Effectivement si les dirigeants français étaient un peu moins stupidement attachés à leur défunts privilèges et médiocres ambitions c’est ce qu’ils feraient et que nous leur avons conseillé dans notre livre. Par parenthèse dans le genre à courte vue, il y a les dirigeants du PCF, Fabien Roussel en tête, qui après avoir ouvert le débat par une préface dans notre livre, s’est mis à la remorque de tout ce qu’il y a de plus nul sur le plan théorique et dont la seule spécialité est de flatter tout en continuant la destruction, et n’a pas levé le petit doigt pour que la censure qui s’exerçait contre notre livre soit abolie. Il a donc donné un pouvoir de censure à la presse aux secrétaires fédéraux, à la commissions internationale qui ne peut qu’affaiblir les efforts de renouveau entamés au 38e congrès et même les instances de direction, une censure contre lui-même. Tout cela on ignore dans quel but et pourquoi. A l’inverse de beaucoup, notre intervention nous ne la confondons pas avec la démocratie réelle qui est celle du congrès donc nous n’avons pas à imposer un débat à un parti qui choisit de le censurer. Ce qui laisse mal augurer du prochain congrès, ce qui n’est pas mon affaire mais ceux qui prennent la responsabilité d’une telle spoliation des communistes en restant au milieu du gué des possibles, en niant leur propre but et en condamnant leur appel en faveur de la paix, de la réindustrialisation à être à la remorque des syndicats. Alors que ceux-ci ont un besoin urgent de l’existence d’un parti révolutionnaire.. quant à la manière inqualifiable dont ces gens globalement se conduisent envers moi, j’en ai honte pour eux surtout au stade où ils en sont arrivés et il n’y a rien à tirer du pouvoir quel qu’en soit celui qui le détient… c’est l’époque dont ceux qui jadis étaient révolutionnaires n’arrivent même plus à s’abstraire… Vous vous demandez pourquoi la mobilisation n’est pas à la hauteur premièrement vous les avez laissé entretenir l’idée du socialisme criminel, ensuite vous êtes légers, superficiels et le peuple français avec raison n’a aucune confiance en vous, moi non plus, vous êtes minables. (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
Pékin n’a pas perdu de temps pour l’embellir :
Xi Jinping a profité de la visite d’État de trois jours de Macron pour plaider ouvertement en faveur d’une refonte de l’ordre mondial par la France, non pas avec les États-Unis, mais aux côtés de la Chine.
Devant les caméras, Xi a appelé la France à « apporter de nouvelles contributions » à un monde plus égalitaire et multipolaire.
Traduction : Contribuez à diluer la domination américaine.
Ce que Xi veut vraiment :
La Chine perçoit Macron comme le talon d’Achille de l’alliance occidentale – un dirigeant européen qui ne cesse de parler d’« autonomie stratégique », c’est-à-dire d’une Europe moins dépendante de Washington.
Invitez-le à Pékin. Déroulez le tapis rouge. Submergez la table de propositions commerciales.
Résultat ? Pékin obtient un coin au sein du bloc transatlantique.
Ce que veut Macron :
Un exercice d’équilibre.
Il a besoin d’investissements chinois, souhaite une influence mondiale et aime se présenter comme un penseur indépendant de l’Europe.
Mais le fil du rasoir est bien réel :
Se rapprocher trop de Pékin → met Washington à rude épreuve.
S’orienter trop près de Washington → perd de l’influence à Pékin.
Pourquoi cette réunion est importante :
Il ne s’agissait pas d’une escale diplomatique de routine.
La Chine testait ainsi à quel point l’Occident est devenu fracturé – et jusqu’où la France est prête à dériver.
Accords commerciaux ? Bien sûr. Échanges culturels ? Parfait.
Mais le véritable enjeu, c’est le discours idéologique :
La Chine et la France, « puissances visionnaires » façonnant un ordre mondial post-américain.
Si Paris y adhère, même symboliquement, les répercussions géopolitiques se feront sentir simultanément à Washington, Bruxelles et l’OTAN.
Le sous-texte :
La rivalité entre les États-Unis et la Chine n’est plus seulement militaire ou économique, c’est un bras de fer pour l’identité de l’Europe.
Et aujourd’hui, Xi l’a clairement indiqué : il ne se contente pas de courtiser l’Europe. Il la recrute activement.
Sources : Reuters, SCMP, TRT World
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