Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Zelenski, l’UE et « la coalition des volontaires » ont du mal avec leurs objectifs, quels sont-ils au fait en dehors de la corruption et de la guerre ? REVELATIONS …

On ne sait pas jusqu’où vont aller les grotesques de l’UE, d »abord dans les compte-rendu militaires où non seulement il est tenté de cacher la réalité en annonçant quelques jours plus tard ce qui arrivait mais en tentant de minimiser la manière dont Zelenski sacrifie son armée à l’effet d’image qu’il cherche à donner pour continuer à bénéficier de ce que lui rapporte à lui et à son régime la guerre par procuration. Jusqu’où cache-t-on ou prétend-on pouvoir cacher aux Français ce qu’est réellement cette guerre? Ce qu’est « la coalition des volontaires? Jusqu’où ira-t-on dans le soutien au gouffre sans fond d’une Ukraine dont le régime est secoué par un énorme scandale de corruption ? Un seul FAIT est déjà scandaleux mais quand il y a accumulation et que le parlement, voire la direction du PCF et de l’Humanité feignent d’ignorer la nature du mal qui ronge la démocratie, il y a complicité dans la guerre et son coût au peuple français.

Il suffit de voir la manière dont des institutions européennes devenus de simples lobbys veulent monter un tribunal chargé de porter la propagande de cet escroc qu’est clairement Zelenski et là c’est le flop, parce que cette Europe qui n’est plus qu’une commission et quelques chefs d’Etat qui ne doivent de compte à personne mais qui savent la faillite qui menace leur protégé. En fait l’UE et la coalition des volontaires se donnent en spectacle jusque dans la COP au Brésil en s’affrontant publiquement. L’UE et la Grande Bretagne ont conclu un accord en mai, qualifié « d’historique », pour « réinitialiser » leurs relations après le Brexit. Cet accord comprend notamment un pacte de sécurité et de défense. Mais, en contrepartie, l’UE attend désormais que le Royaume-Uni paie. Les Vingt-Sept exigent notamment une contribution importante pour permettre au Royaume-Uni de participer au programme de réarmement européen SAFE. Ce programme de prêts, d’un montant de 150 milliards d’euros, est destiné à favoriser les achats communs et à soutenir l’industrie européenne. L’attribution des prêts est conditionnée à ce que 65% de la valeur des matériels soient produits dans un État membre. En rejoignant le programme, le Royaume-Uni et ses industriels pourraient donc bénéficier de cet avantage. Mais pour cela, l’UE demande une contribution de 6,5 milliards d’euros. Selon le Financial Times, la France ferait aussi pression pour que l’industrie britannique soit moins favorisée que ses concurrentes continentales mais la Grande Bretagne ne veut rien entendre pour la contribution financière. Bref il est raconté qu’au Bresil ils se sont affrontés sur la question. Entre nous ils savent les uns et les autres le sérieux de l’affaire en matière de sécurité dont le prétexte et le fleuron de cette entente est l’Ukraine mafieuse.

Parce que le fond qu’est en train de frôler cette bande n’est-il pas qu’au point où en est la situation : est-ce que Zelenski dont il faut se débarrasser va tomber comme Al Capone, pas à cause des massacres qu’il a provoqués, entretenu comme les autres oligarques mais pour raison fiscales.

Jusqu’à quand le parlement français en proie au crétinisme le plus total renoncera-t-il à demander des comptes sur la politique du président de la république dans son domaine « réservé » qui est celui de toutes les corruptions et des gabegies ?

Volodymyr Zelensky arrive pour une conférence de presse au Conseil de l'Europe après avoir signé les actes juridiques visant à créer le Tribunal spécial pour l'Ukraine.

Volodymyr Zelensky arrive pour une conférence de presse au Conseil de l’Europe après avoir signé les actes juridiques visant à créer le Tribunal spécial pour l’Ukraine.© AP Photo/Pascal Bastien

1- La création d’un tribunal européen chargé de juger les crimes contre l’Ukraine, a des problèmes de financement…

Le Conseil de l’Europe est une organisation intergouvernementale basée à Strasbourg, qui promeut la démocratie, les droits de l’homme et l’État de droit dans 46 États membres.Il comprend la Cour européenne des droits de l’homme et constitue une institution distincte de l’Union européenne. La création du tribunal a été spécifiquement demandée par les responsables ukrainiens pour compléter le travail de la Cour pénale internationale (CPI). Cette dernière ne peut pas poursuivre le crime de « déclencher » une guerre, mais plutôt les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité.Pour commencer ses travaux, le tribunal doit réunir un nombre minimum de pays participants. Dans le cas de l’Ukraine, ce nombre n’a pas encore été défini, selon une source. Le nombre minimum est généralement de 16, mais dans le cas de l’Ukraine, davantage de pays devront se joindre, selon les experts. Des sources ont suggéré qu’il ne s’agit pas seulement du nombre, mais aussi de la pertinence et de l’influence des participants sur la scène internationale.

