La France qui s’est miraculeusement glissée dans les vainqueurs de la seconde guerre mondiale en jouant avec De Gaulle habilement sur les tensions naissantes entre l’URSS et les Etats-Unis aurait tout intérêt aussi à ne pas oublier cette leçon. Il est vrai que Macron et les forces politiques françaises dans leur ensemble ne font pas plus état du moindre réalisme, elles s’accrochent à d’illusoires visions de leur puissance néocoloniale et l’attitude de Macron en Biélorussie, la manière dont il se fait le porteur des intérêts de la ruée vers l’est de l’Allemagne, le possible abandon du poste de la France au Conseil de sécurité, tout cela montre la stupidité de dirigeants prêts à abandonner leurs atouts pour prétendre à une position personnelle d’hypothétique président d’une UE allant vers toujours plus d’intégration-désagrégation, un Reich à la dérive. On ne peut pas dans le même temps pousser l’allégeance à l’État d’Israël jusqu’à soutenir ses politiques les plus honteuses et dans le même temps approuver l’UE qui favorise les mouvements néo-nazis qui s’inspirent directement (comme les biélorusses, les ukrainiens), des pires horreurs antisémites. C’est pourtant la politique non seulement de l’Allemagne mais de Macron. (note de Danielle Bleitrach et traduction de Marianne Dunlop)
20 novembre 2020
Photo: Eberhard Thonfeld / imago-images.de / Global Look Press
Texte: Mikhail Moshkin,
Artur Priymak
https://vz.ru/politics/2020/11/20/1071476.html
En Allemagne, on essaie de plus en plus gommer la responsabilité des générations antérieures dans les crimes du nazisme. Ainsi le ministère russe des Affaires étrangères a dû réagir aux paroles de l’ambassadeur de la RFA à Vilnius selon lesquelles le but de l’Armée rouge était d’amener le «régime stalinien» sur le sol allemand. Cette déclaration est-elle une démarche d’un diplomate individuel qui a décidé de jouer avec les russophobes qui donnent le ton dans les pays baltes, ou est-ce une nouvelle ligne de comportement de Berlin?
Le ministère russe des Affaires étrangères a attiré l’attention du monde sur la déclaration d’un diplomate allemand de haut rang, qui ne peut être décrite comme autre chose qu’une tentative de reconsidérer le rôle de l’Allemagne dans la Seconde Guerre mondiale. Il est d’autant plus scandaleux que les paroles du représentant de Berlin ont retenti lors de l’ouverture d’un monument directement lié à l’Holocauste.
Lors de la cérémonie d’ouverture à Vilnius d’un monument à un porteur d’eau juif, l’ambassadeur allemand Matthias Sonn « a déclaré que l’objectif de la libération de l’Allemagne du nazisme par l’Armée rouge était rien de moins que la mise en place par Staline d’un régime répressif dans le pays vaincu, » selon la porte-parole du ministère des Affaires étrangères Maria Zakharova s’exprimant lors d’une séance d’information jeudi. Elle a souligné que Moscou attend des explications de la partie allemande sur cette provocation cynique et sur une distanciation claire des autorités de la République fédérale “d’une telle attaque individuelle, qui, malheureusement, n’est pas un cas isolé”, a déclaré Zakharova.
Le scandale entourant le discours de Sonn s’est produit par hasard un jour avant l’ouverture du Forum International Scientifique et Pratique “Leçons de Nuremberg”, qui se tiendra à Moscou, au Musée de la Victoire sur la colline Poklonnaya. Selon les organisateurs, l’un des objectifs du forum est de préserver la vérité historique sur le rôle de l’Armée rouge et du peuple soviétique dans la victoire sur le nazisme, et il est programmé pour coïncider avec le 75e anniversaire de l’ouverture du Tribunal de Nuremberg sur les dirigeants du Troisième Reich. Comme prévu, le diplomate Sergueï Rudenko, le fils du procureur en chef de l’URSS aux procès de Nuremberg, le procureur Roman Rudenko, prendra également la parole lors du forum.
