Être communiste dans le confus XXIe siècle est tout simplement une question d’honneur face à l’histoire.
.José Saramengo
Voici la lettre de Marcel -Bloch- Dassault qui a mystérieusement disparue alors que j’avais publiée sa photo, sans cette lettre mon texte perd son sens.
Le premier ministre norvégien à Munich a déclaré qu’un conflit avec la Russie ne débuterait pas forcément sur le plan militaire mais par une déstabilisation générale du continent européen. Je suis assez d’accord mais il y a là le simple résultat de ce qui a été semé y compris dès le plan Marshall et ce que l’on découvre être la fausse dénazification de l’Europe avec l’offensive de l’OTAN, malgré la promesse faite à Gorbatchev quand il a dissout le pacte de Varsovie. L’Ukraine a été la provocation de trop, non seulement à cause de ses liens étroits avec la Russie, les peuples totalement confondus mais l’Ukraine mosaïque de peuples dont les identités avaient été conservées et transformées en échanges culturels au sein de l’URSS ne se sont pas sentis concernés par ce conflit, ces minorités ont souvent refusé d’être enrôlées. On retrouve désormais dans toute l’Europe cette balkanisation et connaissant comme je la connais la diaspora moldave, bulgare, slovaque, hongroise, ce mélange du sentiment d’avoir été dupés par le triomphe du capitalisme, avec une nostalgie de l’URSS, et parfois de la mère Russie, me fait dire que l’exécution du pilote (qui non seulement à livré un appareil de haute technicité à l’ennemi mais a fait que les deux co-pilotes qui eux ont refusé cette traitrise subissent un traitement peu enviable dans les prisons ukrainiennes) n’a même pas besoin d’un ordre de Moscou ni d’ailleurs de l’appui des séparatistes catalans pour intervenir. Oui le continent européen a été créé par une logique de la CIA doublée des intérêts de marchés financiers et des marchands d’armes et on peut dans la poursuite de cette voie aboutir au pire. Il faut retourner à un autre sens de la nation et de ses intérêts réels dont témoigne cette lettre.
Les communistes qui partout ont essayé d’empêcher ces “éclatements” ont été les premières victimes de ces règlements de compte de la part de nationalistes plus ou moins compromis avec la CIA. Souvenez-vous il y a peu de la mort du responsable communiste de la Transnistrie, Oleg Khorjan, qui cherchait à créer des liens avec la Moldavie, elle-même avec au moins la moitié de ses citoyens qui refuse l’OTAN et se sent toujours appartenir au monde socialiste, voire à l’URSS. Une grande partie de l’émigration moldave étant en Russie.
Le fait est que si l’on veut en finir avec ce que Poutine lui-même dénonce comme la logique d’une politique totalement dominée par les services secrets et qui s’est imposée avec les intérêts des marchés financiers et des marchands d’armes comme la politique y compris du crétinissime que fut Hollande, lui-même ébloui de jouer dans la cour des grands, les Hubert Vedrine à peu près aussi confus et comme la droite avec l’ultime fleuron Macron et ses clones, tous fascinés par leur propre proximité avec l’olympe, à savoir les services secrets de la CIA et s’inventant des “niches” de superpuissants, sans peuples et sans armées pour leurs fantasmes d’exécution à disctance.
