Pourquoi par exemple “France-culture”(sic) qui semble s’être fait une spécialité non seulement de réhabiliter tous les collabos et espions de la CIA mais qui tous les jours déverse sur la Chine une propagande dont elle ne vérifie pas la source, ne s’intéresse-t-elle pas à ce qui se passe en Corée du Sud? Pourtant nous avons le même cas de figure en Chine avec la secte Falun gong et en Corée du sud avec l’Eglise Shincheonji de Jesus.
Quand une blogueuse qui appartient bien à une secte chrétienne se rend à Wuhan malgré la quarantaine et tente de soulever les habitants contre le confinement, en s’attaquant aux barrières de sécurité de la police et se filme elle même dans cette “oeuvre”, elle est considérée comme une source fiable, puis comme une victime de la répression chinoise. Comme d’ailleurs quand la secte falun Gong agit désormais également en Ukraine sous la protection du milliardaire bien connu pour ses étonnantes alliances avec les néo-nazis (il est juif) Igor Komolosky et sa complicité avec le milliardaire en exil Guo-wenguei et Steve Banon.
Pourquoi ne rien dire quand la Corée du sud met en jugement une secte accusée de propager l’épidémie et quand la Chine agit de la même manière à l’égard de gens dont les agissements sont encore pire et qui sont visiblement financés par les Etats-Unis pour diffuser le virus, elle a droit à la vertueuse protestation de la gauche caviar:
Voici donc ce qui se passe en Corée du sud
Douze responsables de l’Église Shincheonji de Jésus sont visés par une enquête en Corée du Sud cherchant à établir à quel point ce mouvement sectaire qui compte plus de 200 000 membres peut être tenu pour pénalement responsable de la rapide propagation du Covid-19 dans le pays.
Il promet la vie éternelle à ses disciples, prétend être le nouveau “messie” et se retrouve, depuis dimanche 1er mars, sous le coup d’une enquête pour homicide par négligence. À 88 ans, Lee Man-hee est le chef de l’Église Shincheonji de Jésus, un mouvement religieux sud-coréen accusé de sectarisme et jugé en grande partie responsable de la propagation du Covid-19 en Corée du Sud. Onze autres responsables de ce mouvement sont aussi visés par cette procédure.
Les enquêteurs veulent savoir si, par ses pratiques religieuses peu orthodoxes et son goût du secret, cette secte chrétienne a, dans le contexte du coronavirus, mis en danger des vies humaines depuis le début de l’épidémie dans le pays. Avec 26 morts et plus de 4 300 personnes infectées, la Corée du Sud est le plus important foyer de contamination du Covid-19 en dehors de la Chine.
Patiente n° 31
Lorsque le nouveau coronavirus est apparu en Chine en décembre, la Corée du Sud, technologiquement très avancée, et doté de services sanitaires bien organisés, pensait pouvoir faire face à une éventuelle propagation, rappelle le Wall Street Journal. Séoul avait déjà réussi, en 2015, à contenir une épidémie de MERS, un autre coronavirus apparu au Moyen-Orient en 2012.
Mais c’était sans compter avec la patiente n° 31. Cette femme d’une soixantaine d’années, membre de l’Église Shincheonji de Jésus de la ville de Taegu, est considérée comme à l’origine de l’explosion des cas de contamination au Covid-19 en Corée du Sud. Les autorités sanitaires estiment qu’une personne sur cinq contaminée par le virus peut lui être reliée.
Elle s’était rendue une première fois à l’hôpital le 7 février, à la suite d’un léger accident de la circulation. Elle s’était plainte, durant la consultation, d’une douleur à la gorge. Elle était ensuite retournée à l’hôpital quelques jours plus tard pour traiter une fièvre persistante.
Les médecins lui ont recommandé, par deux fois, de se soumettre à un dépistage du coronavirus, qu’elle a, à chaque fois, refusé, raconte le New York Times. Mais son état de santé a continué à se détériorer et, dix jours plus tard, elle n’a pas pu se défiler à nouveau : le 17 février, les médecins l’ont examinée plus attentivement et ont diagnostiqué qu’elle avait été contaminée par le Covid-19. Ils n’ont, en revanche, jamais pu établir comment elle-même avait pu être exposée à ce nouveau coronavirus.
Entre-temps, cette sexagénaire avait pu, par deux fois, quitter temporairement l’hôpital pour assister aux réunions dominicales de son mouvement. À chaque fois, elle avait été en contact avec un millier de personnes, souligne le Japan Times. “Son comportement n’est pas surprenant lorsqu’on connaît le fonctionnement de cette église. Pour les fidèles, être malade est un péché car cela les empêche de faire leur devoir pour Dieu”, explique au New York Times, Chung Yun-seok, spécialiste sud-coréen des mouvements sectaires.