Pour comprendre le contexte dans lequel les plaintes de l’ambassadeur Sonn sur les calamités de l’Allemagne vaincue ont été exprimées, notons que le monument à l’ouverture duquel le diplomate a prononcé un discours a été érigé sur le site du ghetto de Vilnius. Ici, en l’espace de deux ans, d’août 1941 à septembre 1943, les nazis et leurs complices ont tué plus de 30 000 juifs.
Comme l’a dit l’auteur de la sculpture Romualdas Kvintas, l’image d’un porteur d’eau juif a été inspirée par les vers d’un poème de Moses Kulbak, un classique de la littérature yiddish, un habitant de Vilna (Vilnius): “Dans l’ancienne synagogue, un porteur d’eau engourdi se tient debout et, soulevant sa barbe, compte les étoiles …” Jusqu’en juin 1941, Vilna était l’un des centres de la culture ashkénaze en Europe de l’Est. Les historiens témoignent que la quasi-totalité des 160000 juifs lituaniens pendant l’occupation, jusqu’à 96%, ont été exterminés: ils ont été envoyés dans des camps de la mort en Pologne et au champ de tir de Ponarii près de Vilnius, ou sont morts de faim et de maladie dans les ghettos de Vilnius et Kaunas.
A noter qu’avant même l’ouverture du ghetto, des SS de l’Einsatzgroup A, avec l’aide de nationalistes lituaniens du soi-disant Front des militants, ont tué environ 30 000 habitants de Vilnius, classés comme “race inférieure”. De plus, comme le note l’historien russe Alexander Dyukov, les «militants» ont commencé des massacres contre les juifs le 23 juin 1941, c’est-à-dire immédiatement après le retrait de l’Armée rouge et avant même l’entrée des nazis dans la capitale lituanienne. La machine de l’Holocauste n’a été arrêtée qu’après la libération de Vilnius par les troupes soviétiques en juillet 1944.
D’une part, la mémoire des Juifs – victimes du fascisme est honorée dans l’actuelle Lituanie; 2013 a été déclarée Année du ghetto de Vilnius. En revanche, les militants du «Front des militants lituaniens», collaborateurs nazis qui ont rejoint les «frères de la forêt», sont officiellement reconnus comme combattants pour l’indépendance et contre l’occupation soviétique.
«Nous devons nous rappeler … les actions agressives du fascisme allemand ont été accompagnées de crimes tout simplement monstrueux dans leur sophistication et leur fanatisme. Les descendants des victimes de ces crimes et notre mémoire exigent une chose: le repentir complet et inconditionnel des générations suivantes d’Allemands pour les actions des autorités allemandes de l’époque », a déclaré l’ambassade de Russie à Vilnius dans un appel au représentant diplomatique allemand Sonn.
“La casuistique, jouer avec le style, les miracles de l’équilibre verbal et de la rhétorique, Monsieur l’Ambassadeur, sont complètement inappropriés et inacceptables ici”, ont souligné les diplomates russes, commentant les propos de Sonn sur “l’imposition d’un régime stalinien à l’Allemagne vaincue”.
«Aucun autre gouvernement en Allemagne en 1945 n’aurait eu besoin d’être établi, si le fascisme allemand n’avait attaqué l’Union soviétique en 1941, après avoir conquis la moitié de l’Europe », souligne l’appel.
Des déclarations telles que celles de l’ambassadeur Sonn sont faites dans le but évident de gommer la responsabilité de l’Allemagne dans les crimes de l’hitlérisme, a déclaré à son tour la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Zakharova. Elle a souligné: “Cette approche provoque un rejet absolument catégorique et remet en cause le processus de réconciliation d’après-guerre entre Russes et Allemands, sans précédent en termes de degré d’autodétermination humaine.”
«Toute personne raisonnable dans le monde comprend que c’est le soldat soviétique qui a libéré l’Europe de la peste brune. L’ambassadeur allemand a prononcé sa phrase scandaleuse lors de l’ouverture du monument aux Juifs lituaniens – victimes du génocide organisé par les nazis et leurs complices », a déclaré Igor Maksimychev, un chercheur de premier plan à l’Institut d’Europe de l’Académie des sciences de Russie, qui en 1987-1990 était conseiller-envoyé à l’ambassade de l’Union soviétique en RDA.
