome. Il n’a d’ailleurs pas eu le temps d’en finir le montage, d’où une dernière partie écourtée , assassinat dont les motifs politiques ont toujours été supposés. Maisn ecroyez pas que je m’égare, les faits divers témoignent de l’état réel des institutions apparemment les plus respectables. Il y a la famille avec cet invraisemblable histoire d’une filière digne de Sade dans laquelle des hommes, époux respectables de tout une vie livrent leurs épouses inertes à la concupiscence de monsieur tout le monde… Etonnante histoire à laquelle il faut ajouter la chute de l’icone, l’abé pierre, le priapisme de ce saint homme du MRP, suppléant pas la charité chrétienne aux manques du service public en matière de logement et d’aide aux SDF… J’ai calculé que quand il part au Canada retrouver l’atmosphère pieuse de Maria Chapdelaine c’est en 1959… Il va y avoir de Gaulle proclamant “vive le quebec libre”… et l’abbé Pierre se conduit de telles manière qu’il est désormais interdit au Quebec… et pourtant le silence se maintient là dessus comme sur les indigènesautochtones arrachées à la famille et traitées comme des bestiaux dans d’étranges institutions dont on ne finit pas de déterrer les cadavres, … Alors que le canada accueille par les filières ecclesistastiquues les descendants non repentis de la fine fleur du nazisme ukrainien… Et répond partout du panama au mexique en passant par la Bolive cet étrange mélange de sadisme voyou et bourgeoisie pieuse corrompue avec de veritables cinglés, comme l’argentin… L’abbé ne s’améliore pas avec l’âge et vers la fin on doit l’interner dans un hopital psychiatrique… Il nya pas que l’étrange légionnaire du christ et toutes les institutions de la famille, de l’Etat et de la propriété privée temoignent de ces effondrements hypocrites…

Moi je veux bien que tous ces gens là représentent aux yeux de l’humanité toutes les vertus mais on peut avoir quelques doutes et se demander s’il n’y a pas dans l’autorecrutement quelque chose de pas très clair, surtout quand le féminsme se passe sous l’égide de madame meloni et d’autres de son espèce ? Ce n’st pas plus rassurant que la religieuse de Diderot, ce sont les mêmes milieux…

Les critères de selection humaniste d’Ursula s’étant essentiellement manifesté en faveur d’un enthousiasme sans borne pour le régime ukrainien dont déjà on sait ce qu’il doit dans ses aspects les plus fascisants à madame Nunland , qui elle proposait “funk l’Europe!” …

Bon reprenons le souci de parité de madame Ursula Von des leyen, elle s’est opposée à un certain nombre de candidats qui ne répondaient pas à ces critères, en particulier lorsqu’ils mettaient en péril son objectif de parité hommes-femmes, mais surtout quand ils risquaient de faire entendre des voix discordantes de souveraineté nationale et de refus de soutien à l’oTAN.

Le mode de sélection des candidats varie d’un pays à l’autre et devient parfois un sujet politique brûlant.

Dans le cas de la Slovénie, la candidate choisie par le gouvernement est la diplomate Marta Kos, qui n’a été officiellement choisie que le lundi 9 septembre, après un remplacement de dernière minute de Tomaž Vesel.

M. Vesel, ancien président de la Cour des comptes, avait été proposé avant l’été, une décision confirmée par le gouvernement la semaine dernière (3 septembre), avant que Ljubljana ne cède et n’accepte d’envoyer une femme. Cette volte-face a provoqué une tempête politique en Slovénie, ce qui risque de retarder encore les projets de Mme von der Leyen.

En vertu de la loi, Mme Kos doit assister à une audition de la commission des affaires européennes de l’Assemblée nationale slovène, qui était initialement prévue le 13 septembre, un avis qui n’a rien de contraignant mais qui pourrait devenir médiaqtiquement embarrassant si par hasard il se trouvait un media plus curieux que les autres.

Bien que les opinions des législateurs ne soient pas contraignantes, le président de la commission, Franc Breznik, aurait, selon les médias slovènes, menacé de retarder l’audition de deux semaines afin d’obtenir plus d’informations sur les pressions exercées par le gouvernement sur M. Vesel pour qu’il démissionne.

Le porte-parole de la Commission, Eric Mamer, a déclaré que “les événements” en Slovénie étaient la raison officielle du retard dans la présentation de la liste complète des candidats et de leurs portefeuilles, initialement prévue cette semaine (11 septembre).

L’audition de Mme Kos donne à Mme von der Leyen quelques jours de plus pour peaufiner son équipe dirigeante, notamment en raison des préoccupations des eurodéputés de gauche concernant l’équilibre entre les sexes et l’affectation des politiques, mais la menace de M. Breznik pourrait entraîner un retard bien plus important.

Dans d’autres pays, comme la Lituanie, la procédure est assez différente : le choix doit être approuvé par les législateurs, après avoir été approuvé par le Premier ministre et le président, ce qui a créé un casse-tête.

Le premier candidat en lice, le ministre des Affaires étrangères Gabrielius Landsbergis, a dû s’incliner après que le président Gitanas Nausėda, a menacé d’opposer son veto. Cette complexité pourrait bien être la raison pour laquelle Vilnius n’a pas répondu à la demande de Mme von der Leyen de présenter un homme et une femme pour le poste.

