Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Sommes-nous dans une guerre prolongée ?

Illustration: ‘Le roi des singes et la sorcière au squelette’ : extrait du Si Yeou Ki (Le pèlerinage vers l’ouest) roman fantastique de Wou Tcheng-en paru au XVIe siècle. Souen Wou-Kong est le roi des singes.

Le PCC consacre actuellement une étude approfondie au texte de Mao Zedong « De la guerre prolongée », série de conférences à Yenan, du 26 mai au 3 juin 1938 devant l’Association pour l’étude de la guerre contre les envahisseurs japonais.

Parmi ces textes : Réflexions sur le charme idéologique « De la guerre prolongée »[1] et aussi : Comment relire « De la guerre prolongée » aujourd’hui[2], dont je vais citer quelques extraits.

Cette étude, qui rejetait le défaitisme comme l’impétuosité, reposait d’abord sur l’analyse des caractéristiques propres à la Chine et au Japon, puis sur la stratégie et les tactiques qui en découlaient, et cette guerre prolongée comprenait trois étapes. L’étape de l’offensive stratégique de l’ennemi et de notre défensive stratégique, celle de la consolidation stratégique des positions de l’ennemi et de notre préparation à la contre-offensive, et la troisième, celle de notre contre-offensive stratégique et de la retraite stratégique de l’ennemi.

De la guerre prolongée est un exemple magistral de la méthode matérialiste dialectique. Dimitrov, alors secrétaire général de l’Internationale communiste, a écrit dans un article : « Personne dans l’histoire n’a jamais abordé les questions militaires et de guerre avec autant de profondeur. « De la guerre prolongée » est un ouvrage révolutionnaire. »

Mao décrivait quatre contradictions :

L’ennemi était fort, nous étions faibles ; l’ennemi régressait, nous avancions ; l’ennemi avait un territoire et une population restreints, tandis que nous avions un vaste territoire et une population importante ; et l’ennemi avait peu de partisans en raison de son injustice, tandis que nous avions beaucoup de partisans en raison de notre position juste. Ce contraste entre force et faiblesse a permis au Japon de dominer la Chine pendant une certaine période et à un certain degré, et a fait de la guerre de résistance contre l’agression japonaise une guerre prolongée plutôt qu’une guerre rapide. Cependant, le contraste entre la petite taille, le retard et le peu de partisans du Japon, d’une part, et la grande taille, les progrès et la multitude de nos partisans, d’autre part, a également assuré la défaite finale du Japon.

La dialectique matérialiste soutient que les choses évoluent constamment et que force et faiblesse, avantage et désavantage, initiative et passivité, etc., ne sont pas statiques. Comprendre les lois du mouvement et de la transformation des contradictions permet de promouvoir la transformation mutuelle des deux côtés d’une contradiction sous certaines conditions. « De la guerre prolongée » est imprégné de dialectique matérialiste, notamment par son application créative de l’unité des contraires et de la loi de la transformation de la qualité en qualité. Non seulement il anticipe scientifiquement le processus d’ascension et de déclin des puissances chinoise et japonaise, mais il souligne également les conditions internes et externes nécessaires à cette transformation.

« De la guerre prolongée » offre une brillante exposition d’une série de relations dialectiques cruciales, incluant la défense et l’attaque, les décisions rapides et prolongées, les lignes intérieures et extérieures, l’initiative, la flexibilité et la planification, la guerre de mouvement, la guérilla, la guerre de position et la guerre d’usure et d’annihilation, offrant ainsi une lecture véritablement captivante. Libérer l’initiative en temps de guerre exige également une mobilisation totale des masses et la conduite de la guerre populaire, créant ainsi « un vaste océan qui engloutira l’ennemi dans un désastre dévastateur ».

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Quelle est donc l’actualité de ce texte pour le PCC ?

D’une certaine façon la lutte contre l’hégémonisme US est la continuation de celle contre le fascisme japonais, et le front uni mondial contre l’hégémonisme, la poursuite du front uni mondial contre le fascisme.

Mais il existe des différences car cette fois les pays impérialistes sont au moins divisés voire achetés et dominés, tandis que les anciennes colonies constituent le noyau et l’armée du front anti hégémonique.