Selon l’expert, la déclaration de l’ambassadeur d’Allemagne en Lituanie est une manifestation de la tendance générale des dirigeants de la RFA à détériorer les relations avec la Russie. Maksimychev estime que depuis 2005, date à laquelle Angela Merkel est arrivée au pouvoir, les relations entre Berlin et Moscou sont devenues de plus en plus tendues chaque année. “Maintenant, ils sont arrivés à un point au-delà duquel il n’y a qu’un conflit international ouvert”, a déclaré la source. – Cela se voit dans tous les domaines du cabinet allemand actuel. Que veulent-ils? Apparemment, le ralliement de l’Occident sur une base russophobe. “
Nikolai Mezhevich, président de l’Association russe pour les études baltes, est convaincu que les paroles de Sonn peuvent indiquer un changement de la position officielle de Berlin sur l’issue de la guerre. «Derrière les actions hostiles du ministère allemand des Affaires étrangères se cache un désir caché de Berlin de retirer à l’Allemagne la responsabilité des crimes des nazis et de leurs complices sur le territoire de l’URSS», estime Mezhevich.
D’autre part, il convient de noter que la condamnation inconditionnelle du nazisme et la reconnaissance de la culpabilité du Troisième Reich pour avoir déclenché la guerre et les crimes contre l’humanité restent la base du statut d’État de la RFA. “Le 8 mai 1945 a marqué la fin de la tyrannie national-socialiste … la fin des crimes sans précédent commis par les Allemands et de la rupture avec la civilisation, exprimée dans l’Holocauste”, – a déclaré en mai de cette année, le président allemand, ancien ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier … Dans le même temps, l’actuel chef de la diplomatie allemande, Heiko Maas, a publié un article dans lequel il était souligné que seule l’Allemagne était responsable du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale – et ceux qui tentent de dépeindre les autres peuples comme des criminels réécrivent l’histoire et provoquent une scission en Europe.
Dans ce contexte, la déclaration de Matthias Sonn laisse perplexe, a déclaré le diplomate Sergei Rudenko au journal VZGLYAD.
«Les plus hauts dirigeants allemands ont toujours reconnu que c’était l’Allemagne qui avait déclenché la Seconde Guerre mondiale.
A Nuremberg, il a été prouvé que l’Allemagne avait préparé la guerre à l’avance, en particulier avec le plan “Barbarossa” – un plan d’attaque contre notre pays “, a rappelé le fils du procureur général de l’URSS lors des procès de Nuremberg.
«La déclaration de Matthias Sonn aurait pu être une improvisation», a suggéré la source. – Il est possible que l’ambassadeur dans son discours public ait décidé de jouer avec les humeurs qui prévalent en Lituanie – une tendance essentiellement anti-russe à blanchir le fascisme. Mais je ne pense pas que tous les diplomates allemands aient reçu une directive commune pour parler dans cet esprit. “
En effet, il est révélateur que la déclaration provocante du diplomate allemand ait été prononcée précisément à Vilnius, a noté l’ancien officier du ministère des Affaires étrangères Maksimychev. Selon lui, les États baltes, avec la Pologne, constituent désormais l’avant-garde des forces russophobes en Europe, et c’est ici que la révision du rôle de l’Union soviétique dans la libération du monde du nazisme s’est imposée à grande échelle.
«La déformation de l’histoire et des faits historiques est devenue très populaire en politique au cours des 30 dernières années. Maintenant, un moment très critique est venu où la vérité historique sort, et il devient encore plus difficile de la déformer. C’est peut-être pour cette raison que de telles déclarations communes sont faites par les politiciens des pays baltes et de la Pologne », a déclaré à Baltnews une personnalité publique lituanienne, ancien député du conseil municipal de Klaipeda, Vyacheslav Titov.
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Berthe Poggiale Avidor
Le capitalisme Allemand n’a jamais accepté et digéré d’avoir été mis à genoux par l’URSS bolchévik.