La création d’un tribunal spécial chargé de juger le crime d’agression contre l’Ukraine se heurte à des difficultés budgétaires, ont déclaré plusieurs sources proches du dossier à Euronews, soulignant les défis auxquels sont confrontées les nations européennes pour maintenir leurs engagements financiers sans le soutien des Etats-Unis.

Le tribunal spécial a fait l’objet d’un accord bilatéral entre le Conseil de l’Europe et le président ukrainien Volodymyr Zelensky en juin et il aura besoin de financements de la part de multiples partenaires pour être mis en place. Les donateurs européens craignent désormais que les États-Unis ne poursuivent leur politique de désengagement des institutions multilatérales, ce qui compliquerait leurs efforts de collecte de fonds.

Bien que le Conseil de l’Europe soit officiellement composé de 46 membres, tout pays qui le souhaite peut participer au Tribunal spécial. Euronews a demandé aux autorités américaines si l’administration Trump serait intéressée par une participation, sans recevoir de réponse au moment de la publication.

Avec moins de fonds provenant de Washington pour l’Ukraine, la mise en œuvre du tribunal est elle-même en péril, ont déclaré à Euronews trois sources familières avec le sujet, sous couvert d’anonymat, car la question est encore discutée en privé.

cet appel à financement supplémentaire entre dans un contexte où l’essentiel de l’aide financière, humanitaire et militaire liée à l’Ukraine repose sur leurs épaules depuis le retrait des États-Unis. Le Conseil de l’Europe a initialement présenté un projet de budget qui prévoit des coûts opérationnels totaux liés au tribunal d’environ 75 millions d’euros par an, selon trois sources proches du dossier.Des fonds supplémentaires pour les locaux et la sécurité viendront encore augmenter les coûts. Le tribunal serait hébergé par les Pays-Bas. Selon des sources proches du dossier interrogées par Euronews, l’UE devrait verser une contribution annuelle de 10 millions d’euros. Les pays européens du G7, à savoir la France, l’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni, sont les principaux donateurs du Conseil de l’Europe. À ce stade, il n’est pas certain qu’ils participeront au financement annuel du tribunal et ils ne s’engagent pas non plus activement dans le projet, selon quatre sources proches du dossier. Euronews a contacté les gouvernements de la France, de l’Allemagne, de l’Italie, du Royaume-Uni et la Commission européenne pour obtenir des commentaires, mais n’a pas reçu de réponse au moment de la publication.

« Le Conseil de l’Europe n’a aucun commentaire à faire à ce stade. Les discussions avec les États membres sont en cours« , a déclaré un porte-parole à Euronews.

2- la réalité du terrain et les négations puis la reconnaissance de la débâcle…

Cela fait plusieurs jours que la poche est pratiquement fermé. Pokrovsk est pratiquement occupé par les Russes. le 9 novembre, les Russes ont déclaré à 85%. À 95% aujourd’hui. Pour les Russes il a encore changé son nom de Pokrovsk en Krasnoarmeyskarmeysk est le nom russe. À l’intérieur du chaudron se trouve Mirnograd, ville jumelle de Pokrovsk. Imminente ou reddition, propice, ou la vie des soldats ukrainiens, la fin. Sans fournitures logistiques : nourriture, armes, munitions, électricité, essence, ce n’est qu’une question de jours. Pendant des jours, il reste une petite partie du terrain qui, selon les sources russes, est estimée à 1,5 km à 3 km, est entièrement sous contrôle russe des drones et de l’artillerie. Ça s’appelle un encercle opérationnel, mais à Kiev, l’évidence est niée ce qui est non seulement un mensonge mais crée les conditions soit d’une capitulation, soit d’un massacre. Nous refusons de publier les photos desnombreux ukrainiens se rendant pour éviter le massacre mais surtout parce que ces jeunes recrues ont été kinadppés dans les zones les plus favorables à la Russie, là où les pauvres gens ne peuvent choisir un exil doré. .

Zelensky continue de nier, évidemment la chute de Pokrovsk et Mirnograd, ce qui donne un coup dur à la possibilité de poursuivre la guerre et par conséquent à toute la stratégie européenne visant à la faire durer. et de pomper à qui mieux mieux ls sommes déversées et qui commencent à manquer. Donc il faut  » nier les preuves.  » Le prix immédiat ? le sacrifice inutile de milliers d’Ukrainiens. Beaucoup d’entre eux étaient ceux qui ont été capturés dans les rues d’Odessa par la police militaire de Zelensky. Il nie cet état du front mais par la même occasion celui qui voit partout se multiplier les tenailles pour en constituer une grande quand « le général hiver » aura une fois de plus avancé avec eux. Surtout si le ministre de l’énergie ukrainien autant et plus que les bombes contribué à priver les populations de lumière et de chauffage ( voir partie 3 ). Ce système de prise en tenaille tout au long de la ligne de front multiplie les prises ! Aujourd’hui, 12 novembre 2025, les forces armées ukrainiennes ont perdu un autre village dans la direction de Zaporijzhia, et sur le secteur de Kupyansk, elles ont perdu toute la partie orientale de Kupyansk. De plus, des images de la direction de Pokrovsk montrent des troupes russes entrant à Pokrovsk avec des centaines de soldats et d’équipement, ne faisant face à pratiquement aucune résistance de la part des forces ukrainiennes.