L’histoire ne se répète pas. Régie par les lois du développement social humain, elle présente souvent des similitudes frappantes, évoluant constamment dans une spirale de progrès. Il y a quatre-vingts ans, nous avons compté sur une guerre prolongée pour remporter une grande victoire dans la guerre de résistance contre l’agression japonaise ; aujourd’hui, nous devons compter sur une guerre prolongée pour assurer un avenir encore plus radieux au renouveau national.

Comparé à la période de la guerre de résistance contre l’agression japonaise, nous vivons aujourd’hui une nouvelle guerre prolongée, qui implique de profonds ajustements du paysage international, des systèmes de gouvernance et des paradigmes civilisationnels, le tout dans un contexte de transformation accélérée depuis un siècle. Le contexte stratégique du grand renouveau de la nation chinoise et les profonds changements mondiaux inédits depuis un siècle interagissent pour former les traits distinctifs et la vision grandiose de cette nouvelle guerre prolongée.

Horizontalement, l’équilibre des pouvoirs internationaux connaît le changement le plus révolutionnaire depuis que le développement du capitalisme mondial a conduit à la « subordination de l’Orient à l’Occident ». Le statut et le rôle des pays développés et en développement dans la division internationale du travail connaissent une profonde mutation. L’essor collectif des pays du Sud est devenu un symbole frappant de cette profonde transformation, plaçant la civilisation humaine à un nouveau carrefour.

D’un point de vue vertical, la Chine a connu la transformation historique la plus vaste et la plus profonde de l’histoire de la nation chinoise depuis les temps modernes.

Essentiellement, cette nouvelle guerre prolongée représente le dépassement de l’occidentocentrisme par le concept d’une communauté de destin pour l’humanité, le dépassement de la civilisation capitaliste par une nouvelle forme de civilisation humaine, le dépassement d’une voie diversifiée de modernisation par un modèle occidental unique, le dépassement du multilatéralisme par l’unilatéralisme, et le dépassement des échanges culturels et de l’apprentissage mutuel des civilisations par l’éloignement et le conflit. Elle inaugurera ainsi une ère nouvelle où la civilisation humaine surmontera l’aliénation du capitalisme, transcendera la logique de l’hégémonie et progressera vers une coexistence harmonieuse et une prospérité partagée.

Nous écrivons dans notre livre « Peut-on sauver les USA de l’hégémonisme ? » L’ennemi n’est pas les USA mais l’hégémonisme US, car cette fois encore le but de la guerre est la paix perpétuelle. Mao écrivait en mai 1938 « La guerre qui vient de commencer nous rapproche de la dernière des guerres, en d’autres termes, de la paix perpétuelle pour l’humanité tout entière. » Et la fin de l’hégémonisme, si elle est l’aboutissement de l’impérialisme, pourrait conduire à cette « paix perpétuelle ».

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De la défensive stratégique à la contre-offensive

Durant une longue période, alors que le capitalisme a été restauré en URSS et que l’hégémonisme US a imposé sa domination au monde entier, la Chine Populaire est devenue l’usine du monde ; elle a poursuivi son développement « dans le ventre de l’impérialisme », pour reprendre une expression de Jean Claude Delaunay. Cette période pourrait être comparée à celle de l‘étape de l’offensive stratégique de l’ennemi et de notre défensive stratégique.

Peut-être parvenons-nous à la fin de la seconde étape, celle de la consolidation stratégique des positions de l’ennemi et de notre préparation à la contre-offensive.

La Chine Populaire est déjà parvenue à un degré de développement et d’autosuffisance technologique qui lui permet de faire face aux USA. Comme elle les en avait déjà avertis, ils subissent les conséquences de leurs propres sanctions et de leur guerre des taxes dans le renchérissement des marchandises importées et du coût de la vie pour les masses, dans l’isolement politique, économique et monétaire et dans l’alourdissement de la dette.