L’anticommunisme viscéral, la haine absolue de l’économie socialiste et des bolchévik, qui étaient le trait dominant du nazisme n’ont pas été éradiqués avec l’écrasement du 3ème Reich nazi par l’URSS et ils sont devenus le trait dominant des pays européens, d’outre atlantique et du monde entier. En 1947 l’Allemagne fédérale a gracié et maintenu en poste tous les criminels de guerre et fonctionnaires qui avaient collaborés avec le nazisme ( certains ont fait quelques mois de prison puis sont sortis, blanchis, et ont repris, sans état d’âme, une carrière fructueuse, ) Et encore à ce jour elle verse des pensions aux anciens SS à partir du grade de capitaine. Et en 1947 la République Fédérale allemande avec Adenauer en poste, a interdit le Parti communiste Allemand qui a résisté impitoyablement à la férocité du régime hitlérien.
Ce faisant le gouvernement revanchard et fasciste allemand d’Adenauer entendait effacer les vingt huit millions de morts Soviétiques tués par les hordes nazies lors de l’occupation de l’URSS.
L’impérialisme, stade suprême du capitalisme, confronté à sa propre crise ne peut laisser ressurgir l’idée qu’une alternative au capitalisme ait pu survivre plusieurs décennies et même venir à bout d’une des plus féroces puissances impérialistes, l’Allemagne nazie. Il lui faut toujours réaffirmer la légende noire tissée autour de l’histoire de l’URSS et pour cela il lui faut falsifier l’Histoire, à savoir effacer le fait incontournable que la victoire des peuples sur le fascisme-nazisme porte le sceau indélébile de l’Union Soviétique, de son Armée Rouge et des mouvements de Résistance initiés par les communistes, dans tous les pays de l’Europe occupée par le 3ème Reich nazi.
Il faut se remémorer le plaidoyer de la banque Goldman Sachs pour l’instauration des régimes autoritaires en Europe et le refus de l’ensemble des pays européens de faire condamner, par l’ONU, la glorification du nazisme en Ukraine et dans les pays de l’ex URSS.
La résurgence du nazisme en Europe nous rappelle opportunément que l’ Union européenne est fasciste. En effet L’Union Européenne a été conçue par le fascisme nazi et « accouchée » par les impérialismes Etats Uniens, Français et Allemands »Un nazi est devenu le premier président de la commission européenne. Walter Hallstein. Il a été le concepteur en chef de cette Union Européenne fasciste, associé aux pro nazis et anticommunistes viscéraux Robert Schuman et Jean Monnet.
Et je rappelle que l’Union Européenne a mis sur pied une force d’intervention militarisée de 3000 hommes, « EuroGendFor » force d’intervention destinée à réprimer dans le sang les soulèvements populaires provoqués par les politiques d’austérité mises en œuvre par les gouvernements fascistes des pays de l’Union Européenne. (Les soulèvements des Gilets jaunes ont été matraqués, éborgnés par cette milice fasciste )
La dictature de l’oligarchie européenne, de plus en plus douloureuse pour les peuples, renonce de plus en plus à la forme démocratique de gouvernement afin de s’imposer par la violence et elle devient une « dictature terroriste ouverte du capital financier » soit la définition que George Dimitrov donnait du fascisme il y a maintenant 90 ans.
Les soi-disant alliés de l’URSS bolchévik ne s’étaient pas engagés dans la Seconde Guerre mondiale pour vaincre le fascisme, mais véritablement pour substituer leur domination a celle des nazis, et ils ont volontairement laissé durer les combats dans l’espoir d’être débarrassés de l’URSS par le 3ème Reich allemand nazi et ses minables laquais.
Les puissances alliées pendant la Seconde Guerre mondiale comprenaient les nations anglo-saxons et l’Union Soviétique, ce qui n’empêchait pas les puissances occidentales de comploter et de conspirer pour attaquer et détruire leur prétendu « allié » (qui a détruit plus de 90% de la machine de guerre nazie).
Ci-dessous quelques exemples des projets des « impérialismes alliés » pour détruire l’URSS dès la fin de la deuxième guerre mondiale
Voici trois exemples qui démontrent que les « soi disant alliés de l’URSS bolchévik » avaient prévus, DES LA PRISE DE BERLIN PAR L’URSS, d’éradiquer l’URSS bolchévik, à savoir l’économie socialiste qui avait permis d’écraser les hordes nazis afin de s’emparer des immenses richesses du continent russe :
Avec le Plan Totality (1945), les soi-disant alliés avaient prévus que 20 villes soviétiques seraient anéanties lors d’une première frappe : Moscou, Gorki, Kuybyshev, Sverdlovsk, Novossibirsk, Omsk, Saratov, Kazan, Leningrad, Bakou, Tachkent, Tchéliabinsk, Nijni Taguil, Magnitogorsk, Molotov, Tbilissi, Stalinsk, Grozny, Irkoutsk et Yaroslavl.