Ceux que Victor Hugo en leur accordant encore trop d’importance, décrivait ainsi à propos de Napoléon le Petit et ceux qui croient abusivement représenter l’âme d’un peuple, tous ceux qui se sont succédés et qui tels des caricatures feignent de représennter ce peuple, les glucksman et tous ceux qui ne voient qu’eux, au moins Melenchon sait parfois comme Mitterrand jouer à emprunter l’éloquence des discours des tribuns, y compris ceux qui reflétaient la simple réaction pour nous mener nulle part, avec comme seul fond l’ambition personnelle, d’autres ne connaisent même plus leurs classiques:
C’était un de ces hommes qui n’ont rien de vibrant ni d’élastique, qui sont composés de molécules inertes, qui ne résonnent au choc d’aucune idée, au contact d’aucun sentiment, qui ont des colères glacées, des haines mornes, des emportements sans émotion, qui prennent feu sans s’échauffer, dont la capacité de calorique est nulle, et qu’on dirait souvent faits de bois ; ils flambent par un bout et sont froids par l’autre. La ligne principale, la ligne diagonale du caractère de cet homme, c’était la ténacité. Il était fier d’être tenace, et se comparait à Napoléon. Ceci n’est qu’une illusion d’optique. Il y a nombre de gens qui en sont dupes et qui, à certaine distance, prennent la ténacité pour de la volonté, et une chandelle pour une étoile. Quand cet homme donc avait une fois ajusté ce qu’il appelait sa volonté à une chose absurde, il allait tête haute et à travers toute broussaille jusqu’au bout de la chose absurde. L’entêtement sans l’intelligence, c’est la sottise soudée au bout de la bêtise et lui servant de rallonge. Cela va loin. En général, quand une catastrophe privée ou publique s’est écroulée sur nous, si nous examinons, d’après les décombres qui en gisent à terre, de quelle façon elle s’est échafaudée, nous trouvons presque toujours qu’elle a été aveuglément construite par un homme médiocre et obstiné qui avait foi en lui et qui s’admirait. Il y a part le monde beaucoup de ces petites fatalités têtues qui se croient des providences.Victor Hugo, Claude Gueux, 1834.
Tous ceux qui ont voulu jouer à ce petit jeu et se sont cru investis de la possibilité d’y jouer leur rôle, je pense en particulier à Kamenka, (dans le sillage d’un “député” russe Ponomarev (1) dont nous avions mis en évidence le rôle au service de la CIA sans jamais avoir été démentis . l’Humanité et tous ceux qui ont joué le jeu du soutien à la CIA sous couvert de l’Ukraine transformée selon eux en République espagnole alors que son idéologiede guerre était celle des collaborateurs nazis pour donner sens à la russophobie aux ordres de l’OTAN. Si cet affrontement se poursuit, ceux qui en proie à l’illusion de l’irresponsabilité française se sont lancés dans ce jeu là, ne seront pas à l’abri et la France va être livrée à des nationalismes eux-mêmes jouant des jeux multiples toujours contre les intérêts du peuple et de la vraie nation française.
Il s’agit de passer à une autre conception des relations internationales et de la nation française, nous en avons l’histoire qui est peu à peu exhumée mais encore déformée, occultée.
Pour tracer cette autre perspective, Il ne reste plus que l’espoir d’une prise de conscience de la nécessité d’une autre politique que celle des services secrets, une politique basée sur l’intérêt des couches populaires et mettant en évidence les causes réelles des problèmes de la France qui n’ont pas grand chose à voir ni avec Poutine, ni avec l’immigration.
C’est pourquoi j’ai placé ce texte dans lequel Dassault (Marcel Bloch) reconnaissait ce qu’il devait à Dachau à l’organisation des communistes. On parle beaucoup d’Ambroize Croizat et il le mérite, ce métallo sorti à 13 ans de l’école qui s’est épuisé à la tâche, y est mort pour donner à la France la sécurité sociale a préféré partir au bagne plutôt que dénoncer l’URSS que les Munichois, ceux qui avaient trahi la république espagnole avait contraint à signer le pacte de non agression pour se donner le temps de se préparer à affronter la bête immonde.