La Chine est déjà passée à l’offensive dans les domaines technologique et industriel, dans le domaine idéologique et sur le terrain des droits de l’homme, dans le domaine économique et monétaire aussi :

Histoire & Société  a publié un article sur l’interruption des importations de soja[3] et un autre sur les combines de Trump et Milei[4]

Les experts chinois expliquent que Trump doit faire des compromis dans les négociations commerciales, sinon le soja américain sera sacrifié. « D’un point de vue pragmatique, les États-Unis devraient être le dernier pays à se replier sur eux-mêmes, car ils bénéficient depuis longtemps de leur capacité à émettre de la monnaie et à importer des biens abordables du monde entier. Ces importations soutiennent son système de protection sociale, apaisent les tensions sociales et dissimulent la nature fragmentée de sa politique ».

A cette époque de l’année, les producteurs de soja de l’Iowa et du Minnesota, bastions du trumpisme, entament leur récolte avec un carnet de commande plein. La Chine est leur premier client, pour la moitié de leur production, d’une valeur de 13 milliards de dollars l’an dernier. Or dans les années 70, une mauvaise récolte aux États-Unis, de loin le premier producteur mondial à l’époque, a poussé deux grands pays agricoles d’Amérique latine, le Brésil et l’Argentine, à se mettre à leur tour au soja. Et maintenant le Brésil en est le premier producteur. Les USA peuvent-ils mettre le soja sous cloche en attendant des jours meilleurs ? Le 9 octobre Global Times titrait : Le Brésil augmente ses exportations de soja et de bœuf vers la Chine dans le cadre de relations commerciales plus étroites[5].

À ce jour, 79 % du soja du pays est destiné à la Chine. Ces exportations ont augmenté de 38,3 % en septembre sur un an, atteignant 187 340 tonnes. Et ce marché devrait maintenant s’étendre au maïs.

Ainsi les chances pour les agriculteurs US de retrouver le marché chinois s’amenuisent et le protectionnisme US aboutit à développer le commerce multipolaire.

La Chine se rapproche aussi de l’Espagne[6], au moment où Trump suggère d’expulser l’Espagne de l’OTAN pour son refus d’augmenter ses dépenses de défense. « Ils n’ont aucune excuse pour ne pas le faire », a déclaré Trump aux journalistes à la Maison Blanche lors d’une rencontre avec le président finlandais Alexander Stubb, en visite en Espagne. « Vous devriez peut-être les expulser de l’OTAN, franchement. » ……La Chine et l’Espagne ont tenu jeudi à Madrid une conférence de mise en relation commerciale et d’investissement, où « plus de représentants d’entreprises et d’associations professionnelles chinoises et espagnoles se sont réunis pour communiquer, échanger des idées et explorer les opportunités de coopération, selon le MOFCOM ». Le rapprochement de la Chine et de l’Espagne montre à quel point la pressions de l’hégémonisme sur l’Europe accentuent ses contradictions internes, ses contradictions de classe mais aussi celles entre états dominants et dominés et celles avec l’hégémonisme.

La guerre des taxes, le déficit US, la dette de bientôt 37 000 milliards de dollars et les sanctions monétaires aboutissent à discréditer le caractère universel des règlements en dollar et à un renchérissement inouï de l’or. Peu à peu le yuan devient une monnaie d’échange internationale et les échanges en monnaie locale se sont accrus.

Et pour enfoncer le clou, la Chine serre la vis sur les terres rares : elle verrouille le contrôle des exportations sur les technologies liées aux terres rares, frappant les produits nécessaires aux industries stratégiques des USA[7]. Cette dernière mesure a mis Trump dans une rage folle, après de « merveilleuses et formidables négociations avec le président Xi Jinping ». « C’est une honte morale » dit-il, et il ajoute aux précédentes 100% de taxes sur toutes les importations chinoises. Les cours des principales crypto monnaies ont chuté, surtout le bitcoin[8].