Culte du secret
La découverte du foyer d’infection à Taegu et du lien avec l’Église Shincheonji de Jésus a été un tournant dans la lutte sud-coréenne contre la propagation du coronavirus. Les autorités se sont alors heurtées au fonctionnement très secret de la secte. Conscients de la mauvaise image dont le groupe jouit dans le pays, les fidèles de Lee Man-hee cachent souvent leur appartenance à l’église à leurs proches, y compris à leurs parents. “Pour eux, la priorité n’est pas leur propre sécurité, mais la protection du groupe”, souligne au Wall Street Journal Ji-il Tark, un professeur de théologie à l’université de Busan. Ainsi, dans la province de Gyeonggi, le gouvernement local a dû s’en remettre à deux cents volontaires de la secte pour contacter les autres fidèles de ce mouvement car “les membres ont pris l’habitude de ne pas répondre à des appels de personnes extérieures à l’église”, rapporte la chaîne américaine CNN.
Difficile dans ces conditions d’effectuer le nécessaire travail de détective pour identifier toutes les personnes qui ont été en contact avec des membres contaminés de la secte. Les responsables de la secte ont aussi été accusés de ne pas jouer franc jeu : officiellement, ils assuraient collaborer pleinement avec l’État, mais des messages envoyés aux fidèles, consultés par plusieurs médias sud-coréens, leur conseillait de mentir sur leur appartenance à l’Église Shincheonji s’ils étaient contactés.
Les pratiques religieuses du groupe favorisent aussi la transmission rapide du virus. Ils se réunissent souvent dans des petites salles où ils sont collés les uns aux autres, facilitant ainsi une éventuelle contagion. Les membres n’ont pas non plus le droit de porter d’accessoires sur le visage – comme des lunettes ou des masques de protection – car ils sont considérés comme des insultes envers Dieu, ont raconté plusieurs ex-membres du mouvement à divers médias sud-coréens.
Pétition pour la dissolution du mouvement
La participation aux réunions hebdomadaires est aussi obligatoire, qu’il pleuve, vente ou qu’on soit malade. Les membres du mouvement doivent pointer à l’entrée et à la sortie d’une “séance de travail”, ce qui permet aux responsables du groupe de surveiller l’assiduité de chacun. D’autant plus qu’un rhume ou un début de grippe ne saurait être suffisant pour exonérer les membres de leur devoir d’aller prêcher la bonne parole.
Ce mouvement fait partie des groupes jugés les plus agressifs dans leur prosélytisme. Plusieurs lieux de culte catholiques du pays ont affiché des pancartes à l’entrée interdisant l’accès aux membres de l’Église Shincheonji de Jésus, soupçonnés de venir débaucher les fidèles durant les messes, raconte le quotidien hongkongais South China Morning Post.
La difficulté pour les autorités de convaincre Lee Man-hee de collaborer pleinement à l’effort pour ralentir l’épidémie a valu de vives critiques au chef du mouvement. Il a refusé pendant plusieurs semaines de porter le chapeau, assurant même la semaine dernière que le Covid-19 était l’œuvre du “malin, jaloux du succès de l’Église Shincheonji”.
Mais, après l’ouverture d’une enquête officielle, l’octogénaire a finalement présenté des excuses publiques, reconnaissant que “même si ce n’était pas intentionnel, il y a eu beaucoup de contaminations” liées à son groupe.
Un mea culpa trop tardif ? Une pétition ayant récolté plus d’un million de signatures a été adressée au gouvernement pour demander la dissolution de l’Église Shincheonji de Jésus, qui compte plus de 200 000 membres en Corée du Sud.
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etoilerouge6
En FRANCE idem. Avec les églises pentecotistes financées par les USA. L’est de la FRANCE infecté c’est eux et étonnamment pas de poursuites contre de soidisant églises, vrais sectes, qui possèdent des biens très importants en déclarant seulement 2500 adeptes et dirigée par un médecin. La MIVILUDES détruite par MACRON juste avt le corona . Etonnant non?
A nouveau l’est est infecté MACRON VERAN le patronat ROUX qui ns baise, tous créent la cacophonie ts ft travailler avec COVID en de nombreux endroits et abattent les secteurs qu’ils veulent modifier: exemple modifier la propriété et les commerçants ds les gdes stations de ski françaises pour les réserver aux milliardaires suppose de mettre en faillite les commerces actuels et obliger les bouseux de la classe moyenne à vendre si possible à perte leurs biens..à des stés qui modifieront les stations créées par le plan BLANC ds la volonté de démocratiser les sports d’hiver. Aujourd’hui démocratiser mon cul, les enfants des écoles des quartiers populaires st privés de vacances été hiver etc.