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Coronavirus : l’Italie s’en remet à la Chine pour affronter l’urgence

Le système hospitalier du nord du pays demande des mesures d’isolement encore plus drastiques. Submergé, il ne pourra pas faire face plus d’une dizaine de jours si le rythme des contagions ne ralentit pas.

L’Italie a été la bonne élève de l’Europe en matière de coupes sombres dans les budgets publics, mais aujourd’hui éclate la folie de ces amputations, de ces restrictions de fonctionnaires et d’économie sur des choix de première nécessité. L’Italie manque de matériel et demande de l’aide .

Le gouvernement réclame depuis plusieurs jours à l’Europe davantage de solidarité mais chaque pays prétend ne pas en avoir assez pour lui ,, tous ont subi des démantèlements comparables, aussi pour le moment c’est de Chine que viennent les réponses et le gouvernement italien annonce qu’il attend ces prochaines heures, des livraisons de matériel sanitaire en provenance de Pékin.

« Les patients atteints de coronavirus sont trop nombreux et les autres services hospitaliers sont au bord de la paralysie. Nous sommes allés au bout de nos limites en ce qui concerne le nombre de lits et la mobilisation du personnel médical », affirme le coordinateur de l’unité de crise en Lombardie. (Flavio Lo Scalzo/REUTERS)

« Adoptons le modèle Wuhan pour ralentir la propagation de la maladie. » C’est l’appel au secours lancé par les médecins du nord de la Péninsule. « Ces deux dernières semaines, on a augmenté de 50 % le nombre de lits en services de réanimation, mais c’est insuffisant », explique le coordinateur des services de thérapies intensives de l’unité de crise en Lombardie.

Les communistes italiens remercient les communistes chinois de faire preuve de la solidaité alors que la Chine depuis le début de la crise a subitoutes les humiliations et l’absence d’humanité de la part des médias et des politiques italiens

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1 Commentaire

  • Daniel Arias
    Daniel Arias

    Entre les porches et autres jaguars qui fleurissent dans nos rues et les hôpitaux, écoles, universités,… il faut bien choisir

    Répondre

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