De Cuba faut-il le redire on a une vision différente des contorsions plus ou moins « vertueuses » de l’occident. Ainsi aujourd’hui, je veux dire cette remarque de Gerardo, l’un des « cinq » qui pour avoir infiltré les anticastristes de la Floride et avoir été condamné à perpetuité puis arraché grâce à la pression internationale et l’habileté de Fidel à ces geoles avec ses quatre autres compagnons. Il a declaré aujourd’hui à propos de Marco Rubio qui a négocié avec Lavrov la rencontre de Poutine et Trump qui n’a pas eu lieu : Gerardo de Los Cinco Marco Rubio a eu de la chance : si à cette époque les #USA avaient « combattu le trafic de drogue » comme maintenant, peut-être qu’ils auraient bombardé sa maison… A propos de Rubio est-ce que vous vous souvenez du pull de Llavrov en Alaska portant les initiales CCCP, ces deux là visiblement n’étaient pas a priori les mieux placés pour une entente cordiale. #NoKings#Cuba#CDRCuba#TombaElBloqueo
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Bonjour à tous (es) camarades. La Havane, Cuba. Premier territoire libre en Amérique. 08:19 AM bonne Fidel
Les États-Unis sanctionne les deux plus grandes compagnies pétrolières de Russie et demande que Moscou accepte un cessez-le-feu immédiat. Je suis allé voir à quel point le cessez-le-feu immédiat est crédible et je trouve ceci :
Les troupes russes ont traversé les défenses au centre de Pokrovsk, poussant les Forces armées ukrainiennes au-delà des voies ferrées et prenant une partie de la rue Olshansky, rapporte anna_news. Les forces ukrainiennes restantes se sont retirées du côté sud du chemin de fer, abandonnant même une zone industrielle fortifiée.
Il y a encore des « zones grises » dans la zone où pourraient être cachés des soldats des forces ukrainiennes ; celles-ci s’étendent de Prokofyeva Street jusqu’au parc Yubileyny à la périphérie sud de Pokrovsk.
Actuellement, les Ukrainiens reculent dans tout Pokrovsk, incapables de stabiliser la situation. Une situation similaire se développe à Myrnohrad. Cela a été possible grâce à l’avancée de l’armée russe sur les flancs du sud, ce qui a empêché les Forces armées ukrainiennes d’amener des renforts à Pokrovsk et Myrnohrad.
Mais que s’est-il passé hier à Yumiland ?
Le président Donald Trump avait indiqué pendant des semaines qu’il pouvait imposer des sanctions contre la Russie pour la poursuite de la guerre, mais il n’avait pris aucune mesure punitive majeure jusqu’à ce mercredi. L’annonce s’est produite lorsque Trump a déclaré qu’il avait « annulé » une réunion anticipée avec Poutine parce qu’il « ne sentait pas que nous allions arriver là où nous devons aller ».
Dans des déclarations faites au Bureau ovale, Trump a expliqué qu’il « a senti que c’était le moment » des sanctions, déclarant qu’il « a attendu longtemps » pour les imposer. Cependant, le président des États-Unis a dit qu’il espérait qu’ils « ne dureront pas longtemps » parce que la guerre prendra fin
Le secrétaire au Trésor Scott Bessent a indiqué dans un communiqué ce mercredi qu’il était « temps d’arrêter les morts et de parvenir à un cessez-le-feu immédiat ». « Compte tenu du refus du président Poutine de mettre fin à cette guerre absurde, le Trésor sanctionne les deux plus grandes compagnies pétrolières russes qui financent la machine de guerre du Kremlin », a ajouté Bessent.
Le fonctionnaire a ajouté : « Le Trésor est prêt à prendre de nouvelles mesures si nécessaire pour soutenir les efforts du président Trump pour mettre fin au conflit. Nous encourageons nos alliés à s’associer à ces sanctions. » Les sanctions concernent Rosneft et Lukoil et près de trois dizaines de leurs filiales. Le Royaume-Uni a sanctionné les deux compagnies la semaine dernière et l’Union européenne a accepté un autre paquet de sanctions ce mercredi.
L’ambassadrice d’Ukraine aux États-Unis Olga Stefanishyna s’est félicitée de l’annonce de mercredi, qui a déclaré « intervient après de nombreuses tentatives visant à donner à la Russie l’occasion d’entamer de véritables négociations pour mettre fin à la guerre ».
« La décision est complètement alignée sur la position cohérente de l’Ukraine : la paix n’est possible que par la force et la pression sur l’agresseur en utilisant tous les outils internationaux disponibles », a déclaré Stefanishyna dans un post sur X, ajoutant qu’elle attend également « des décisions fermes des partenaires européens demain, après la réunion du Conseil européen.”
Plus tôt ce mercredi, Bessent avait anticipé les sanctions comme « l’une des plus grandes », notant la déception de Trump envers le président russe Vladimir Poutine et l’état des pourparlers visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, après un sommet en Alaska il y a plus de deux mois. L’Ukraine avait demandé une pression accrue sur Moscou alors que la guerre continuait. Les efforts diplomatiques visant à mettre fin au conflit ont stagné et la Russie a rejeté l’idée de geler le conflit pour négocier, ce que l’Ukraine et l’Europe ont déclaré soutenir.
