PS: JE SIGNALE QUE l’Université de Chypre, Leondios Kostrikis, a confirmé samedi l’apparition de Deltacron, une nouvelle variante du Covid-19 qui combine la variante Delta avec l’Omicron. TOUS LES DESESPOIRS SONT ENVISAGEABLES concernant CETTE SOUCHE QUI EXIGERAIT UNE HOSPITALISATION IMMEDIATE… CE QUI FAIT QUE LA SEULE VRAIE QUESTION QUE CES PROVOCATIONS VEULENT EVITER EST CELLE DES MOYENS DE L’HÔPITAL PUBLIC…
Grâce à l’analyse des eaux usées, les marins-pompiers de Marseille mettent en évidence la propagation du variant Omicron dans de nombreuses zones de la ville. Et ce, alors même que le variant Delta reste très présent. C’est une sorte d’illustration de cette ville de la coexistence sous le parrainage du “professeur RAOULT”, de ses amis de tout le spectre politique, où l’on voit l’extrême-droite alliée aux gauchos de la FI, plus les bobos verts amis de la nature au point de préférer les virus aux humains, tous ces gens qui non contents de refuser la protection des vaccins deviennent agressifs dans les transports en commun et dans les salles fermées au point d’attaquer les pauvres gens qui veulent simplement être normaux, et respecter le port du masque, les gestes barrières, le tout sous le regard complaisant d’une police d’extrême-droite corrompue traquant le basané et laissant les antivax agir en paix… Les sous-produits d’une sociologie et autre psychologie en crise justifiant ce désastre libertaire liberticide …. En toile de fond l’émission de HANOUNA, touche pas à mon poste devenant le haut lieu des proclamations scientifiques et des pugilats poiticards… je ne reviens pas sur le dérapage calculé de MACRON… Moi si j’étais lui je ne parlerai que de ça puisque c’est la seule chose de lui sur laquelle il emporte une majorité aussi considérable…
L’hypothèse optimiste à laquelle nous sommes tous suspendus, du passage d’une pandémie à une endémie, à savoir un virus avec lequel il faut apprendre à coexister comme OMICRON suppose de multiples armes, le vaccin,les gestes adaptés en hiver surtout, une pédagogie collective calme et respectueuse des autres… Pourquoi un tel cirque de politiciens, des défilés provocateurslibertaires, liberticides, qu’est-ce que toute cettebande de pitres cherche à éviter?
Le fait que L’essentiel est l’état de l’hôpital et ils sont nombreux à l’avoir détruit. Un système de santé qui a fait s’effondrer l’hôpital public au profit des cliniques privées, ce qui est un vieille option de la droite marseillaise alliée avec FO… viva la MUERTE… Souvenez vous de l’affaire Lucet suicidé de deux balles dont la première était mortelle, qui avec les “patrons” médecins marseillais du RPF a inauguré ce pillage, cette mise à SAC de l’hôpital public, ils sont encore là, toujours aussi démagos, populistes pour leurs seul profit individuel, de RAOULT à MELENCHON et ses sbires, MUSELIER, VASSAL, RUBIROLA, pas un pour sauver l’autre et MACRON venant périodiquement les VISITER en jouant le sauveur… Personnellement j’ai renoncé à espérer quoi que ce soit de ces gens-là, et j’aimerais qu’on entende ROUSSEL… je fais de longues promenades en évitantles transports publics et ça me fait beaucoup de bien… Et je fraternise avec la quasi totalité des MARSEILLAIS qui en a marre de ces gens-là, en espérant en la raison humaine et en un minimum d’ESPRIT COLLECTIF … POUR SE BATTRE ENSEMBLE POUR DES MESURES D’URGENCE Pour l’ECOLE ET L’HOPITAL, loin de tous ces provocateurs et là je suis prête à défiler avec ceux qui se battent pour sortir de tout ça. (note de Danielle BLEITRACH)
“On est passé de 2% ou 3% à 20%”. En une semaine, le variant Omicron s’est installé à Marseille et représente désormais, en moyenne, un cinquième des contaminations au Covid-19. C’est ce qu’indiquent les nouvelles données des marins-pompiers, analysant tous les jours les eaux usées de la ville.
Lundi, deux nouvelles cartes indiquant la présence du variant Omicron (jaune) et celle du variant Delta (rouge) au 27 décembre ont été partagées sur les réseaux sociaux.
