Des titres de la presse françaises indiquaient hier que les armées russes recevaient des tournées d’artistes et en particulier de clowns. Il était selon la bonne habitude de cette presse noté que c’était bien sur parce que l’armée russe était écrasée par ses défaites. En revanche, ce genre d’information que l’on trouve dans la presse vénézuélienne n’a absolument pas la moindre chance d’apparaître chez nous pourtant elle montre que Zelensky qui continue à accumuler des proprietés dans divers domaines dont les médias, n’a pas renoncé à faire le pitre dans sa spécialité la haine raciale en désignant non seulement les Russes mais ses propres concitoyens. (note et traduction de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
17/décembre 2022
L’Église orthodoxe ukrainienne sous le Patriarcat de Moscou a déposé une plainte à la police contre la société de production télévisuelle Kvartal 95, fondée par le président ukrainien Vlodymyr Zelensky, pour incitation à la haine religieuse, arguant que des commentaires offensants sur l’institution ont été faits lors d’une récente émission humoristique.
Dans l’un des derniers épisodes de l’émission: Bayraktar News, qui vise à couvrir l’actualité nationale de manière humoristique, les acteurs qui jouent le rôle de présentateurs ont parlé des récentes perquisitions dans les locaux de l’Église orthodoxe ukrainienne menées par le Service de sécurité de l’Ukraine sur des soupçons de liens avec la Russie.
Au cours du programme, les acteurs ont énuméré une sorte de liste de prix dans laquelle le coût des différentes formes d’humiliation pour le clergé de l’institution religieuse était indiqué.
Ainsi, la liste comprenait des actes tels que cracher sur un prêtre de l’Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Moscou pour 20 hryvnia, 0,55 $ ou le frapper sur la joue gauche et automatiquement la droite pour 100 hryvnia, 2,73 $. La scène se termine par la phrase : L’expulsion du Patriarcat de Moscou d’Ukraine n’a pas de prix, en référence au slogan publicitaire bien connu de la carte MasterCard.
Le programme a provoqué une vague d’indignation parmi le clergé et les fidèles de l’Église. À son tour, le service juridique de l’institution religieuse a demandé à la police d’ouvrir une enquête. Selon un communiqué officiel publié jeudi, le chef du département considère que les actions de Kvartal 95 non seulement offensent les sentiments des croyants, mais créent les conditions préalables à un conflit civil, car elles qualifient les prêtres de l’Église orthodoxe ukrainienne d’ennemis du peuple.
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