« Mais on peut toujours se réjouir qu’il ait pu avoir lieu après deux ans d’interruption » Ce qui est frappant et comme un écho à la conférence de Poutine que nous publions par ailleurs, c’est le fait que l’Italie conservatrice reconnaisse le rôle essentiel joué dans la tempête par la Russie et la Chine dont les deux leaders sont désormais au-delà de toute propagande des facteurs d’équilibre et de dialectique dans les changements qui apparaissent plus subis que voulus. Les Etats-Unis et le capitalisme même dont ils sont porteurs, le néolibéralisme apparaissant a contrario comme le lieu de tous les dangers. (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoire et société)
–Rédaction De L’ANSA VÉRONE 29 octobre 2021 10:32 NOUVELLES
(ANSA) – VÉRONE, 29 OCTOBRE – « Le G20 est un événement formidable mais il tombe à un moment malheureux.
Il n’y a pas de participation directe de Vladimir Poutine et Xi Jinping car le Covid fragmente les règles du monde mais c’est quand même bien que cela ait pu se faire au bout de deux ans.
Bien sûr, si le G20 avait bénéficié de la présence physique de Poutine et de Xi, il aurait pu avoir des avancées : dans les réunions internationales, la présence physique est vitale, les 2/3 des choses se passent dans les couloir, la politique est faite de contacts, de se regarder dans les yeux ». a déclaré Romano Prodi lors du Forum économique eurasien de Vérone. (ANSA).
Vues : 160