Trump a déclaré la semaine dernière qu’il avait l’intention de rencontrer Poutine à Budapest. Mais ce mercredi, il a annoncé qu’il avait « annulé » ce sommet prévu parce qu’il « ne sentait pas que nous allions arriver là où nous devons aller ». Il a ajouté qu’ils pourraient se rencontrer à l’avenir. “Jusqu’à présent, ce sont ces sanctions primaires contre Rosneft et Lukoil, mais la clé sera alors s’il y a une menace de sanctions secondaires sur les banques, les raffineries de pétrole et les commerçants dans des pays tiers qui ont affaire à Rosneft et Lukoil”, a déclaré Eddie Fishman, chercheur principal au Atlantic Council
En janvier, le gouvernement de Biden a annoncé des sanctions contre d’autres grandes compagnies pétrolières russes, mais a décidé de ne pas les imposer à Rosneft et Lukoil. Les responsables ont affirmé à ce moment-là qu’ils avaient attendu les derniers jours de l’administration pour imposer les sanctions, en partie à cause de l’état du marché pétrolier mondial et de l’impact potentiel sur l’économie américaine.
Trump a déjà hésité à imposer plus de sanctions à la Russie. Lorsqu’en juin, pendant le G7, on lui a demandé pourquoi ne pas imposer de sanctions, Trump a répondu : « Quand je sanctionne un pays, cela coûte beaucoup d’argent aux États-Unis », ajoutant : « Les sanctions ne sont pas faciles. Ce n’est pas une voie à sens unique.”
L’annonce de mercredi a eu lieu quelques heures après que la Russie ait lancé une frappe aérienne à grande échelle contre l’Ukraine, y compris Kiev.
Avant ce mercredi, Bessent a anticipé les nouvelles sanctions comme « l’une des plus grandes », notant la déception de Trump envers Poutine et l’état des pourparlers visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, après un sommet en Alaska il y a plus de deux mois.
« Le président Poutine n’est pas venu à la table de façon honnête et directe comme nous l’espérions. Des discussions ont eu lieu en Alaska ; le président Trump est parti lorsqu’il a réalisé que les choses n’avancaient pas », a déclaré Bessent à Fox Business. “Il y a eu des discussions en coulisses, mais je pense que le président est déçu par… la situation dans laquelle nous nous trouvons dans ces pourparlers. »
« Ce sont des sanctions, pas des tarifs secondaires », a ajouté Bessent. « Elles seront substantielles et puissantes, et nous demandons à nos alliés européens et du G7 ainsi que au Canada et à l’Australie de nous accompagner. ”
Beaucoup de blah blah blah et la question est de savoir en quoi consistent les sanctions
Les sanctions impliquent le gel de tous les avoirs de Rosneft et Lukoil aux États-Unis, tout en interdisant à toutes les entreprises américaines de faire des affaires avec les deux géants pétroliers russes.
Ok, Rosneft et Lukoil ont-ils des actifs aux États-Unis ? , la réponse est NIET. Combien de pétrole importe les États-Unis de Russie ? Peu importe.
Quelles sont les relations commerciales entre les États-Unis et la Russie ?
2025 : Commerce de biens américains avec la Russie
NOTE : Tous les chiffres sont exprimés en millions de dollars américains en termes nominaux, sans ajustements saisonniers, sauf indication contraire. Les détails peuvent ne pas correspondre aux totaux en raison des arrondis. Le tableau ne reflète que les mois où il y a eu des échanges.
Mois Exportations Importations Balance
Janvier 2025 34.9 196.2 -161.2
Février 2025 49.8 339.6 -289.8
Mars 2025 50.0 523.5 -473.5
Avril 2025 45.5 492.1 -446.6
Mai 2025 51.4 539.6 -488.3
Juin 2025 52.7 405.3 – 352.6
Juillet 2025 52.6 355.6 -303.0
TOTAL 2025 337,0 2,851,9 -2,514,9
C’est-à-dire que la Russie n’arrive pas à importer 2 millions par jour, (337 / 210 = 1,6 million par jour), la Russie exporte mondialement (2024), 429 milliards, vers les États-Unis elle exporte 2,5 milliards, soit 0,58%… , et a importé 225 milliards, des États-Unis a importé 528 millions en 2024, soit 0,2%, c’est-à-dire que la Russie peut se nettoyer les fesses avec les sanctions américaines.
Les États-Unis ont importé en 2024, 3,007 millions, et maintenant jusqu’en juillet 2025, ils en comptent 2,851, je pense qu’ils seront à 5 milliards, les montants ne sont pas importants, ce qui est important c’est ce que les États-Unis achètent à la Russie… « uranium traité » pour leurs centrales nucléaires.
La réponse russe :
Moscou explique ce qui se passera si Trump suit les traces de Biden en sanctionnant la Russie. Département du Trésor américain a annoncé ce mercredi l’imposition de sanctions contre deux grands pétroliers russes, Lukoil et Rosneft.
La décision américaine d’imposer des mesures restrictives unilatérales à l’encontre des compagnies pétrolières russes Rosneft et Lukoil, sous prétexte d’une prétendue « disposition insuffisante de la partie russe à une résolution pacifique en Ukraine » représente « une étape exclusivement contre-productive », notamment en ce qui concerne « les progrès significatifs dans les négociations sur le conflit ukrainien », a déclaré ce jeudi la porte-parole de la chancellerie russe María Zakhárova.
« Si l’Administration américaine actuelle commence à suivre l’exemple de ses prédécesseurs [Administration Biden], qui ont essayé de contraindre ou de forcer la Russie à céder ses intérêts nationaux par des sanctions illégitimes, le résultat sera exactement le même : un échec politique interne et négatif pour la stabilité de l’économie mondiale », a-t-il averti.
La porte-parole a également souligné que les sanctions américaines ne poseront pas de problèmes significatifs pour la Russie, car le pays a une résistance solide aux restrictions occidentales.
« Notre pays a développé une immunité ferme contre les restrictions occidentales et continuera à progresser en toute sécurité dans le développement de son potentiel économique, y compris énergétique », a déclaré Zakhárova.
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