Mon compagnon Pascal Fieschi, qui lui aussi avait refusé de dénoncer l’URSS, avait été interné à la centrale d’Eysses où il avait déclenché la révolte qui avait été matée par suite de la trahison des droits communs, torturé par la Gestapo il n’avait pas parlé, mais il expliquait que c’était par erreur parce qu’il avait tenu le temps nécessaire pour que la résistance se recompose sur d’autres bases et il allait parler. Ses bourreaux qui le croyaient évanoui ont dit “celui-là il ne parlera pas, on le travaille encore cinq minutes et on l’abandonne”. Il m’a dit “on peut tenir un temps que l’on veut le plus long mais à un moment on cède”. Mon ami cubain lui torturé par Batista et qui n’avait pas parlé me disait Batista c’était des rustres ils vous arrachaient les ongles, mais résister à la Gestapo c’était une autre paire de manche. Lui aussi était modeste discret et il disaitt que mes amis me connaissent et que mes ennemis m’ignorent. C’est ça un vrai combattant “ceux que l’on a désigné sous le nom de Staliniens et dont le Che disait qu’ils pouvaient mourir dans une prison obscure, iconnus de tous sans jamais trahir alors qu’ils n’espéraient même pas en la survie de l’âme, cette invraisemblable discipline qui s’est retournée contre eux quand ils ont cru à des traitres vendus à l’impérialisme et il a fallu beaucoup d’apprentissage, de travail y compris d’études pour reconstituer les partis en prenant de l’héritage ce qu’il avait de meilleur avec la conscience d’autres temps.
N’oubliez pas qu’en revanche tous ces gens “formés” durant la guerre d’Algérie et déjà la lutte contre le mouvement des non alignés trop proche de Cuba sont les mêmes, qui se sont illustrés durant la guerre d’Algérie ont été ceux qui ont formé les tortionnaires de l’Amérique latine à commencer par Barbie.
Quand on a vécu à Cuba on sait qui sont ces “vertueux” mais ce qu’on a appris à Cuba c’est à ne jamais confondre la politique de l’Etat américain avec celle des services secrets. On ne doit jamais oublier que l’on a le pire ennemi, avec ses tortionnaires très près, mais il ne faut jamais confondre ces gens-là avec le peuple américain, ni surtout transformer le peuple cubain en paranoïaque, au contraire, il faut aller toujours plus loin dans la défense de l’humanité, s’ouvrir à tous ceux qui sont prêts à vous aider. Et dans cette affaire là, le narcissisme de la politicaillerie, celle de ceux qui confondent les obsessions si douloureuses soient-elles (et je sais de quoi je parle) avec ce combat là vont dans le mur, dans les pièges multiples de ce qu’est l’impérialisme à son stade ultime sous projecteurs médiatiques quirejoint la destruction de chaque idividu avant sa répression par les forces qu’il aura accepté de voir portées au pouvoir.
Même si ceux qui voyaient en moi cette compagne de lutte et d’idéal qu’ils chérissaient m’en ont cru capable, je ne suis pas du tout convaincue qu’avec mon individualisme forcené, tempéré il est vri parr ma formation sociolohiquee et mon expérience politique d’accorder plus de poids au collectif, mais mon refus de toucher à la vie quelle qu’elle soit fut-elle celle d’un cafard que je suis incapable d’écraser et surtout mon ignorance de la résistance à la véritable torture au-delà de quelques gifles , qui m’a toujours fait envisager la nécessité d’un moyen de me suicider en cas de capture, je ne suis pas convaincue d’être de ceux qu’on appelait les “staliniens”. Cela ne se dit pas, cela se prouve …
Voilà le sens que je donne à cette lettre de Dassault à Marcel Paul. Le fils de Marcel Dassault est toujours venu célébrer la victoire de Stalingrad.
Et ceux qui ont bradé ce sens de l’intérêt de la nation pour se lancer dans des mœurs de voyous qui d’un côté liquidait toute l’histoire du parti et de l’autre suivait les bonnes œuvres de la CIA sous couvert de démocratie portent une lourde responsabilité.
Qu’est ce que l’on peut faire?
