Le moins que l’on puisse dire est qu’il y a des appréciations divergentes entre la Russie et l’occident, et toute la question est de savoir si la politique que derrière Macron, Zelensky et Starmer plus proche d’un plateau de LCI que de l’observation des FAITS, cette nef des fous est prête à entrainer l’humanité ou s’il s’agit d’une pitrerie liée à la manière dont s’approchent les élections de mi-mandat aux USA avec une situation totalement ingérable ? quand « la démocratie » à la mode de chez nous aboutit à un tel aveuglement, l’idée même que Trump serait dupe de Zelensky est faire encore trop d’honneur à un tel système de « gouvernance » (note d’histoireetsociete)
24 sept. 2025
Pire encore, tout cela serait dû à la soif d’argent et de pouvoir de Zelensky, et non à une raison légitime.
La volte-face de Trump sur l’Ukraine a été expliquée ici comme étant en partie due au fait qu’il a répondu aux murmures de bellicistes de Zelensky, qui s’est vanté par la suite que « Peu à peu, (Trump) s’est rendu compte que Poutine partageait simplement des informations qui étaient loin de la vérité sur le champ de bataille. Maintenant, il me fait beaucoup plus confiance parce que les informations dont disposent mes services de renseignement, nous les partageons avec nos partenaires. Cela conduit Trump à être manipulé par Zelensky vers un désastre aux proportions épiques s’il ne s’en rend pas compte rapidement.
Le dirigeant américain a probablement pris pour argent comptant l’affirmation de son homologue ukrainien qu’il serait en capacié de reconquérir 360 kilomètres carrés au cours des dernières semaines, même si le général en chef de ce dernier avait précédemment estimé que la quantité était inférieure à la moitié de ce montant, à seulement 160 kilomètres carrés. Cela aurait pu le convaincre que sa nouvelle politique de vente de nouvelles armes à l’OTAN au prix fort pour un transfert ultérieur à l’Ukraine porte ses fruits. Zelensky est probablement aussi responsable du fait que Trump a écrit dans son post que l’économie russe est en grande difficulté.
Ces fausses croyances, qui sont basées sur des mensonges promulgués par Zelensky comme s’il s’agissait de « renseignement », ont sans doute encouragé Trump à déclarer son soutien à ce que l’OTAN abatte des avions russes sous prétexte qu’ils violent l’espace aérien du bloc après la dernière affirmation douteuse à cet effet de l’Estonie. Dans son discours à l’ONU, il a également menacé la Russie d’imposer « une série très sévère de droits de douane puissants » à la Russie, probablement à la Chine et à l’Inde qu’il a décrites comme « les principaux bailleurs de fonds de la guerre en cours », tant que l’UE suivrait cet exemple.
Cette politique évolutive à l’égard du conflit ukrainien – qui comprend des composantes militaires (plus de ventes d’armes à l’OTAN et soutien au bloc abattant des avions russes) et économiques (sanctions primaires et secondaires) – est également largement motivée par l’autre mensonge de Zelensky dans lequel Trump est tombé. Celle-ci se rapporte à sa fausse croyance selon laquelle « la Russie se bat sans but depuis trois ans et demi, une guerre qui aurait dû prendre moins d’une semaine à une véritable puissance militaire pour gagner… C’est vraiment les faire ressembler à « un tigre de papier ».
La réalité est que le Royaume-Uni et la Pologne ont saboté les pourparlers de paix du printemps 2022, après quoi le conflit s’est transformé en une « guerre d’usure » alors que l’OTAN tentait d’équilibrer la supériorité de la force russe sur l’Ukraine par une aide militaire, logistique et de renseignement sans précédent. La réticence de Poutine à transformer de manière proactive l’opération spéciale en une guerre de choc et d’effroi, que l’on soit d’accord ou non avec sa logique, est due à sa conviction sincère que les Russes et les Ukrainiens « sont un seul peuple », comme il l’a longuement expliqué en juillet 2021.
Il a néanmoins réaffirmé en début de semaine que « la Russie est tout à fait capable de répondre à toute menace actuelle ou émergente, non pas par des mots, mais par des mesures militaro-techniques concrètes ». Par conséquent, si Trump se laisse manipuler par Zelensky pour intensifier les tensions avec la Russie ou soutenir ceux qui le font (par exemple si un allié de l’OTAN abat un avion russe), alors un désastre aux proportions épiques l’attend. Pire encore, tout cela serait dû à la soif d’argent et de pouvoir de Zelensky, et non à une raison légitime.
Zelensky veut simplement que plus de fonds et d’armes affluent en Ukraine, deux éléments de plus en plus fournis par l’UE au détriment du niveau de vie de ses citoyens qui continue de se détériorer en raison des sanctions anti-russes du bloc, mais Trump pense maintenant qu’il est le nouveau Churchill combattant le nouvel Hitler. Il est décevant que le même homme qui a écrit « The Art of the Deal » soit maintenant joué par l’ancien comédien qu’il a un jour qualifié de « plus grand vendeur », mais tel est l’état des choses.
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