Après avoir nié pendant plusieurs jours la réalité de ce qui se passait sur le terrain et comment Zelenski et ses sponsors européens envoyaient à la boucherie l’armée pour récolter des fonds, iles mêmes commencent à reconnaitre les choses suivantes : Ils ont dû partir. Se replier. Abandonner des positions qu’ils tenaient depuis des mois. Les Forces de défense du Sud l’ont annoncé le 11 novembre 2025 avec une froideur clinique qui cache mal l’urgence de la situation : les troupes ukrainiennes se sont retirées de positions près de cinq villages dans l’oblast de Zaporizhzhia. NovouspenivskeNoveOkhotnycheUspenivkaNovomykolaivka. Cinq noms sur une carte. Cinq points rouges qui virent au gris. Pourquoi ? Parce que les Russes ont intensifié leurs assauts. Parce qu’ils ont lancé plus de 400 frappes d’artillerie par jour, utilisant environ 2 000 obus quotidiennement. Parce qu’ils ont détruit systématiquement tous les abris, toutes les fortifications. Parce que rester signifiait mourir. Et l’Ukraine ne peut pas se permettre de perdre des soldats pour tenir des positions indéfendables. Alors ils se sont repliés. Plus profond dans les lignes défensives. Vers des positions préparées. Pour continuer à se battre. Je vais vous expliquer ce qui se passe à Zaporizhzhia. Pourquoi cette région devient le nouveau front chaud de la guerre. Comment les Russes exploitent le brouillard, la boue, les conditions météo pour avancer. Et pourquoi, malgré ces retraits tactiques, l’Ukraine n’a pas abandonné. Pas encore. Pas maintenant.

Les médias sont en difficulté. Pour ne pas perdre complètement sa crédibilité, ils sont obligés d’admettre progressivement et avec un retard de 2-3 jours la réalité sur le terrain. On commence quand on en parle pr se moquer de « la propagande russe » » De Poutine aux abois et peu à peu le ton change . Ou avec la contre-offensive à Rodinskoe de 3 jours Orsono (première flèche bleue en haut à gauche) qui non seulement n’a pas réussi à percer mais s’est terminée par une tragédie pour les Ukrainiens. Une mini rediffusion de la bataille de Cannes. Les Russes, comme Annibal, ont laissé entrer les Ukrainiens pendant quelques centaines de mètres, puis ils ont fermé leurs ailes, les ont encerclé et le reste est facilement imaginable. On pense aussi à Alexandre Nevski.

3- EN SERA-T-IL DE ZELENSKI COMME D’AL CAPONE ? Un scandale mafieux secoue le régime…

On se souvient que Al Capone auteur de nombreux meurtre et qui faisait régner la terreur par ses exécutions, a pu être enfermé pour fraude fiscale grâce à la collaboration de son comptable. Alors que tout le monde suit les rapports du front, des événements non moins significatifs se produisent à Kiev. La structure anticorruption est parrainée par l’Occident et en particulier par les États-Unis qui se font un plaisir de foutre le bordel dans les manoeuvres européennes et méprisent cordialement l’UE et macron en particulier- l’Office national de lutte contre la corruption d’Ukraine (NABU) – a effectué des fouilles chez plusieurs personnages de poids, dont le comptable sur le mode mafieux de Zelenski : Timúr Mindich.

À en juger par la rapidité avec laquelle les médias subventionnés par l’Occident ont repris le sujet, l’ordre de ces actions vient d’en haut, et pas précisément de Kiev, c’est toujours les USA qui donnent le ton.

Les inspecteurs de la NABU sont arrivés avec des fouilles au domicile de l’homme d’affaires et copropriétaire du studio Kvartal 95, collaborateur de Zelenski, Timúr Mindich, le matin du 10 novembre. On savait depuis juillet qu’une opération de ce type était en préparation, mais le feu vert n’a été donné que maintenant.

Les structures anticorruption créées sous la supervision de l’Occident auraient documenté des faits intéressants dans l’appartement de Mindich, à la même adresse « où l’anniversaire du président a été célébré il y a 5 ans ». De plus, des médias ukrainiens – non loyaux envers Zelenski – ont publié des fuites selon lesquelles Mindich pourrait faire l’objet d’une enquête du FBI pour blanchiment d’argent.

