Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Aujourd’hui est pour moi un jour à marquer d’une pierre blanche

l’étau qui nous enserrait tous la poitrine à l’idée de ce qui était tenté pour destabiliser Cuba s’est un peu desserré… l’ÏLE DE LALIBERTE garde son nom et son peuple, ses dirigeants exemplaires ont encore donné au reste du monde une leçon de dignité, de courage, une leçon politique au sens où nous l’entendons et qui malheureusement semble ne plus exister sous nos climats.

Rien n’est joué et la lutte ne se relâche jamais mais c’est plus facile quand elle a un sens et que nous tirons tous ensemble vers lemême but … Merci CUBA…

Merci pour la rentrée scolaire de tes enfants, propres, bien nourris dans un des systèmes éducatifs les plus perfectionnés du monde, merci pour cet art de répondre aux vendus et corrompus par une danse dans un parc dédié à don Quichotte.

ET il n’y a pas que Cuba, il y a eu ve même jour cettediscussion entre Xi-BIDEN,les USA contraint à un dialogue de paix par la détermination d’un autrepeuple et ses dirigeants en symbiose. laChine, cette immense et vieille civilisagtion, qui au milieu du siècledernier était au niveau actueldu zimbawe et qui est désormais au niveau des USA et ce par le seul travail de son peuple, sans piller personne La Chine garde la cap sans prétendre imposer rien àpersonne simplement en exigeant le respect mutuel en cherchant ce qu’il est possible de faire ensemble pour sauver la planète et ses habitants, tous…

OUI les luttes et l’espérance sontvenus de siloin que remonte l’humanité, elle a créé les pyramides et ses artisans se mettaient déjà en grève… l’or c’était leurs mains…

le socialisme, la direction d’un parti communiste a toujours signifié le choix de la paixparce que c’est le seul système qui à ce jour repose réellement sur la direction populaire, sur les classes qui n’ont pas intérêt à la guerre et c’est un peu un instant devictoire qui est là àCuba, en Chine et aussi dans ma chère Russie qui reste aussi révolutionnaire, marquée pour toujours par ce bolchevisme née de son immense courage, autant que notre societé à jadis pu l’être par les idéaux de la Révolution française…

le socialisme mis en oeuvre par des communistes est celui qui croit dans les progrès, les sciences et les met au service des plus faibles, mobilise l’intelligence pour qu’elle soit une muraille autour de ceux qui ont besoin le plus de sécurité pour s’épanouir, femmes, enfants,vieillards et la véritable dignité, beauté, a besoin de cette force collective, c’est la grande certitude de ma vie, de tout ce que j’ai appris, partagé etce que je trouve dans les oeuvres que j’aime autant que dans les regards, les rires de tous.

Voilà je suis une vieille dame qui a eu une vie magnifique grâce à une utopie parfaitement matérialiste et réaliste et aujourd’hui je suis heureuse de ce qu’onT réalisé pour nous nos camarades Cubains, Chinois, Russes et je leur dis encore à tous merci …

DANIELLE BLEITRACH

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3 Commentaires

  • Renaud Bernard
    Renaud Bernard

    Verrons-nous un jour le drapeau rouge flotter de nouveau sur le Kremlin ? Le croire serait un acte de foi si cet espoir signifiait le retour d’une situation antérieure demeurée intacte, sans l’impact de ce qui s’est passé depuis. La raison, non plus la foi, nous dit que ce n’est pas possible. Le régime de la Russie a changé, mais aussi sa superficie, son nom, sa structure fédérale. Il y a maintenant les Russes, il n’y a plus les Soviétiques.

    La nostalgie n’est pas révolutionnaire. Rêver à un âge d’or révolu, même si des héros s’y illustrèrent, n’aide pas à concevoir le socialisme du futur. Ce socialisme ne demande pas du rêve, il demande de l’intelligence politique, c’est-à-dire la capacité à anticiper sur le long terme, en tout cas à plus long terme que les autres penseurs de la politique. Comparés à eux, il est du devoir des communistes de montrer leur supériorité sur ce plan. S’ils n’y réussissent pas leur projet sera compromis, voué à la défensive. Aussi leur attention doit être protée sur les compétences des hommes chargés de le concevoir et de le construire.

    Leur intelligence est nécessaire au socialisme réel de notre époque, qui devra savoir évoluer, sans offrir de prise à l’amertume. Sur ce plan les Chinois montrent chaque jour la pertinence de leur ligne. Probablement les Américains, les rivaux d’en face, ne manqueront pas non plus de ressources humaines – aucun peuple n’en est dépourvu, et les Américains sont, quoi qu’on dise, un grand peuple même si l’origine de leur civilisation est plus récente que la chinoise. Si cette compétition demeure pacifique, ce qu’on ne peut que souhaiter, cela permettra à la coexistence entre les deux régimes de prouver la supériorité du socialisme dans le cadre de la paix entre les nations. Y en a-t-il de meilleur ?