Contrairement au bruit qui l’entoure, le plan de paix de Trump en Palestine est un échec de l’hégémonisme. Il paraît une grande victoire politique. Assurément l’arrêt des bombardements et le retour des otages sont salués par le peuple palestinien et par la communauté internationale. Mais en réalité c’est une défaite. Après que les USA aient soutenu mordicus Netanyahu, qu’ils l’aient armé et rejeté tous les appels au cessez-le-feu contre l’ensemble des nations, le plan de paix est la conséquence de leur isolement total dans le cadre de l’ONU. Le plan de paix est une victoire des peuples et des nations et un échec de Trump. Et comme un malheur ne vient jamais seul le Nobel lui est passé sous le nez.

Sommes-nous aussi dans une « guerre prolongée» avec notre bourgeoisie ?

Nous ne sommes pas dans les conditions de la Chine des années 30, mais le PCF et le PCC ont le même âge. Ici la guerre de classe contre la bourgeoisie et pour le socialisme a déjà plus de cent ans.

Notre ennemi est le grand capital, notre soutien est le peuple et notre cause est juste, c’est son émancipation.

A l’heure actuelle la bourgeoisie est puissante, elle possède une armée de métier, une armée de policiers, des institutions centralisées et bien rôdées, et une armée de baratineurs qui sont payés par l’Etat bourgeois et les magnats de la presse pour endormir les masses. Et nous sommes très faibles, nous l’avons déjà dit. Le PCF n’atteint pas trois pour cent, ceux qui souhaitent le socialisme sont divisés et le peuple l’est aussi. Cependant matériellement, les masses populaires dans leur immense majorité ont intérêt au socialisme, y compris les commerçants et les patrons de PME et de TPE qui sont pillés par les plus grandes entreprises et par les banques. Enfin sur le plan international l’offensive stratégique libérale et anticommuniste unipolaire fait face à l’essor de la Chine Populaire et du monde multipolaire.

La bourgeoisie aussi est divisée sur le moyen de faire peser le poids de la dette sur les épaules du peuple, pour échapper à la crise qui conduit notre pays au dernier rang de l’UE. Si quelques états voisins se tordent de rire, surtout ceux qui ont déjà vécu des plans d’austérité imposés chez eux par Sarkozy ou Hollande, d’autres s’inquiètent de voir s’affaisser le second pilier de l’Europe et l’appellent à presser les réformes. Le Frankfurter Allgemeine Zeitung écrit le 6 que « On ne peut s’empêcher de penser que trop de gens à Paris lorgnent vers de nouvelles élections au lieu de s’attaquer aux graves problèmes du pays. Ceux-ci sont connus et ne seront pas plus faciles à résoudre en les reportant. Lundi encore, les marchés financiers ont rappelé aux responsables politiques leurs problèmes budgétaires. Lorsque la deuxième économie de l’UE et de la zone euro est moins bien notée que la Grèce ou l’Italie, c’est un signal d’alarme. Cela devrait donner à réfléchir à tous ceux qui, en France et ailleurs, continuent de croire que la dette publique peut être augmentée indéfiniment. [9]

Pour unir le peuple il nous faut un objectif stratégique

Le PCC a plusieurs fois fait le bilan critique et auto critique de son action, et même au plus fort de la réforme et de l’ouverture il n’a jamais renoncé à ses quatre principes fondamentaux, ceux dont l’abandon a détruit l’URSS. Si nous recommençons à parler d’un socialisme à la française, n’avons-nous pas encore laissé quelques uns de ces quatre principes derrière nous ? Et certains « communistes » ne s’obstinent-ils pas encore à remettre en cause la voie du socialisme à la française ?

Nous avons déjà critiqué le livre de Le Hyaric pour sa définition mensongère de l’internationale brune. Ce n’est qu’un volet de son livre bancal. Son projet national réédite un pot-pourri des conceptions réformistes hostiles au socialisme sous la bannière jaurésienne de l’évolution révolutionnaire. Selon Le Hyaric cette expression serait due à Marx. En fait le texte allemand d’origine dit Revolutionäre Entwicklung, ce qui signifie développement révolutionnaire et non évolution révolutionnaire.