Le variant Delta présent à un niveau “exceptionnel”
La première carte illustre la présence du variant Delta à Marseille et ses environs. La couleur dominante, le rouge, indique qu’il est présent à un niveau “très élevé” dans la majeure partie de la ville, et jusqu’à Aubagne, Roquevaire, Peypin, Plan-de-Cuques ou encore Septèmes-les-Vallons.
“On est très très haut en variant Delta. On a l’impression d’être sur un pallier depuis 2, 3 jours”, explique le contre-amiral Patrick Augier, chef du bataillon des marins-pompiers de Marseille.
Certaines zones, rouge foncé, indiquent la présence du variant Delta à un “niveau exceptionnel”. Une nouvelle couleur que les marins-pompiers ont dû ajouter cette semaine.
Cela concerne notamment le Sud de Marseille : le quartier de la Pointe-Rouge, mais également la zone autour du port autonome. Des quartiers correspondant aux premières zones d’implantation du variant Delta.
Concernant la souche initiale, elle n’apparaît plus dans les analyses des eaux usées, ou en proportion trop infime pour être détectée.
Le variant Omicron “commence à bien s’installer”
La deuxième carte montre la présence du variant Omicron. “Cela fait trois semaines qu’on le voit apparaître”, explique Patrick Augier. La semaine du 13 décembre, il ne représentait que 2% ou 3% des cas de Covid détectés, et ce dans neuf secteurs.
Aujourd’hui, le variant Omicron commence à s’implanter un peu partout, notamment au bord de la mer, dans l’ouest de la ville. S’il n’est encore qu’à un niveau modéré, environs 20% des contaminations en moyenne, sa présence a décuplé en quelques jours, indiquent les marins-pompiers.
Dans certains secteurs, oranges sur la carte, sa présence se renforce à un niveau “élevé” et dépasse les 20%. Des zones correspondant aux premiers lieux de détection du variant Omicron… et à celles où le variant Delta est le plus présent.
“Cela peut être lié aux voyages, aux mouvements de population”, suppose le contre-amiral Augier. Le variant n’a pas encore été trouvé du côté d’Aubagne, à l’Est. Mais si la propagation du variant Omicron suit celle du variant Delta, cela pourrait n’être qu’une question de jours.
Un cluster Omicron en Ehpad
Les marins-pompiers veillent en particulier sur les personnes sensibles et surveillent en conséquence avec application les eaux usées des Ehpad. Un cluster Omicron a récemment été identifié dans une maison de retraite de la Pointe-Rouge.
Sur 56 résidents, sept personnes contaminées ont été isolées pour limiter la propagation. “On surveille les 120 Ehpad de notre secteur. Si on trouve un cas, on fait tout ce qu’on peut pour limiter la casse et protéger les personnes fragiles”, explique Patrick Augier.
La crainte d’un “pic dans le pic”
Pour Patrick Augier, la principale crainte serait de voir une montée d’Omicron, comme cela semble se dessiner, alors que le pic du variant Delta n’est pas passé. “C’est l’interrogation. Est-ce que le variant Delta va descendre et être remplacé par Omicron”.
Dans le cas contraire, les deux pics pourraient se superposer. Ce serait le signe d’un nombre de cas très important… et d’une situation critique. “L’année dernière, on a eu une reprise épidémique à compter de début janvier. Là, on est déjà au pic, on ne sait pas ce que cela va donner”, redoute Patrick Augier, rappelant qu’un pic dans les eaux usées précède habituellement de 10 jours un pic dans les hôpitaux.
Cette année, les chiffres de l’épidémie explosent en France et notamment dans la région Paca. La venue de touristes, le déplacement des familles pourraient véhiculer le variant Delta et favoriser la propagation du virus.
Pour identifier rapidement les zones où Omicron se développe, les marins-pompiers poursuivent leur surveillance quotidienne. “L’analyse des eaux usées permet d’obtenir une photographie complète parmi les gens testés, non-testés, asymptomatiques, malades…(…) On peut ainsi voir si son quartier est touché, et donc se tester pour limiter la propagation”. Des autotests sont depuis ce mardi disponibles dans les supermarchés. La question de la responsabilité individuelle est alors en jeu.
Le variant Delta va-t-il finir par décroître ? La carte du variant Omicron va-t-elle virer au rouge ? Les inconnues demeurent, pour l’instant. Si en Afrique du Sud, Omicron est en train de chuter, il ne faut pas oublier qu’à l’autre bout du monde, c’est l’été. La situation est tout autre en Europe.
Vues : 176