Je vais essayer d’aller suivre ce procès qui a lieu à Marseille si on me laisse entrer. Ce matin j’ai insulté mon infirmière raciste, enfin qui dénie être telle mais qui refuse d’écouter Fabien Roussel mais qui voulait absolument me parler d’un reportage sur le trafic de cigarettes à Marseille et les juges obligés de relâcher un mineur ou supposé tel, un sans papier venu du maghreb. Elle avait la haine et comprenait tellement bien les israéliens obligés d’en finir avec la racaille “terroriste”. Elle n’était pas raciste, disait-elle, mais elle avait honte d’être française parce qu’on n’était pas assez sévère avec “ces gens-là”! Voilà où en est la France? Faute d’une conscience de classe… Cela fait plus de trente ans qu’on la détruit et qu’en violation des faits les petites gens sont persuadés que la justice est laxiste, que le grand banditisme lié aux mafias du grand capital, les trafics d’armes et de drogues sont de la petite délinquance et basanée, l’exploitation des travailleurs agricoles ils s’en foutent. Est-il possible de refaire le terrain, je l’ignore ? (note de Danielle Bleitrach par histoireetsociete)
ACTUALITÉpar Hélène Servelle 17 Mai 20210
Du 17 au 21 mai, le tribunal de grande instance de Marseille reçoit un procès qui pourrait faire date dans l’histoire de l’agriculture française. L’entreprise espagnole Terra Fecundis y sera jugée pour exécution de travail dissimulé et marchandage de main-d’œuvre illégale, le tout en bande organisée.
112 millions d’euros de fraude à la Sécurité sociale, des charges en bande organisée de travail dissimulé avec dissimulation d’activités, dissimulation de salariés et marchandage de main-d’œuvre. Voilà ce qui attend à partir de ce lundi Terra Fecundis, l’entreprise de travail temporaire espagnole basée à Murcia, devant le tribunal de grande instance de Marseille.
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