Avec L’Opération Unthinkable (1945) il était prévu, avec le soutien de cent mille soldats allemands de la Wehrmacht (protégés par les « alliés » !!!) une attaque surprise de 47 divisions britanniques et américaines dans la région de Dresde, au milieu des lignes soviétiques. Cela représentait près de la moitié de la centaine de divisions (environ 2,5 millions d’hommes) dont disposaient les quartiers généraux britanniques, américains et canadiens à l’époque. La majorité de toute l’opération offensive aurait été menée par les forces américaines et britanniques, ainsi que par les forces polonaises.
L’Opération Dropshot (1949) il s’agissait de descriptifs de mission qui auraient utilisé 300 bombes nucléaires et 29 000 bombes explosives sur 200 cibles dans 100 villes et villages pour détruire d’un seul coup 85% du potentiel industriel de l’URSS. Entre 75 et 100 des 300 armes nucléaires étaient destinées à détruire les avions de combat soviétiques.
Ces sinistres projets ne purent être mis en œuvre car les peuples d’Europe qui avaient subis le joug effroyable de l’occupant nazi étaient conscients qu’ils devaient leur vie et leur liberté à la résistance implacable de l’URSS bolchévik face aux hordes fascistes du 3ème Reich nazi.
On dit « qui veut tuer son chien l’accuse de la rage » Moi je rappelle tout simplement que le 3ème Reich nazi a consciemment mené une guerre d’anéantissement des populations de l’URSS car il les considérait comme des sous humains, uniquement destinés à l’esclavage au profit des aryens blonds !!!
* En Septembre 1941 eut lieu le massacre de Babi Yar, où 30 000 juifs, hommes, femmes et enfants ont été tués dans un ravin tout juste à l’extérieur de Kiev – un acte de représailles pour punir un attentat à la bombe qui avait tué un certain nombre des soldats allemands dans la capitale ukrainienne .
* Lorsque les soldats soviétiques arrivèrent sur Auschwitz, en 1945, ce qu’ils ont découvert a bouleversé leurs sensibilités pourtant déjà bien aguerries.
Un colonel soviétique se souvient : «J’avais déjà vu beaucoup d’innocents tués. J’avais vu des gens pendus. J’avais vu des gens brûlés. Mais je n’étais pas encore préparé aux atrocités que nous avons découverts à Auschwitz »
IL se remémore aussi les indices probants des assassinats de masse « Nous avons découvert des montagnes de dents artificielles, de lunettes et cheveux humains »…..……
Avec la victoire de la contre-révolution qui a détruit l’URSS bolchévik socialiste allant vers une économie communiste, l’impérialisme stade suprême du capitalisme estime que le moment est venu de porter un coup décisif et de condamner le communisme au nom des soi-disant crimes de Staline en soutenant et encensant les forces fascistes dans les pays baltes, en Ukraine, en Pologne, en Europe centrale et orientale et en justifiant les mesures anti-communistes et leur expansion au sein de tous les pays de l’Europe et du monde entier !!!!!!!!!!!La résolution du 19 septembre 2019 appelle à mettre fin à la présence des symboles communistes et des symboles de l’URSS dans toute l’Union européenne!
La désagrégation de l’URSS devait être la «fin de l’histoire», la «libération des peuples de l’Est», le «développement économique par le capitalisme», etc…
Aujourd’hui, plus d’un quart de siècle après cette « libération »,la majorité des populations paupérisées des divers pays de la Fédération de Russie regrettent amèrement l’URSS bolchévik socialiste allant vers une économie communiste et Lénine et Staline y sont honorés et respectés et populaires, (alors que Kroutchev, Gorbatchev et Eltsine sont carrément honnis)
Et bien sur il n’y a pas de « libération économique par le capitalisme » pour les peuples également paupérisés de l’Occident, de l’Afrique, de l’Orient et du Moyen Orient, colonisés, volés et noyés sous les bombes de l’oligarchie financière mondiale.