Le président ukrainien Vladimir Zelensky a accompagné ses félicitations à la nation pour le Jour de la Victoire sur l’Allemagne nazie avec une photo d’un soldat ukrainien portant l’un des symboles du nazisme. Nos médias peuvent bien transformer ZELENSKY en un héros de la liberté et les oligarques corrompus, leur bataillons de brutes tortionnaires en gentils héros de la liberté, il n’en reste pas moins une manière bizarre de vouer aux insignes nazies une étrange dévotion. Mais l’explication la plus extraordinaire que j’ai entendue pour justifier ce goût pour des décorations compromettantes a été que la réputation des régiments néonazis (AZOV n’est pas le seul loin de là) est telle que les jeunes ne veulent s’engager que dans ces corps “d’élite” et les breloques en sont la réclame innocente bien sûr…
Sur l’image publiée sur un compte officiel de ses réseaux sociaux, on voit un homme en uniforme devant une arme d’artillerie lourde portant sur sa poitrine l’insigne de l’unité Totenkopf. Ce symbole représentant un crâne avec des os croisés était la marque de l’une des divisions de la Waffen SS ainsi que de l’organisation SS responsable de l’administration des camps de concentration.
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marsal
Je crains que ce ne soit pas seulement Zelensky, mais une tendance plus profonde de nos vieilles sociétés européennes. Il y a nombre d’éditions, de films qui sont très ambigus et véhiculent depuis plusieurs années un intérêt (à mon avis) malsain pour le nazisme. Ce qu’on a vu à nouveau les 8 et 9 mai est encore plus inquiétant, cette torsion de la mémoire où on réécrit l’histoire, en suscitant énormément de confusion. La banalisation des nazis ukrainiens, la glorification insensée des nazis de Marioupol est un palier supplémentaire très inquiétant dans une tendance globale qui monte depuis plusieurs années.
Xuan
Banalisation qui aboutit à faire de l’Eurovision une tribune politique du Kalush Orchestra désigné victorieux avant le concours, et qui a crié « Aidez Azovstal, en ce moment », avec l’appui enthousiaste des néonazis du bataillon Azov terré dans ses caves, et de l’OTAN.
A propos de ce trou à rats et du lien avec l’OTAN, le Daily Express rapporte que trois ex-militaires britanniques sont à l’usine d’Azovstal, selon un autre soldat du Royaume Uni
« J’étais avec quelques Canadiens et je n’ai plus entendu parler d’eux jusqu’en mars, lorsque j’ai reçu un rapport selon lequel ils se trouvaient dans une usine sidérurgique de Marioupol ».
L’usine abrite un Britannique grièvement blessé qui combat dans l’est de l’Ukraine depuis 2014. Il est également rapporté que les combattants de la résistance à l’aciérie d’Azovstal ont de la nourriture et de l’eau, mais surtout ils sont préoccupés par le manque de munitions. Cependant, ils ont été avertis de garder des munitions pour eux-mêmes, car « personne ne veut être capturé », écrit le journal.
L’assistant de Kadyrov a rapporté également la mort de sept mercenaires des États-Unis dans le Donbass
Originaire de Washington, Joseph Ward Clark et six autres citoyens américains qui ont combattu aux côtés de l’Ukraine dans le Donbass, sont morts sur le territoire de l’usine Dye dans la ville de Rubezhne.
« Le citoyen américain dont nous parlons, Joseph Ward (Clark), son passeport est également avec nous. En fait, il s’est opposé à nous à l’usine dye, a essayé de nous résister. Probablement, cette unité était considérée comme des forces spéciales. Si j’ai bien compris, il y avait sept Américains. Ils ont été enregistrés par nous et tous partis pour un autre monde, laissant derrière eux Javelin, des documents et leurs armes ».
Le réseau a obtenu une photo de son passeport indiquant que Clark est né en 1987 à Washington.
Le porte-parole du département d’État, Ned Price, a prétendu que Clark était vivant et en sécurité.