Je suis personnellement très fatiguée, la bronchite qui m’a épuisée, suivie de crises d’anxiétés très violentes, puis par une gastrite qui est à la fois liée aux antibiotiques sans la bonne vieille levure de nos grand mère, et à une tâche au-dessus de vos forces dans ce moment, est une sorte de coup de semonce : il y a ce que je peux faire et ce qui est désormais au dessus de mes forces. Ce sur qui je peux compter mais aussi ceux qui n’apportent pas la moindre aide et accablent, sans parler de ceux qui ne cherchent qu’à détruire sans proposer aucune alternative. Je reconquiert mes forces et cette reconquête exige en ce moment une prise de distance.
je voudrais ajouter que quand on se retrouve dans le véritable jeu sans pitié de ces gens là, la première chose que l’on apprend c’est moins on en sait moins on en dira sous la torture et le mépris qu’inspirent ceux qui feignent de savoir. A quel point même s’il faut cette lucidité là elle n’a rien à voir avec les conditions de la victoire sur l’impérialisme, surtout ne jamais l’imiter dans ses haines racistes, paranoïaques, antisémites. Mais dans le contexte de confusion et d’irresponsabilité des Français c’est épuisant que de tenter de les convaincre.
ça y est le diagnostid est tombé me voilà la proie d’une infection probablement liée à ma vulnérabilité sous brronchite et à une prise d’antibiotique sans les bons vieux médicaments chargés de préserver les défenses de l’organisme mis à mal par ‘l’assaut nécssaire mais complèteement oubliés.. Une vraie illustration de mon propos sur les “conquis” et ceux qui ont été oubliés….
Pourtant pour un marxiste qui a une vision veritablement scientifique l’erreur fait partie de l’amélioration de la connaissance de la réalité et donc de sa propre stratégie alors qu’elle devient pour les esprrits éttroits et dogmatiques, comme pour l’impérialisme ce qui doit être nié et transformé en une autre vérité absolue… Ce qui nous permet également de partir de nos acquis, ou plutôt de nos conquis.
Je laisse donc pour un temps indéterminé mais contraint par ma santé , la gestion de ce blog à ceux qui l’animent Marianne bien sur, Franck Marsal, Daniel Arias, et tous les autres sur lesquels nous savons pouvoir compter dans cette perspective qui est celle qui nous rassemble et nous permet même d’avoir des relations privilégiées avec des trotskistes comme ceux de WSWS déjà rencontrés avec les mêmes possibilités efffectves de dialogue en Amérique latine. Nous partageons l’idée qu’il faut impérativement à la fois avoir la même lucidité que nos camarades Cubains concernant les petits jeux de la CIA, savoir à quel point l’impérialisme des USA repose sur une vision raciste y compris de ses services secrets et dans le même temps de se laisser pièger par cette orientation fasciste et au contraire proposer des perspectives de paix et de rassemblement des forces prêtes à y contribuer.
Cette leçon des Cubains nous sommes loin de la comprendre au niveau géopolitique et nous ne mesurons pas les dangers de jouer avec ce monde là et dans quoi il vous entraine. C’est cette impuissance là qui me hante et dont je dois un temps me reposer. Marianne est d’accord.
Danielle Bleitrach
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Gérard Barembaum
Chère Danielle, je te souhaite une bonne santé et un bon rétablissement. A guit gezunt, comme on dit chez moi !
Très affectueusement.
Daniel Arias
Ils étaient communistes et membres de l’Internationale.
Aujourd’hui ils sont au Panthéon et d’autres communistes résistent et plantent à leur tour le drapeau de la Victoire dans les terres d’Ukraine dans cette terrible guerre civile où là bas aussi les fascistes détruisent et vendent leur pays à l’envahisseur, à l’occupant dont les tentacules de la collaboration s’étendent désormais dans toute l’Europe en Crise, travailleurs abandonnés au désespoir et au replis.
Que la mémoire de ces camarades internationalistes qui luttaient pour la liberté et le socialisme pour tous les peuples sous le même drapeau rouge frappé de la Faucille et du Marteau et qui chantaient l’hymne commun des travailleurs en lutte soit encore féconde dans la nouvelle génération en ces temps où le ciel s’obscurcit sous la toile patiemment tissée par l’ennemi de classe.
Que la mémoire de tous les communistes de ce temps nous éclaire dans les luttes qui viennent et nous apprenne à discerner le vrai, le juste parmi l’adversité, les tromperies et les trahisons.