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    • Daniel Arias
      Daniel Arias

      L’histoire du capitalisme et en particulier sous sa forme impérialiste a prouvé qu’il ne peut y avoir de coexistence pacifique.
      La concurrence se fait par prédation, avec un vocabulaire guerrier dans les conseils d’administration des grande entreprises.
      Rachat d’entreprises concurrentes soit pour les piller ou pour simplement les détruire.
      C’est le cas pour de nombreuses PME en France.
      Le pacifisme du capitalisme nous le voyons dans la pandémie et le refus de pfizer de libérer la production du vaccin de la contrainte archaïque du brevet.
      Dans la superstructure l’Etat capitaliste la force est employée pour soumettre des nations souveraines comme ce fut le cas déjà au Japon sous la canonnière du commander Perry.
      Comme c’est le cas plus récemment avec les guerres “hybrides” Syrie, Libye, Ukraine, Biélorussie.
      Sans oublier la grande boucherie de 14-18 prolongée jusqu’en 45, là encore financée par la grande bourgeoisie et appliqué par l’Etat privatisé.
      C’est aussi la guerre menée à l’Université pour mettre la recherche au service des entreprises et non plus au service des peuples.
      Ces peuples qui vivent quotidiennement la guerre brutale armée, où plus subversive psychologique.
      La consommation d’anxiolitique, de drogues de toutes sortes, les dépressions liées aux conditions de travail et de vie ce sont pas des manifestations d’une société pacifique.
      Il y aura la paix quand l’antagonisme de classes aura disparut, à la victoire définitive et totale du socialisme.

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      • Renaud Bernard
        Renaud Bernard

        Oui tout à fait, on peut même dire que l’histoire est tragique. L’histoire tout court, sans qu’il y ait besoin d’ajouter qu’il s’agit de celle du capitalisme. L’histoire se déroule depuis que l’homme existe et sa dimension tragique, en particulier guerrière, est attestée depuis la nuit des temps. La question, toujours ouverte, étant de savoir si son origine est liée à la nature de l’homme, ou si au contraire elle est liée à l’économie, c’est-à-dire la production et l’échange.

        Dans l’attente du moment heureux où ce débat sera tranché, il serait déjà beau qu’il puisse se dérouler librement, les tenants de chaque thèse usant du droit d’exposer leurs arguments respectifs sans contrainte. Il suffit, pour qu’il existe a minima et de façon satisfaisante, que deux personnes douées de la capacité de s’exprimer se parlent sur ce sujet, sans haine et sans crainte. Or le langage articulé est un attribut très ancien de l’espèce humaine.

        Ancien ce n’est pas peu dire. Les stratèges des temps les plus reculés y ont eu recours, parmi les autres locuteurs, pour échafauder leurs plans de victoire puis pour les expliquer à leurs chefs politiques et à leurs soldats, enfin pour négocier un traité de paix avec l’ennemi.

        Les archéologues datent les plus anciens conflits armés du néolithique. Un site fouillé dans le Rift, vieux de 10 000 ans, sur le territoire de l’actuel Kenya, est donné pour le champ de bataille plus ancien connu. Face à une telle profondeur historique, et même ici préhistorique ou du moins protohistorique, imaginer une humanité sans conflits armés est a priori de l’ordre de l’utopie.

        La révolution néolithique a-t-elle marqué l’apparition des guerres ? Elle a en tout cas marqué l’apparition des stocks, objets de convoitise. Ils constituaient dès lors des enjeux, le casus belli en dépendant. Un mécanisme venait de s’enclencher qui perdure encore aujourd’hui.

        Les Etats modernes, titulaires de la violence légitime, dotés d’armées permanentes, et qui ont tous ou presque une économie de marché, c’est-à-dire en clair le capitalisme, sauront-ils mettre en œuvre une paix fondée sur le droit et non plus sur la dissuasion ? L’analyse marxiste leur dénie, à juste titre, la capacité de le faire, sur une base scientifique. Son application exige, pour résoudre les problèmes économiques du capitalisme, un changement de régime politique.

        Il faut alors avoir le courage de l’affirmer clairement : la paix définitive à l’échelle de l’humanité entière exige que toutes les nations adoptent le régime socialiste et abandonnent le régime parlementaire. Il faudra démontrer que celui-ci, malgré le consensus favorable dont il est l’objet – même le PCF s’y est rallié – n’a que l’apparence de la démocratie et que le vrai pouvoir du peuple est advenu seulement lorsque le parti communiste assume la charge du pouvoir et qu’aucune opposition ne peut permettre un retour à l’ordre ancien. Cela au demeurant ne supprime pas la liberté d’expression. La détestation, répandue dans l’opinion publique, de tout régime fondé sur le principe du parti unique ne doit pas être perçue comme un obstacle rédhibitoire. Ce principe doit au contraire être défendu résolument et prioritairement, comme le font par exemple les Cubains et les Chinois. Lui seul peut garantir l’avènement du socialisme, donc de la paix.    

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