Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Aujourd’hui 25 avril, à Marseille, à 14 heures, en bas de la Canebière, on dit NON au blocus….

Supprime le Blocus c’est aussi un virus (+Vidéo)

Le 23 juin, Cuba examinera à l’Assemblée générale des Nations Unies (FNUAP) la nécessité de mettre fin au blocus économique, commercial et financier imposé par les États-Unis d’Amérique contre Cuba. A Marseille, nous avons décidé avec l’ensemble des organisations de solidarité et des Cubains de faire monter en puissance la dénonciation du blocus. Le vrai problème est que la plupart des français ignorent l’existence de ce blocus, ils pensent qu’il s’agit de mesures sans importance et il y a tout un travail à recommencer à la base pour faire connaître la réalité. Parce que la quasi totalité des médias en France ne mène pas ce combat et les Français n’ont aucune raison de connaitre ces terribles conséquences. Les Français sont persuadés que ce sont les Russes, les Chinois qui menacent et veulent envahir, ils ignorent ce qu’est le rôle réel de l’OTAN et de l’impérialisme des États-Unis. Mais comment expliquer qu’une superpuissance s’acharne sur une petite île depuis tant d’années, alors on organise le silence sur la torture infligée au peuple cubain. Il faut donc que les organisations coordonnent leurs efforts et reprennent un travail en commun à la base, aillent dans les médias dire ce qu’il en est. C’est ce que nous avons décidé de faire à Marseille… Ce dimanche 25 avril, nous serons à 14 heures devant le Palais de la bourse au bas de la canebière pour continuer ce travail de sensibilisation. (note de Danielle Bleitrach pour histoire et société)

Auteur: Liz Conde Sánchez internet@granma.cu

Auteur: Susana Antón Rodriguez susana@granma.cu

Auteur: Nuria Barbosa León internet@granma.cu

24 avril 2021 00:04:16

Le 23 juin, Cuba examinera l’Assemblée générale des Nations Unies (APNU) comme la nécessité de mettre fin au blocus économique, commercial et financier imposé par les États-Unis d’Amérique contre Cuba, a annoncé jeudi, sur son compte Twitter, le membre du Bureau politique du parti et ministre des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez Parrilla.

En partageant, sur le même réseau social, le message de la chancelière, du premier secrétaire du Parti et président de la République, Miguel Díaz-Canel Bermúdez, a déclaré que , « si en plus de six décennies cette politique cruelle a causé des carences à la famille cubaine, au cours de la dernière année, au milieu de la pandémie, elle a cherché presque à nous étouffer ».

Dans son tweet, Rodríguez Parrilla a affirmé qu’une superpuissance harcèle une petite île, la forçant à combattre une terrible pandémie et un blocus qui inflige des dommages humains et économiques. « Comme le virus qui provoque cette pandémie, le blocus américain étouffe et nuit à la famille cubaine », a-t-il dit.

Selon le rapport que l’archipel présentera dans le FNUAP, les dommages généraux cumulatifs causés par la mise en œuvre de l’agression unilatérale s’élèvent, aux prix actuels, à 144 413,4 millions de dollars. Compte tenu de la dépréciation du dollar par rapport à la valeur de l’or sur le marché international, le blocus a causé des dommages mesurables de plus de 98 milliards de dollars.

Au cours de la période caractérisée par les retards sociaux et économiques de la pandémie covid-19, les nombreux règlements et dispositions publiés par le gouvernement américain contre Cuba pour renforcer le blocus économique ont atteint des niveaux sans précédent d’hostilité, s’ajoutant à un total de 243 sanctions imposées contre notre nation par l’administration de l’ancien président Donald Trump.

Uniquement liée à la privation pour faire face à la maladie mortelle du sars-cov-2, la politique de sanctions illégales a empêché le peuple cubain d’acquérir des ventilateurs pulmonaires mécaniques, des masques, des kits de diagnostic, des lunettes de protection, des combinaisons, des gants, des réadageurs et d’autres intrants nécessaires à la gestion de la maladie.

Lors de la présentation du 8e Rapport central. Le Congrès du parti, le général raul Castro Ruz, a qualifié le blocus américain de « guerre économique la plus complète, inégale et la plus longue jamais menée contre une nation ».

Pour sa part, le Premier Secrétaire élu du Comité central du Parti, le Président de la République, Miguel Díaz-Canel Bermúdez, a souligné à la fin de l’événement que personne, avec un minimum d’honnêteté et de données économiques qui sont dans le domaine public, ne peut ignorer que cet encerclement constitue le principal obstacle au développement de notre pays, et l’empêche d’aller de l’avant dans la poursuite du bien-être et de la prospérité.

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