A propos de cette petite mystification, notre camarade Jean Paul Legrand écrit : « Chez Marx, le changement historique ne procède pas d’une simple évolution qui s’accélère ou se radicalise. Il relève d’un processus dialectique où les contradictions internes du mode de production capitaliste (comme l’opposition entre le capital et le travail) génèrent à la fois des phases de continuité et des ruptures brutales et nécessaires. Pour Marx, la révolution est la résolution  de ces contradictions accumulées, un saut qualitatif qui s’appuie sur des ruptures qui transforment radicalement les continuités…

Adoucissement ou trahison ?

Privilégier le terme d’« évolution » revient ainsi à adoucir la radicalité de la pensée marxienne originelle. Marx ne décrit pas un simple mouvement graduel, mais une logique de conflits dont l’issue est la transformation révolutionnaire du système. C’est pourquoi le vocabulaire de l’évolution peine à rendre compte du terme central et dynamique chez Marx : la contradiction dialectique.…La formule de Jaurès ne doit donc pas être vue comme une simple interprétation déformée de la pensée de Marx, mais comme le reflet d’une lecture subjective et stratégique. Elle est marquée par sa volonté d’articuler le socialisme français avec l’héritage républicain et parlementaire. Pour ce faire, il interprète Marx à travers un prisme qui atténue la portée conflictuelle entre continuité et rupture de la dialectique, lui préférant une vision plus continue, idéaliste et finalement plus conciliante de l’histoire »

En fait Jaurès était profondément réformiste. Un autre camarade Serge Conesa, rappelle le soutien de Jean Jaurès à la loi sur la retraite de 1910, en opposition à Jules Guesde et à la CGT qui la nommait « la retraite pour les morts » (âge de départ : 65 ans quand l’espérance de vie d’un ouvrier se situait entre 50 et 55 ans ; par capitalisation et gérée entièrement par les patrons).

Le Hyaric ne s’en tient pas là. Il casse du sucre à plusieurs reprises sur la transition du socialisme au communisme « dévoyé et vidé de son sens au XXe siècle, souvent derrière l’appellation de socialisme »,  et réchauffe la vieille soupe du « communisme déjà là » comme d’autres inventions de Friot « la conception marxienne et jaurésienne vise à faire de chaque travailleuse et travailleur un propriétaire d’usage de son outil de travail et un citoyen apte à participer à la définition du travail social. De cette manière, le travail n’est plus aveuglément imposé à tous et à toutes, dans le mépris le plus absolu de tout le vivant humain et non humain.» Les marxistes parlent de la propriété privée des moyens sociaux de production et non de leur propriété « d’usage » dont les capitalistes n’ont rien à faire car ils n’en ont aucun besoin. Quant aux prolétaires, ils seront bien avancés d’être gratifié de la « propriété d’usage » de leur machine, de leur ordi, de leur poste à souder, de leur multimètre ou de leur seringue hypodermique. Et pour achever le tableau du réformisme, le camarade Le Hyaric glisse en loucedé la 6e république de Mélenchon.

Nous devrions remettre en cause ces révisions théoriques du marxisme et revenir aux principes révolutionnaires qui ont fait leurs preuves. Sinon le peuple continuera de tourner en rond et notre guerre de classe pourra se prolonger encore quelques siècles.

 


[1] https://www.qstheory.cn/20250928/82aa605d239e4c43a464d77aed1eb7da/c.html

[2] https://www.qstheory.cn/20250914/55256dd0918a4fc6b66071b3da9f71cb/c.html

[3] https://histoireetsociete.com/la-chine-interrompt-ses-importations-de-soja-aux-etats-unis-pour-frapper-les-partisans-de-maga-de-trump/

[4] https://histoireetsociete.com/derriere-le-soutien-a-milei-il-y-a-la-guerre-du-soja-avec-la-chine/

[5] https://www.globaltimes.cn/page/202510/1345261.shtml

[6] https://www.globaltimes.cn/page/202510/1345310.shtml

[7] https://www.globaltimes.cn/page/202510/1345279.shtml?id=12

[8]https://topwar./272165-pekin-razozlil-trampa-i-prezident-ssha-vvodit-100-procentnye-poshliny-dlja-kitaja.html#:~:text=NOUVELLES,les%20produits%20chinois.

[9] https://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/frankreichs-misere-wird-durch-vertagung-nicht-besser-110719268.html

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