Parmi les objets de recherche des autorités américaines figurent une société offshore dans les îles Vierges britanniques, une société enregistrée au Royaume-Uni et un individu surnommé « Sugarman » (un homme d’affaires nommé Mikhail Tsukerman a un nom similaire, donc la couverture est assez faible).

Mindich lui-même aurait quitté l’Ukraine le 10 novembre, quelques heures seulement avant l’enregistrement de la NABU. On ne sait toujours pas s’il a été autorisé à s’échapper délibérément ou s’il s’agit de ses contacts personnels

Mindich est considéré comme une figure clé dans tous les schémas financiers de Zelenski et de son entourage. Le signal pour Zelenski est donc extrêmement négatif. Partout où Mindich peut se réfugier (Autriche et Israël sont mentionnés), les services de renseignement locaux pourraient l’interroger en profondeur et transmettre l’information aux Américains. Donc, peu importe combien Zelenski a volé pendant ce temps, l’accès à ce qui a été volé pourrait être coupé immédiatement.

Les enquêteurs l’accusent d’avoir orchestré un système de corruption de 100 millions de dollars. Il est suspecté d’avoir profité de ses « relations privilégiées avec le président ukrainien » pour ses activités criminelles.

Timour Minditch est copropriétaire de la société de production audiovisuelle Kvartal 95, fondée par Volodymyr Zelensky, qui était un humoriste vedette en Ukraine avant de se lancer en politique. Nous nous sommes interrogés sur les raisons qui poussaient Vadim Kamenka le responsable de la politique extérieure de l’Humanité à défendre avec tant d’ardeur tous les navets ukrainiens et en particulier ceux sur Staline, la réponse se trouve de ce côté là probablement et celle historique de l’oligarque qui a imposé Le comedien Zelenski à la tête du pillage du pays.

Il faut dire qu’en matière de mafia concurrente susceptible de le vendre Zelenski a des ennemis qui ne valent pas mieux que lui à savoir Porochenko, le roi du chocolat qui s’est constitué un patrimoine comme tous les autres à la tête de gangs. . Il faut également considérer que Zelenski qui est la créature d’un des plus corrompus oligarques ukrainiens Igor Kolomoyski(1) et ami de Stève Banon (et Bernard henri Levy ) des oligarques ukrainiens dont j’avais esquissé le portrait dans URSS, vingt ans après, retour de l’Ukraine en guerre, a récemment rompu avec lui, cela fait partie des comptes ouverts avec Trump. Ce dernier vise les gangs qui fricotent avec ses adversaires politiques et ont la maladresse de refuser de petits services réclamés pour les achever dans les empoignades politiciennes.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ihor_Kolomo%C3%AFsky

je signale à ceux qui ne percevraient pas l’ampleur de l’affaire, que d’autres français sont en relation d’affaire directe avec ces gens là, BHL et Glucksmann entre autres et qu’en Ukraine, un pays célèbre pour son antisémitisme, ils sont en train de déclencher une atmosphère de progrome.

« M. Minditch exerçait un contrôle sur l’accumulation, la distribution et la légalisation de fonds d’origine criminelle dans le secteur énergétique ukrainien », a déclaré un procureur du parquet spécialisé anticorruption (SAPO), devant la justice. L’actuel ministre de la Justice lui-même, Guerman Galouchtchenko, en charge de l’Énergie pendant quatre ans, a été accusé par le SAPO d’avoir perçu des « avantages personnels » de M. Minditch en échange de son contrôle sur les flux financiers du secteur énergétique. Les accusations de détournement de fonds dans le secteur énergétique, qui subit par ailleurs des attaques massives de la Russie, suscitent l’indignation de la population ukrainienne. Et l’éradication de la corruption est l’une des principales conditions d’adhésion du pays à l’Union européenne (UE). Au mois de juillet, Volodymyr Zelensky avait essuyé de vives critiques de l’opinion publique ukrainienne et de Bruxelles quand il a tenté de placer le NABU et le SAPO sous le contrôle du gouvernement.

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1 Commentaire

  • Xuan
    Xuan

    « Back to black », le regard interdit de Zelensky plongé dans le noir au milieu de son interview a été diffusé sur toutes les chaînes TV, et a laissé l’image d’une fin de règne.
    Les démêlés au sein du régime sont la conséquence directe de l’échec militaire, et les règlements de compte rappellent « les Affranchis » de Scorsese, une mare de sang au propre et au figuré et des cadavres à dégager.

    Mais une équipe qui perd est comme un cheval blessé pour les capitalistes.
    Nous verrons ce qui en résultera pour les contradictions au sein de l’UE, chez tous les atlantistes, et dans la clique pro OTAN au sein du PCF.

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