Aujourd’hui on rend enfin hommage aux Camarades de l’Affiche Rouge, aux FTP-MOI au nom de Missak Manouchian.
Aujourd’hui on salit en même temps sa mémoire par la présence de l’ennemi sous tant de figures différentes, dans tous les aspects que cet ennemi avait déjà adopté dans les années 30, les commis du grand capital étaient tous là ceux qui allait servir la France sur un plateau à l’occupant, ceux qui taisent encore la souffrance et les trahisons subies par les compagnons de Missak.
Tel Celestino Alphonso, exécuté le même jour, Républicain d’un pays abandonné aux expériences de la guerre mondiale qui se préparait, République trahie par les démocraties et leurs élus imposteurs se réclamant socialistes pour mieux servir l’ennemi commun à tous les peuples.
Cet ennemi de chez nous qui donnait déjà tous les moyens à la naissance de la plus grande machine de guerre destinée à asservir toute l’Europe.
Qu’auraient pensés Celestino et Missak, s’ils avaient survécus, de l’abandon de tant de camarades de combat ? Ceux dont les pays ne seraient jamais libérés du fascisme.
Que pensent-ils de cet affront qu’on leur fait par ceux qui soutiennent aujourd’hui les adorateurs de leurs bourreaux ?
Notre Camarade même dans la mort doit encore affronter ce qui se fait de pire depuis la libération et leur sacrifice, au pire moment de notre histoire et face aux menteurs et manipulateurs les plus grossiers.
La lutte n’est pas finie, que la leur ne soit pas vaine, que le Panthéon ne soit pas le tombeau de leur idéal.
https://www.pcf.fr/discours_fabien_roussel_planque_manouchian
Beltramin Mario
Cher camarade Daniel ARIAS, ce petit mot pour te demander la permission de diffuser ton texte avec d’autres camarades ou pas.
Merci pour ta réponse qu’elle soit positive ou négative.
Mario BELTRAMIN
Daniel Ariasa
Oui bien sûr, camarade.
(N’hésite pas aussi à faire la promotion du Blog auprès de personnes qui en vaillent la peine, nous avons tous besoin de voir plus clair.)
Claire TOMADA
Merci Danielle pour ce résumé et bon rétablissement ! C’est fou comme on ne parle jamais des accords de Munich où Staline a été exclu – pour mieux lui reprocher, nous reprocher depuis 86 ans maintenant le Pacte Germano-Soviétique ! aucune honte, ni scrupule, aucun recul pour voir la poutre qui les aveugle et nourrit l’anti communisme permanent – et toujours et encore ! Oui, quelle avancée l’URSS a donné aux Communistes de l’Est comme au monde entier – avec des acteurs “inspirés” par cet idéal comme Marx, Lénine, Staline mais aussi Fidel, le Ché, Angela D., Martin L.K, Nelson Mandela … et nos FTP et FTP-MOI, les Communistes en général avec leur idéal chevillé au ventre, dont l’Humanité, l’idéal, l’espoir élargissaient le champ du possible, jusqu’à en mourir ! Comme on a régressé depuis la chute du mur – j’ai haï longtemps Gorbatchev à la botte du monde occidental – jusqu’à ce qu’il regrette son aveuglement, sa bêtise avant de mourir – mais trop tard ! Même imparfaite cette URSS faisait rêver, donnait un idéal et nous poussait à avancer – Il fallait la casser et redonner au Capitaliste les manettes du monde et la marchadisation de la Classe Ouvrièren épuisée, malmenée et quelque fois “décérébrée” dans ces choix politiques. Je suis nourrie de cette histoire par ma famille et je rend aussi hommage à mon père FTP Communiste anti fasciste d’origine italienne et à ma mère Résistante d’origine espagnole, dénoncée à la gestapo et qui s’est sortie de leurs griffes … merci à vous mes parents chéris, merci à tous les Camarades qui n’ont jamais trahi leur idéal.
Bon rétablissement ma Camarade. Claire TOMADA