“Dans le cas de la Lituanie, nous avons une procédure de nomination tellement compliquée que pour nous, même désigner un candidat est un véritable défi”, a déclaré l’ancien Premier ministre Andrius Kubilius à Euronews après avoir été choisi par la Lituanie. “Désigner deux candidats, ce serait peut-être un résultat presque irréalisable”.

Dans d’autres pays, comme les Pays-Bas, les législateurs doivent seulement être informés de la nomination de la Commission, comme l’a fait le Premier ministre Dick Schoof juste avant de reconduire Wopke Hoekstra dans ses fonctions.

Pour certains, ce choix a été surprenant, car l’Appel chrétien-démocrate, le parti qu’il dirigeait auparavant, ne fait pas partie des quatre partis de la coalition de M. Schoof.

D’un point de vue formel, cela n’a pas empêché le gouvernement de le choisir, et M. Schoof a peut-être estimé que le fait de nommer un député sortant déjà proche de Mme von der Leyen augmentait ses chances d’obtenir un bon portefeuille.

Dans d’autres pays, il n’y a pas de consensus sur la manière de choisir le commissaire, et ce choix peut représenter un champ de mines politique.

le feminisme européen juste avant que l’on renvoie la femme à sa juste place à la cuisine, aux enfants et à l’église…

En France, le choix d’un candidat est traditionnellement considéré comme une prérogative du président, dans le cadre de sa responsabilité en matière de politique étrangère. Un de plus, on en finitpas de découvrir à quel point peu à peu le citoyen français a été depossédé de ses prérogatives. Comme l’a fait remarquer Fabien Roussel, Macron c’est “un cambrioleur” mais pas un gentlman tant il y met peu de formes… C’est ce qu’a fait Emmanuel Macron avant l’été, lorsqu’il a fait part à ses homologues du Conseil européen de son intention de renommer Thierry Breton pour le poste. Mais sa décision, s’est révélée explosive. Dans une série d’interventions enflammées à la radio, Marine Le Pen, du parti d’extrême droite Rassemblement national, a qualifié sa décision de “sorte de coup d’État administratif”, ajoutant que “c’est la prérogative du Premier ministre de nommer le commissaire européen”.

À l’époque, la France était en pleine période d’élections législatives au cours desquelles Mme Le Pen espérait que son parti prendrait le contrôle du pays. La nomination du Breton a été officialisée, peu avant que M. Macron ne choisisse Michel Barnier, un homme de centre-droit, comme Premier ministre. Et madame Le pen a trouvé plus confortable de jouer un bref temps, celui d’un vote d’un budget impopulaire qui lui préparerait le terrain pour la présidentielle tout de suite ou dans le temps normal…

Alors le féminisme de monsieur Macron, comme celui d’Ursula, c’est un peu comme la stratégie envers les services publics, on les détruit par ce qu’on présente comme un excès de “liberté” accordé aux fonctionnaires et aux usagers, et après on peut constater que cela ne marche pas et que la solution est de remettre àl’intiative privée qui elle sait gérer… On constate cette manière d’utiliser le “libertaire”, voire comme en ce moment tous les droits à un Netanayoun et ses suppots comme à toutes les comunautés pour déchaîner contre eux les démons habituels du bouc émissaire des forces conservatrices… Macron porte ce double visage jusque dans la soltude de son pouvoir et de sa camerilla…

Qu’allait-il faire avec ses gants de boxe ? On pense et la disparition de Delon nous y invite aux vestairies de Rocco et ses frères dans lesquels Hanin vient faire son marché de chair fraiche…

Qu’on le veuille ou non, le PCF et y compris Fabien Roussel avec sa gouaille c’est l’envers de cette perversité là, c’est l’émancipation des moeurs dans les conquêtes sociales, les jours heureux… Même si je soupçonne fabien Roussel dès qu’il entame un ouvrage théorique ou une analyse geopolitique, de rapidement laissertomber pour s’intéresser à une bande dessinée… Mais j’exagère, je dois dire que vu l’état de la situation il témoigne d’u courage et d’une obstination que je ne peux que partager au vu du niveau du consensus médiatique et politicien… Mais c’est incontestablement un des moins tordu du lot…

En Belgique, le choix du commissaire n’est qu’un autre élément du jeu d’échecs à quatre dimensions qui mène à la formation du gouvernement. Les élections fédérales et régionales de juin n’ont pas permis de dégager un vainqueur clair, ce qui a conduit à des négociations approfondies sur la formation d’une coalition. Au cours de ces négociations, les partis se voient attribuer des points en fonction du nombre de sièges qu’ils détiennent, qu’ils dépensent pour des postes prestigieux, dont celui de commissaire européen n’est qu’un exemple, aux côtés du Premier ministre et d’autres fonctions gouvernementales. La complexité de ce processus fait que la Belgique détient déjà le record mondial du temps passé sans gouvernement. C’est également la raison pour laquelle le pays a été le seul à ne pas respecter la date limite du 30 août fixée par Mme von der Leyen pour choisir un nom.

La Belgique a finalement choisi Hadja Lahbib, ministre libérale francophone des Affaires étrangères, comme candidate, alors que les pourparlers entre les cinq partis pour former un gouvernement fédéral ont échoué, puis repris.

Pour ceux qui imagineraient que la France est un cas particulier, nous vous économisons tous les cas dinstabilité et de blocage institutionnels de la période en attendant l’élection présidentielle aux Etats-Unis…

danielle Bleitrach

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